Topic Coup de Coeur/Coup de Gueule

[Ghinzani]

Mais combien d'étudiants ? J'en fréquente quotidiennement une soixantaine par an depuis septembre 2005, je ne suis même pas sûr d'en avoir eu 3 (et encore) qui répondent à ta description.

Un jour, on est plus étudiant.

Oui, et ? Là, on parle des étudiants qui sont une fois diplômés, selon toi, soit des crétins incapable de faire quoique ce soit, soit des hyper-spécialistes incapables de s'adapter.

Tu vois la même soixantaine toute une année.
Combien crois tu que je vois de personnes différentes rien qu’à ma consultation sur une année?
Tu veux un exemple concret de mon constat ?
Voici. A la clinique, il y a notamment 18 jeunes praticiens. Ils choisissent de ne pratiquer qu’une partie précise des actes dentaires référant le reste à d’autres actant chacun un type de soins bien précis.
Lorsqu’un de ces hyper spécialistes n’est pas disponible, ils paniquent à l’idée de sortir de ce créneau sécuritaire par manque de pratiques.
Je comprends mieux leurs refus s’ouvrir un cabinet.
Comprends tu ici mes observations ?

[Maverick]

On a tous compris que ta vision des étudiants se limite aux apprentis dentistes....

[Cyril]

Oui tu as rêve c est une infime minorité. J avais même un collègue qui était commissaire de course avec moi et un autre avec lequel je joue du rock. Des exceptions qui confirment la règle en effet. Il y a peut être même des profs au Rn

En abordant les gens avec moins de préjugés (tu viens de le prouver une fois de plus dans ce message), tu t'apercevrais peut être qu'ils sont bien plus intéressants que l'image que tu te fais d'eux.

[Cyril]

Tu vois la même soixantaine toute une année.
Combien crois tu que je vois de personnes différentes rien qu’à ma consultation sur une année?
Tu veux un exemple concret de mon constat ?
Voici. A la clinique, il y a notamment 18 jeunes praticiens. Ils choisissent de ne pratiquer qu’une partie précise des actes dentaires référant le reste à d’autres actant chacun un type de soins bien précis.
Lorsqu’un de ces hyper spécialistes n’est pas disponible, ils paniquent à l’idée de sortir de ce créneau sécuritaire par manque de pratiques.
Je comprends mieux leurs refus s’ouvrir un cabinet.
Comprends tu ici mes observations ?

Oui, je comprends, puisque tu as toujours le même schéma de pensée, celui qui fait que l'on s'oppose souvent ici : tu prends un exemple que tu généralises à un ensemble d'individus pour définir une vérité absolue.

Et oui, je comprends que, pour toi, l'évaluation de qualités professionnelles est plus pertinente durant quelques séances dont l'objectif est de traiter des dents que durant deux voir trois années scolaires complètes dont l'objectif est justement de les former et de les évaluer comme futurs professionnels.

[Ghinzani]

On a tous compris que ta vision des étudiants se limite aux apprentis dentistes....

C’est un exemple, vécu tout comme Cyril parle de SON vécu à lui.

[Ghinzani]

Tu vois la même soixantaine toute une année.
Combien crois tu que je vois de personnes différentes rien qu’à ma consultation sur une année?
Tu veux un exemple concret de mon constat ?
Voici. A la clinique, il y a notamment 18 jeunes praticiens. Ils choisissent de ne pratiquer qu’une partie précise des actes dentaires référant le reste à d’autres actant chacun un type de soins bien précis.
Lorsqu’un de ces hyper spécialistes n’est pas disponible, ils paniquent à l’idée de sortir de ce créneau sécuritaire par manque de pratiques.
Je comprends mieux leurs refus s’ouvrir un cabinet.
Comprends tu ici mes observations ?

Oui, je comprends, puisque tu as toujours le même schéma de pensée, celui qui fait que l'on s'oppose souvent ici : tu prends un exemple que tu généralises à un ensemble d'individus pour définir une vérité absolue.

Et oui, je comprends que, pour toi, l'évaluation de qualités professionnelles est plus pertinente durant quelques séances dont l'objectif est de traiter des dents que durant deux voir trois années scolaires complètes dont l'objectif est justement de les former et de les évaluer comme futurs professionnels.

