Modérateurs: Garion, Silverwitch





Hugues a écrit:Il y a plein d'intérêt en fait:
- empêcher l'annihilation de la solution à deux états.. Quand le parlement de l'état occupant vote pour l'annexion de la Cisjordanie, reconnaître un état, montre que cet état existe
tout comme reocnnaître l'état français à travers de Gaulle montrait qu'un état français non collaborationniste existait
- quand tu n'as pas d'état, quel est ton espoir ? la résistance armée... devenir un "terroriste"...
quand tu as un état (même si il est limité à Ramallah, tout comme de Gaulle fut limité à Londres), tu as une représentation.. il y a un espoir de paix, que quelque chose soit signé
- affirmer qu'un état palestinien existe, c'est reconnaître le droit à l'autodétermination du peuple palestinien que ton état occupant chéri nie depuis 20/25 ans... après l'avoir reconnu en 1993
encore une fois c'est presque le même argument que précédemment, ça incite à aller aux urnes plutôt qu'aux armes..
- affaiblir les voix extrếmistes en Palestine et dans l'état occupant
(c'est encore une fois similaire aux deux précédents points)
- mettre la pression sur Israel.. vous n'allez pas continuer des massacres qui ne résoudront jamais rien et créeront plus de problèmes futurs (vengeance)
- c'est une des deux solutions à la sécurité d'Israel avec un état binational
- plus les pays seront nombreux, plus l'état occupant se sentira contraint et en minorité.. ça a une importance.. l'Afrique du Sud a fini par ne plus supporter d'être exclu internationalement
- pour reconstruire Gaza, pour mener un bilan , il faudra des fonctionnaires, un état ...
Pourquoi les Républiques de l'autre côté du rideau de fer ont reconnu l'Etat Palestinien dès 1988 alors qu'Arafat n'avait même pas le droit de revenir en Cisjordanie ou à Gaza...
Et pourtant 5 ans plus tard les accords d'Oslo étaient signé..
Tu peux dire n'importe quoi ça a un intérêt, ça aura un poids pour le futur, sauf si l'état occupant annihile complètement l'état et que la Palestine devient un état en exil. Mais j'imagine que ce n'est pas ce que tu veux, en pacifique que tu es ?
Je pourrais rajouter au moins 6 autres points, mais bien plus mineurs..
Il y a en plus 6 conséqunces juridiques que ça permet, si ça intéresse..
Hugues


Hugues
- S’appuie sur des arguments historiques et juridiques (par exemple, dans la fin de la discussion, distinction de jure/de facto, analogies avec la France libre, cas de la Belgique en exil).
- Propose une analyse structurée, en listant bénéfices symboliques, diplomatiques et juridiques de la reconnaissance d’un État palestinien.
- Illustre ses points par des exemples concrets et documentés (accords d’Oslo, rôle de l’ONU).
Adjectifs:
Analytique: il décompose le problème en volets juridiques, historiques et diplomatiques.
Structuré: il présente ses idées sous forme de listes claires et ordonnées.
Documenté: il illustre ses propos par des exemples et références historiques (par exemple, Oslo, France libre, Apartheid, Génocide des peuples premiers).
Argumentatif: il construit son discours autour d’un raisonnement logique et d’applications concrètes.
Pragmatique: il met l’accent sur les conséquences réelles et opérationnelles de la reconnaissance d’un État.
Ghinzani
- Affiche une posture dogmatique : il affirme sans démonstration que rien ne change face au Hamas et répète cette conviction comme un axiome.
- Ses interventions relèvent davantage de la croyance (certitude sans preuve) que d’un raisonnement étayé ; il ne cite ni source, ni donnée.
- Montre un style intransigeant et répétitif, revenant au même leitmotiv et refusant de nuancer ou d’explorer d’autres pistes.
- Sa logique est imprécise, par exemple dans la fin de la discussion focalisée sur l’« inefficacité » immédiate, ce qui limite la discussion à une certitude auto-entretenue plutôt qu’à un véritable échange argumenté.
Adjectifs:
Dogmatique: il répète ses certitudes (par exemple dans les derniers messages, l'inefficacité face au Hamas) sans les étayer.
Intransigeant: il refuse de nuancer et s’en tient systématiquement à la même critique.
Répétitif: il rebondit constamment sur le même point-clé sans apporter de nouveauté.
Imprécis: il n’apporte ni sources, ni données chiffrées pour soutenir ses affirmations.
Fermé: son style tend à clore le débat et ne cherche pas à explorer d’autres perspectives.

