Cyril a écrit:Je l'attendais celle là
Si tu savais le nombre de fois où je suis gêné par des marcheurs qui se baladent en groupe, qui prennent toute la largeur du chemin et te regardent d'un oeil torve quand tu arrives en face d'eux. Une grosse majorité s'écartent au dernier moment... Quand ils s'écartent !
Par contre, j'admets que certains de mes camarades coureurs sont aussi de vrais connards et pensent que les chemins et routes sont à eux.
Bref, tous des cons sauf moi

Je crois qu'en fait tout ceci est un phénomène général : soit on est éduqué, soit on ne l'est pas !
Faut apprendre aux enfants qu'on n'est pas seuls dans l'espace public, que c'est un espace partagé et qu'il faut faire attention aux autres.
C'est la même chose en bric à brac. quand des gens qui se connaissent se croisent et se mettent à discuter en plein milieux du passage et empêchent tout le monde de passer, en s'en foutant.
Bah non, moi quand ça m'arrive, je dis à mon pote de se décaler sinon on va emmerder tout le monde.
L'autre jour un mec avec ses écouteurs mais regardant devant m'a foncé littéralement dessus d'un pas très rapide. même des marcheurs en face à face : c'est à moi de dégager !
Bref, quelque soit l'endroit, c'est une question d'éducation. Enfin c'est mon point de vue.
On pourrait ajouter les mamas africaines qui se parlent jusqu'à ne plus se voir à l'horizon donc plus y'a de distance, plus elles gueulent. Comme si elles étaient seules...
Elles ne valent pas mieux que les gens avec leurs son d'abrutis dont ils nous font profiter dans l'espace public en se croyant chez eux...
Et encore, même chez eux il y aurait des limites.
J'habite une petite maison HLM dans un quartier de nouveaux riches. Tout le monde est plutôt calme. Mais y'a juste un cas, un proprio en plus, pas un locataire, d'une petite maison. A peine construite, il divorce. il n'a jamais entretenu le jardin (je te dis pas la gueule des voisins), laisse une vielle cox pourrir dans les herbes folles. Il écoute chez lui de la musique à fond avec la baie vitrée ouverte. Résultat : même en télétravail je l'entends avec mes double-vitrages fermées !
Samedi il faisait beau, je profitais de mon petit jardin avec ma fille. Et voilà que la fille de cet abruti a fait du karaoké à tue tête, baie vitrée ouverte aussi !
Avec l'effet de résonance des bâtiments en enfilade, c'était insupportable.
Une seule personne peut pourrir la vie de tout un quartier...