Je te rappelle que je suis des patients depuis plus de vingt ans. Cela fait un sacré recul, non?

[Cyril]

Des patients.

Tu leur fais passer des bilans de compétences professionnelles, pendant que tu les soignes ?

[Ghinzani]

Des patients.

Tu leur fais passer des bilans de compétences professionnelles, pendant que tu les soignes ?

Non, je les écoute parler librement de leur vie. Cela les détend. C’est ma pédagogie.
C’est très relax, tu sais ( tu ne sais pas, c’est plus juste), la vie avec moi.

[Cyril]

Relax ou non, cela ne te met pas en position ni en capacité de juger que les jeunes sont, une fois leur diplôme obtenu, soit des crétins, soit des incapables.

Tandis que cela fait partie de mon métier.

[Maverick]

On a tous compris que ta vision des étudiants se limite aux apprentis dentistes....

C’est un exemple, vécu tout comme Cyril parle de SON vécu à lui.

Tu ne fais pas que parler d'un vécu, tu en fais une analyse de la jeunesse étudiante.

[Ghinzani]

Relax ou non, cela ne te met pas en position ni en capacité de juger que les jeunes sont, une fois leur diplôme obtenu, soit des crétins, soit des incapables.

Tandis que cela fait partie de mon métier.

Ton point de vue est aussi respectable que le mien.
J’ai juste évoqué un cas de figure. J’en ai beaucoup d’autres mais me fatiguer avec des gens incapables d’accepter d’autres expériences de vie que la leur et donc se sentant détenteurs d’un savoir, de l’unique vérité, non merci…

[Ghinzani]

On a tous compris que ta vision des étudiants se limite aux apprentis dentistes....

C’est un exemple, vécu tout comme Cyril parle de SON vécu à lui.

Tu ne fais pas que parler d'un vécu, tu en fais une analyse de la jeunesse étudiante.

Je ne vais pas étaler toute ma vie quand même.

[Ghinzani]

Je sollicite ton point de vue sur une situation. Es tu d’accord, d’abord ?une réponse ? Positive ou non.

[Cyril]

Relax ou non, cela ne te met pas en position ni en capacité de juger que les jeunes sont, une fois leur diplôme obtenu, soit des crétins, soit des incapables.

Tandis que cela fait partie de mon métier.

Ton point de vue est aussi respectable que le mien.
J’ai juste évoqué un cas de figure. J’en ai beaucoup d’autres mais me fatiguer avec des gens incapables d’accepter d’autres expériences de vie que la leur et donc se sentant détenteurs d’un savoir, de l’unique vérité, non merci…

N'inverse pas les rôles, c'est toi qui a balancé ta vérité sur les capacités professionnelles de mes étudiants. C'est ce qui m'a fait réagir car j'ai horreur qu'on manque de respect à mes étudiants, surtout quand on ne les connaît pas et qu'on n'est pas en position de les juger.

Et un point de vue se justifie. Or, tu es en train de me dire que le point de vue d'un dentiste sur les capacités professionnelles de ses patients est plus pertinent que celui d'un enseignant sur ses étudiants. Désolé, mais ce n'est pas crédible, même en faisant tous les efforts du monde.

[Ghinzani]

Relax ou non, cela ne te met pas en position ni en capacité de juger que les jeunes sont, une fois leur diplôme obtenu, soit des crétins, soit des incapables.

Tandis que cela fait partie de mon métier.

Ton point de vue est aussi respectable que le mien.
J’ai juste évoqué un cas de figure. J’en ai beaucoup d’autres mais me fatiguer avec des gens incapables d’accepter d’autres expériences de vie que la leur et donc se sentant détenteurs d’un savoir, de l’unique vérité, non merci…

N'inverse pas les rôles, c'est toi qui a balancé ta vérité sur les capacités professionnelles de mes étudiants. C'est ce qui m'a fait réagir car j'ai horreur qu'on manque de respect à mes étudiants, surtout quand on ne les connaît pas et qu'on n'est pas en position de les juger.