Hugues a écrit:Il n'y a rien de pérempotoire à part dans ta tête.
Je l'ai même écrit de façon bienveillante et enjoueé..
Donc franchement ce genre d'indignation qui ne naisse que de ton imagination.
Si tu penses qu'inciter les gens à voter plutôt qu'à prendre les armes est un détail, éh bien continue ta politique de désespérance où les gens n'ont plus que cette solution...
C'est de l'absurdité, de défendre une absence d'état... Tu envoies les Palestiniens dans les bras de la lutte armée...
Benjamin Mileikwoski on peut le comprendre, son but est comme Vladimir Vladimrovitch d'avoir une guerre la plus éternelle possible pour rester au pouvoir ( tout comme il a favorisé le 7 octobre pour réaliser cela sur Gaza.. il a laissé faire pour avor un prétexte pour massacrer une population ... j'invente..? comme tout ce que je publie, je l'étaye, et vais partager un document qui le démontre, comportant même des enregistrements militaires)
Mais toi, t'oppposer à la seule manière (selon toi pusque tu es contre l'état binational) de faire la paix, c'est à dire la solution à deux états.. qu'est-ce qui peut naitre de bon de cette opposition?
Hugues

Hugues a écrit:Analyse par un LLM de nos échanges sur les 22 pages de ce sujet (non j'ai pas fait un simple copié-collé, mais bien entré de façon structuré (au point que même sont indiqué quel post est cité, par id etc, comme ça le LLM comprend mieux qui cite qui):Hugues
- S’appuie sur des arguments historiques et juridiques (par exemple, dans la fin de la discussion, distinction de jure/de facto, analogies avec la France libre, cas de la Belgique en exil).
- Propose une analyse structurée, en listant bénéfices symboliques, diplomatiques et juridiques de la reconnaissance d’un État palestinien.
- Illustre ses points par des exemples concrets et documentés (accords d’Oslo, rôle de l’ONU).
Adjectifs:
Analytique: il décompose le problème en volets juridiques, historiques et diplomatiques.
Structuré: il présente ses idées sous forme de listes claires et ordonnées.
Documenté: il illustre ses propos par des exemples et références historiques (par exemple, Oslo, France libre, Apartheid, Génocide des peuples premiers).
Argumentatif: il construit son discours autour d’un raisonnement logique et d’applications concrètes.
Pragmatique: il met l’accent sur les conséquences réelles et opérationnelles de la reconnaissance d’un État.
Ghinzani
- Affiche une posture dogmatique : il affirme sans démonstration que rien ne change face au Hamas et répète cette conviction comme un axiome.
- Ses interventions relèvent davantage de la croyance (certitude sans preuve) que d’un raisonnement étayé ; il ne cite ni source, ni donnée.
- Montre un style intransigeant et répétitif, revenant au même leitmotiv et refusant de nuancer ou d’explorer d’autres pistes.
- Sa logique est imprécise, par exemple dans la fin de la discussion focalisée sur l’« inefficacité » immédiate, ce qui limite la discussion à une certitude auto-entretenue plutôt qu’à un véritable échange argumenté.
Adjectifs:
Dogmatique: il répète ses certitudes (par exemple dans les derniers messages, l'inefficacité face au Hamas) sans les étayer.
Intransigeant: il refuse de nuancer et s’en tient systématiquement à la même critique.
Répétitif: il rebondit constamment sur le même point-clé sans apporter de nouveauté.
Imprécis: il n’apporte ni sources, ni données chiffrées pour soutenir ses affirmations.
Fermé: son style tend à clore le débat et ne cherche pas à explorer d’autres perspectives.
Intéressant non ?
Peu ou prou ce qui est critiqué dans ta participation depuis une vingtaine d'année.
Et promis personne n'a rien soufflé.
Hugues

