
Je vois d'ici les accusations habituelles sur l'antisémitisme supposée venant d'israel et de ses soutiens.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Feyd a écrit:Le problème n'est pas tant Israël. Le problème est qu'il y a derrière ce pays les USA et ces derniers s'en torchent complètement de ce rapport. Israël peut faire ce qu'il veut vu que l'Oncle Sam valide presque toutes ses actions.
Il va falloir comprendre une bonne fois pour toute que "Le Machin" n'a pas beaucoup de pouvoirs et que les grandes puissances s'en foutent de ce qui est décidé. Si la Chine veut effacer les Ouïgours et envahir Taïwan, elle le fera. La Russie a attaqué l'Ukraine et se moque des condamnations étrangères. Les USA ne sont plus à une guerre prêt pour servir leurs intérêts.
C'est vraiment être naïf de croire que ce rapport pourrait changer quoi que ce soit.
Le projet qui sera soumis au vote jeudi après-midi réclame ainsi la fin des restrictions de l'aide humanitaire tout en exigeant aussi un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent à Gaza", ainsi que la libération immédiate et inconditionnelle des otages.
Un message que les États-Unis ont déjà rejeté plusieurs fois, la dernière en juin lorsqu'ils avaient utilisé un nouveau veto pour protéger leur allié israélien.
Pourquoi se lancer alors dans cette nouvelle tentative qui risque d'aboutir probablement au même résultat ? "Ne rien essayer serait trop facile pour les Américains, qui n'auraient pas à se justifier et à faire face aux 14 membres du Conseil et à l'opinion publique mondiale", a commenté un diplomate européen, refusant de ne rien faire juste par peur du veto américain. "Ça n'aide pas beaucoup les Palestiniens sur le terrain, mais au moins nous continuons à montrer qu'on essaie", a poursuivi ce diplomate, qui a requis l'anonymat.
Le précédent veto avait provoqué une colère inhabituelle des 14 autres membres du Conseil, qui manifestent de plus en plus souvent et explicitement leur frustration face à l'incapacité à faire pression sur Israël pour mettre un terme au calvaire des habitants de Gaza.
Le projet qui sera soumis au vote jeudi après-midi réclame ainsi la fin des restrictions de l'aide humanitaire tout en exigeant aussi un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent à Gaza", ainsi que la libération immédiate et inconditionnelle des otages.
Un message que les États-Unis ont déjà rejeté plusieurs fois, la dernière en juin lorsqu'ils avaient utilisé un nouveau veto pour protéger leur allié israélien.
Pourquoi se lancer alors dans cette nouvelle tentative qui risque d'aboutir probablement au même résultat ? "Ne rien essayer serait trop facile pour les Américains, qui n'auraient pas à se justifier et à faire face aux 14 membres du Conseil et à l'opinion publique mondiale", a commenté un diplomate européen, refusant de ne rien faire juste par peur du veto américain. "Ça n'aide pas beaucoup les Palestiniens sur le terrain, mais au moins nous continuons à montrer qu'on essaie", a poursuivi ce diplomate, qui a requis l'anonymat.
Le précédent veto avait provoqué une colère inhabituelle des 14 autres membres du Conseil, qui manifestent de plus en plus souvent et explicitement leur frustration face à l'incapacité à faire pression sur Israël pour mettre un terme au calvaire des habitants de Gaza.
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