Et un point de vue se justifie. Or, tu es en train de me dire que le point de vue d'un dentiste sur les capacités professionnelles de ses patients est plus pertinent que celui d'un enseignant sur ses étudiants. Désolé, mais ce n'est pas crédible, même en faisant tous les efforts du monde.

Je n’ai certainement pas parlé de TES étudiants. Cela serait ridicule, je ne les connais pas. J’ai évoqué les lacunes de l’enseignement en Belgique francophone et le constat sur un échantillon large de deux catégories de jeunes entrés dans la vie active. C’est une lapalissade que de ne pas en tirer une généralité mais plutôt un constat pour alimenter un échange et non une attaque.
Pour ta gouverne, sache ( et retiens svp) que je ne me sens détenteur d’AUCUNE vérité. J’évoque mon approche, mon ressenti, mon vécu qui est totalement discutable et bien sûr non partagé par qui le souhaite.

[Cyril]

Je n’ai certainement pas parlé de TES étudiants. Cela serait ridicule, je ne les connais pas. J’ai évoqué les lacunes de l’enseignement en Belgique francophone et le constat sur un échantillon large de deux catégories de jeunes entrés dans la vie active. C’est une lapalissade que de ne pas en tirer une généralité mais plutôt un constat pour alimenter un échange et non une attaque.
Pour ta gouverne, sache ( et retiens svp) que je ne me sens détenteur d’AUCUNE vérité. J’évoque mon approche, mon ressenti, mon vécu qui est totalement discutable et bien sûr non partagé par qui le souhaite.

Tu parles des étudiants en général, les miens en font partie, je ne pense pas qu'ils soient à part des autres étudiants. Quant à ton échantillon, s'il n'est pas dans la bonne situation, il ne sert à rien.

J'espère, en tout cas, que tu apprécieras mon point de vue sur l'état dentaire de la population actuelle, basée sur ce que je vois des dents des personnes quand elles me sourient.

[Ghinzani]

Je n’ai certainement pas parlé de TES étudiants. Cela serait ridicule, je ne les connais pas. J’ai évoqué les lacunes de l’enseignement en Belgique francophone et le constat sur un échantillon large de deux catégories de jeunes entrés dans la vie active. C’est une lapalissade que de ne pas en tirer une généralité mais plutôt un constat pour alimenter un échange et non une attaque.
Pour ta gouverne, sache ( et retiens svp) que je ne me sens détenteur d’AUCUNE vérité. J’évoque mon approche, mon ressenti, mon vécu qui est totalement discutable et bien sûr non partagé par qui le souhaite.

Tu parles des étudiants en général, les miens en font partie, je ne pense pas qu'ils soient à part des autres étudiants. Quant à ton échantillon, s'il n'est pas dans la bonne situation, il ne sert à rien.

J'espère, en tout cas, que tu apprécieras mon point de vue sur l'état dentaire de la population actuelle, basée sur ce que je vois des dents des personnes quand elles me sourient.

Et donne le ce point de vue, sinon comment l’apprécier ou non?

[Ghinzani]

N’oublie pas ma question…

[Ouais_supère]

Mais combien d'étudiants ? J'en fréquente quotidiennement une soixantaine par an depuis septembre 2005, je ne suis même pas sûr d'en avoir eu 3 (et encore) qui répondent à ta description.

Un jour, on est plus étudiant.

Oui, et ? Là, on parle des étudiants qui sont une fois diplômés, selon toi, soit des crétins incapable de faire quoique ce soit, soit des hyper-spécialistes incapables de s'adapter.

Tu vois la même soixantaine toute une année.
Combien crois tu que je vois de personnes différentes rien qu’à ma consultation sur une année?
Tu veux un exemple concret de mon constat ?
Voici. A la clinique, il y a notamment 18 jeunes praticiens. Ils choisissent de ne pratiquer qu’une partie précise des actes dentaires référant le reste à d’autres actant chacun un type de soins bien précis.
Lorsqu’un de ces hyper spécialistes n’est pas disponible, ils paniquent à l’idée de sortir de ce créneau sécuritaire par manque de pratiques.
Je comprends mieux leurs refus s’ouvrir un cabinet.
Comprends tu ici mes observations ?

Mais la question intéressante serait de savoir si, une fois leurs classes effectuées, ces jeunes apprentis praticiens sont-ils meilleurs ou moins bons que les précédentes générations ?