Communiqué du Cabinet du Premier ministre – 31 juillet 2025
1. Dans le cadre de la « Conférence internationale de haut niveau pour la résolution pacifique de la question palestinienne et la mise en œuvre de la solution à deux États », tenue à l’ONU à New York du 28 au 30 juillet 2025, l’État portugais, avec un ensemble d’autres pays, a réexaminé la question et les conditions de reconnaissance d’un État de Palestine.
2. À la suite des multiples contacts établis, il a été possible de constater que de nombreux États avec lesquels le Portugal a coordonné ses positions sur la question ont manifesté leur disponibilité à entamer la procédure de reconnaissance de l’État palestinien, en raison :
- des garanties présentées par l’Autorité palestinienne ;
- de la volonté de reconnaissance et de normalisation des relations avec Israël exprimée par un nombre significatif d’États arabes ;
- de l’évolution extrêmement préoccupante du conflit, tant sur le plan humanitaire que dans les références répétées à une possible annexion de territoires palestiniens.
3. Le Gouvernement portugais, par la voix du Premier ministre, à l’Assemblée de la République, a exprimé à plusieurs reprises les conditions préalables au lancement d’un processus de reconnaissance. La première condition était la concertation avec un groupe de pays avec lesquels nous avons maintenu un dialogue permanent et qui ont participé activement à cette conférence. Par ailleurs, les conditions remplies par l’Autorité palestinienne doivent être considérées comme vérifiées, compte tenu des garanties présentées et largement validées par les États présents à la Conférence. À savoir :
- Condamnation des actes terroristes du Hamas et exigence de son désarmement total ;
- Exigence de la libération inconditionnelle et immédiate des otages de Gaza et des prisonniers ;
- Engagement en faveur d’une réforme institutionnelle interne et de l’organisation d’élections dans un avenir proche ;
- Acceptation du principe d’un État palestinien démilitarisé, dont la sécurité extérieure serait assurée par des forces internationales ;
- Volonté de reprendre l’administration et le contrôle total de la bande de Gaza, avec le départ du Hamas ;
- Reconnaissance de l’État d’Israël et des garanties de sécurité nécessaires.
4. À l’issue de la participation active du Portugal à cette Conférence, et de la vérification des conditions mentionnées ci-dessus, le Gouvernement a décidé de consulter Son Excellence le Président de la République et les partis politiques représentés à l’Assemblée de la République, en vue d’envisager la reconnaissance de l’État palestinien, dans le cadre d’une procédure pouvant être finalisée lors de la semaine de haut niveau de la 80e Assemblée générale des Nations Unies, qui se tiendra à New York en septembre prochain.
Lisbonne, le 31 juillet 2025[/Quote]


Ghinzani a écrit:J'ai juste ajouter qu'après lecture attentive, je ne vois aucune contrainte sur le hamas par le biais de cette reconnaissance.
Tu as des déductions hâtives et erronées sur mes pensées..Pourquoi donc?
de part et d'autre les dérives personnelles.

Ghinzani a écrit:Et bien sous cette forme, je suis d'accord.

je ne perds pas mon temps à lire ces conneries. Maintenant si cela flatte ton égo....