Je suis tout à fait prêt à entendre que les jeunes sortis des études souffrent d'un manque d'aptitude concrète, biberonnés qu'ils sont à la théorie et à certaines habitudes.
Mais peut-être que leur frilosité n'est pas un frein à leur apprentissage au fur et à mesure ?

[Ghinzani]

Mais combien d'étudiants ? J'en fréquente quotidiennement une soixantaine par an depuis septembre 2005, je ne suis même pas sûr d'en avoir eu 3 (et encore) qui répondent à ta description.

Un jour, on est plus étudiant.

Oui, et ? Là, on parle des étudiants qui sont une fois diplômés, selon toi, soit des crétins incapable de faire quoique ce soit, soit des hyper-spécialistes incapables de s'adapter.

Tu vois la même soixantaine toute une année.
Combien crois tu que je vois de personnes différentes rien qu’à ma consultation sur une année?
Tu veux un exemple concret de mon constat ?
Voici. A la clinique, il y a notamment 18 jeunes praticiens. Ils choisissent de ne pratiquer qu’une partie précise des actes dentaires référant le reste à d’autres actant chacun un type de soins bien précis.
Lorsqu’un de ces hyper spécialistes n’est pas disponible, ils paniquent à l’idée de sortir de ce créneau sécuritaire par manque de pratiques.
Je comprends mieux leurs refus s’ouvrir un cabinet.
Comprends tu ici mes observations ?

Mais la question intéressante serait de savoir si, une fois leurs classes effectuées, ces jeunes apprentis praticiens sont-ils meilleurs ou moins bons que les précédentes générations ?

Je suis tout à fait prêt à entendre que les jeunes sortis des études souffrent d'un manque d'aptitude concrète, biberonnés qu'ils sont à la théorie et à certaines habitudes.
Mais peut-être que leur frilosité n'est pas un frein à leur apprentissage au fur et à mesure ?

Il est clair que leur point de départ n’est pas le même que le mien et je m’enrichis de leur approche pour ma pratique. Je le répète, ce qui est choquant c’est le refus d’une pratique «  large » ce qui, d’une certaine manière est limitative.

[Ghinzani]

Je reviens sur ma quête de points de vue.
Dans une école, des élèves assistent à la pose d’une plaque commémorative d’enfants tués dans un accident routier.
Un des enfants demande la parole. Si j’étais mort dans cet accident, dit-il, je trouverais horrible l’évocation comme souvenir de ma vie ce seul moment tragique. Je préférerais un souvenir de la belle excursion faite ensemble.
Quelle est votre réaction à cette situation ?
Quelle est ta réaction à cette situation, Cyril ?
Sur ça…

[Cyril]

Et donne le ce point de vue, sinon comment l’apprécier ou non?

Si je te donne un point de vue sur cette question, que le constat soit bon ou mauvais, tu aurais logiquement le droit de me dire qu'on ne peut pas juger l'état dentaire de nos concitoyens juste en regardant leur dent quand ils sourient. Là, c'est la même chose ici.

N’oublie pas ma question…

Quelle question ?

[Ghinzani]

Et donne le ce point de vue, sinon comment l’apprécier ou non?

Si je te donne un point de vue sur cette question, que le constat soit bon ou mauvais, tu aurais logiquement le droit de me dire qu'on ne peut pas juger l'état dentaire de nos concitoyens juste en regardant leur dent quand ils sourient. Là, c'est la même chose ici.

N’oublie pas ma question…

Quelle question ?

Si tu fais les questions et les réponses. C’est une forme de refus de l’échange de points de vue, que tu interprètes à ta manière. Je ne fonctionne pas comme ça.

[Cyril]

Pourquoi n'as tu pas répondu alors ?

[Ghinzani]

Pourquoi n'as tu pas répondu alors ?

J’ai développé la situation, donne ton point de vue.

[Cyril]

Mais je n'ai pas de point de vue sur l'état dentaire de qui que ce soit C'était juste ton raisonnement appliqué à une autre situation.

[Ghinzani]

Mais je n'ai pas de point de vue sur l'état dentaire de qui que ce soit C'était juste ton raisonnement appliqué à une autre situation.