Décret n° (2) de l’année 2013 concernant l'utilisation du nom de l'État de Palestine et de son emblème sur les documents officiels, les sceaux et dans les transactions y afférentes
Conformément aux dispositions de la Loi fondamentale amendée de 2003 et de ses modifications, après examen du Statut de l’Organisation de libération de la Palestine, sur la base de la résolution n° (11317 G A) de l’Assemblée générale des Nations Unies élevant le statut de la Palestine au rang d'État observateur auprès des Nations Unies, sur la base des recommandations du comité palestinien chargé des mesures à prendre à cet égard, et en vertu des pouvoirs qui nous sont conférés, et dans l’intérêt général,
Nous décrétons ce qui suit :
Article (1)
Les documents officiels, les sceaux, les panneaux et les transactions des institutions officielles et nationales de l’Autorité nationale palestinienne doivent être modifiés en remplaçant le nom « Autorité nationale palestinienne » par « État de Palestine », en y adoptant l’emblème de l’État de Palestine. Les instances concernées sont chargées de suivre l’application de ce décret, tout en tenant compte des exigences d’usage.
Article (2)
Les documents officiels, les sceaux, les panneaux et les transactions dans les ambassades et missions de l’État de Palestine à l’étranger doivent être modifiés en conservant uniquement le nom « État de Palestine » et son emblème, suivi du nom de la « mission ». Le ministère des Affaires étrangères est chargé de cette application, en tenant compte des modalités de traitement avec les pays qui ne reconnaissent pas l’État de Palestine.
Article (3)
Aucun changement ne sera apporté au nom et à l’emblème dans les documents officiels, les sceaux, les transactions et les panneaux des institutions de l’Organisation de libération de la Palestine.
Article (4)
Toutes les autorités compétentes, chacune dans son domaine de compétence, doivent exécuter les dispositions du présent décret à compter de la date de sa publication. Les personnes concernées doivent en être informées, et il sera publié au Journal officiel.
Fait à Ramallah le : 03/01/2013 (calendrier grégorien), correspondant au : 21/Safar/1434 (calendrier hégirien)
Mahmoud Abbas
Président de l'État de Palestine
Président du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine






La malnutrition atteint des niveaux alarmants à Gaza, avertit l’OMS
27 juillet 2025 Communiqué de presse
Jérusalem, Le Caire, Genève
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La malnutrition suit une trajectoire dangereuse dans la bande de Gaza, où les décès ont marqué un pic en juillet.
Sur les 74 décès liés à la malnutrition enregistrés en 2025, 63 sont survenus en juillet. Ils concernaient 24 enfants de moins de cinq ans, un enfant de plus de cinq ans et 38 adultes. Pour la plupart de ces personnes, le décès a été prononcé à leur arrivée dans les établissements de santé ou peu de temps après, leur corps montrant des signes évidents d’émaciation sévère.
Or, cette crise pourrait tout à fait être évitée. Le blocage et le report délibérés de l’aide alimentaire, sanitaire et humanitaire à grande échelle ont coûté la vie à de nombreuses personnes.
Près d’un enfant de moins de cinq ans sur cinq dans la ville de Gaza est désormais en situation de malnutrition aiguë, comme l’ont fait savoir les partenaires du Groupe Nutrition. La malnutrition aiguë globale, qui mesure le pourcentage d’enfants âgés de 6 à 59 mois souffrant de malnutrition aiguë, y a triplé depuis juin, ce qui en fait la zone la plus touchée de la bande de Gaza. À Khan Younis et dans la zone centrale, les taux ont doublé en moins d’un mois. Il est probable que ces chiffres soient sous-estimés en raison des graves contraintes en matière d’accès et de sécurité qui empêchent de nombreuses familles de se rendre dans les établissements de santé.
À ce jour, rien que pour les deux premières semaines de juillet, plus de 5000 enfants de moins de cinq ans ont déjà été admis pour des soins ambulatoires de la malnutrition, dont 18 % souffraient de malnutrition aiguë sévère, la forme la plus susceptible d’entraîner le décès du patient. Cette tendance s’inscrit dans le prolongement de ce que l’on constate depuis le mois de mai, puisque 6500 enfants avaient été admis pour des soins en juin, soit le nombre le plus élevé enregistré depuis octobre 2023.
De plus, 73 enfants atteints de malnutrition aiguë sévère et présentant des complications médicales ont été hospitalisés en juillet, contre 39 en juin, ce qui porte à 263 le nombre total d’hospitalisations de ce type en 2025. Cette forte hausse du nombre de cas met à rude épreuve les quatre seuls centres de la bande de Gaza spécialisés dans le traitement de la malnutrition, ce qui ne fait que pousser davantage un système de santé déjà fragile vers son effondrement. Les quatre centres concernés fonctionnent au-delà de leur capacité, manquent de carburant et leurs approvisionnements devraient être épuisés d’ici le milieu du mois prochain. Les agents de santé sont épuisés et l’arrêt des systèmes d’approvisionnement en eau et d’assainissement accélère la propagation des maladies, ce qui est propice à leur apparition dans un cycle mortifère dangereux.
Par ailleurs, cette crise prélève un lourd tribut chez les femmes enceintes et allaitantes. Il ressort de données de dépistage publiées récemment par le Groupe Nutrition que plus de 40 % d’entre elles souffrent de malnutrition sévère. La situation est particulièrement critique dans la zone centrale, où les taux d’incidence ont triplé par rapport à juin, et dans les villes de Gaza et Khan Younis, où ils ont doublé.
Pourtant, il n’y a pas que la faim qui tue les gens, mais aussi la quête désespérée de nourriture. Les familles sont contraintes de risquer leur vie pour un peu de nourriture, souvent dans des conditions dangereuses et en plein chaos. Depuis le 27 mai, plus de 1060 personnes ont ainsi été tuées et 7200 blessées alors qu’elles tentaient d’obtenir de la nourriture.
L’OMS appelle à ce que tout soit mis en œuvre immédiatement et de façon soutenue afin de faire entrer en grandes quantités dans la bande de Gaza des aliments nutritifs et diversifiés, et d’accélérer la livraison de fournitures médicales pour les enfants et les populations vulnérables, ainsi que de médicaments et d’approvisionnements essentiels. Pour redresser la situation et empêcher qu’elle se dégrade davantage, il faut que ces arrivées soient constantes et sans entrave. L’OMS réitère son appel à la protection des civils et de la santé. Elle appelle également à la libération de notre collègue détenu, à la libération des otages et à un cessez-le-feu immédiat.



Ghinzani a écrit:Ah zut tu n as pas laissé ton
Poste vide… peut être un
Petit sur le clavier…

Ghinzani a écrit:Sinon , enfin une réaction constructive d un groupe de pays arabes concernant Gaza.

Hugues a écrit:Ghinzani a écrit:Ah zut tu n as pas laissé ton
Poste vide… peut être un
Petit sur le clavier…
On comprend rien.
De quoi parles-tu ?
Hugues

Hugues a écrit:Ghinzani a écrit:Sinon , enfin une réaction constructive d un groupe de pays arabes concernant Gaza.
Aucun argument. Et même aucune source pour qu'on comprenne ...
Rien.
Ca couterait quoi de respecter ses lecteurs. Rien aussi....
Hugues (et aucune nouvelle sur les affirmations que tu as faite à partir de lundi 12h08, d'ailleurs)


Ghinzani a écrit:Ton dernier post d hier était vide.
Tu le sais bien.

Ghinzani a écrit:J ai pas de leçon à recevoir d’un gars qui sort les phrases de leur contexte, qui nie des choses simples, qui oblige à des réponses sans que cela ne fasse partie du règlement et qui harcèle un forumiste ( moi en l espèce) et lorsque le prends la peine d une réponse posée et détaillée ( cfr ta vidéo sur Amir) , non seulement tu n alimente pas l échange mais tu détourne mes propos pou joué à l idiot ( curieux d ailleurs pour quelqu’un plein de fatuité) .
Tu es un belliqueux, un haineux qui n a qu un
Objectif : écraser par un bombardement de tweets ( dont la preuve de l authenticité, dans ton cas n est pas à démontrer, rappelons nous la négation de l usage des hopitaux et écoles par le hamas) dans le seul et ce quelqu en soient les moyens d avoir raison, d écraser toute opposition : cela porte un nom: la dictature. Oui oui on sait que c est ton forum
Ouin ouin et si vous ne l admettez pas, j arrête de respirer.
Alors agis selon ton bon sens tel un bon manipulateur, je m en fiche.
J ai suffisamment de captures d écran…
Bon week-end à toi malgré tout Jean Claude Tergal.


Feyd a écrit:Bon débarras. Une "ingénieure" dont on se passe volontiers.
Si on pouvait être aussi efficaces avec tous les parasites qui n'ont rien à faire dans ce pays...
https://www.lefigaro.fr/international/l-etudiante-gazaouie-accusee-de-propos-antisemites-a-quitte-la-france-pour-le-qatar-20250803


Feyd a écrit:Bon débarras. Une "ingénieure" dont on se passe volontiers.




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