Tu bottes en touche. Pas grave.
Bonne semaine.

[Cyril]

Botter en touche ? Montre moi où. Moi, cela fait plusieurs messages que j'attends que tu me dises si ce type de réflexion te serait acceptable dans ton contexte professionnel.

[Ghinzani]

Je reviens sur ma quête de points de vue.
Dans une école, des élèves assistent à la pose d’une plaque commémorative d’enfants tués dans un accident routier.
Un des enfants demande la parole. Si j’étais mort dans cet accident, dit-il, je trouverais horrible l’évocation comme souvenir de ma vie ce seul moment tragique. Je préférerais un souvenir de la belle excursion faite ensemble.
Quelle est votre réaction à cette situation ?
Quelle est ta réaction à cette situation, Cyril ?
Sur ça…

Ici, déjà.

[Cyril]

Ca n'a aucun rapport avec la discussion que l'on a. Tu cherches une fois de plus à noyer le poisson, comme à chaque fois que tu es acculé dans une discussion.

Mais je vais te répondre : j'expliquerai au jeune que ce type de commémoration est parfois nécessaire pour les personnes toujours vivantes.

Maintenant, j'espère que tu vas enfin me répondre : trouverais-tu pertinent que je juge de l'état dentaire général de la population de nos pays en me basant seulement sur le sourire des gens, moi qui suis enseignant en informatique ?

[Ghinzani]

Ca n'a aucun rapport avec la discussion que l'on a. Tu cherches une fois de plus à noyer le poisson, comme à chaque fois que tu es acculé dans une discussion.

Mais je vais te répondre : j'expliquerai au jeune que ce type de commémoration est parfois nécessaire pour les personnes toujours vivantes.

Maintenant, j'espère que tu vas enfin me répondre : trouverais-tu pertinent que je juge de l'état dentaire général de la population de nos pays en me basant seulement sur le sourire des gens, moi qui suis enseignant en informatique ?

Ton avis pourrait bien sûr être pris en compte et serait porteur, rapporté à qui peut faire bouger les choses.
Pour revenir à la plaque commémorative, on peut ouvrir son esprit et se dire qu’il existe bien des façons de raconter la vie de personnes disparues même tragiquement sans la résumer à ce seul moment. Contrairement à tes propos, il y a un lien avec nos échanges et cet exemple : démontrer par la réponse donnée une étroitesse d’esprit… ou non.

[Cyril]

Donc, pour toi, on a beau avoir aucune connaissance sur un sujet (mes connaissance concernant les dents, par exemple) et avoir une vision étriquée d'une situation (quelques secondes d'observation des dents de devant, par exemple) pour avoir un avis pertinent sur le sujet (l'état dentaire de l'ensemble de la population, par exemple) ?

Je veux bien être sûr de ce que je viens de lire.

[Cyril]

Pour revenir à la plaque commémorative, on peut ouvrir son esprit et se dire qu’il existe bien des façons de raconter la vie de personnes disparues même tragiquement sans la résumer à ce seul moment. Contrairement à tes propos, il y a un lien avec nos échanges et cet exemple : démontrer par la réponse donnée une étroitesse d’esprit… ou non.

Désolé, ça n'a rien à voir avec notre sujet. Dans ton exemple, la notion d'observation est totalement absente, tandis qu'elle est primordiale dans le sujet sur lequel nous débattons.

[Ghinzani]

Pour revenir à la plaque commémorative, on peut ouvrir son esprit et se dire qu’il existe bien des façons de raconter la vie de personnes disparues même tragiquement sans la résumer à ce seul moment. Contrairement à tes propos, il y a un lien avec nos échanges et cet exemple : démontrer par la réponse donnée une étroitesse d’esprit… ou non.

Désolé, ça n'a rien à voir avec notre sujet. Dans ton exemple, la notion d'observation est totalement absente, tandis qu'elle est primordiale dans le sujet sur lequel nous débattons.

D’étroitesse d’esprit confirmée pour certains allant jusqu’à la mauvaise foi.

[Cyril]

Peux tu m'indiquer en quoi est-ce de mauvaise foi ? Où, dans ton exemple, se trouve cette notion d'observation de faits qui est essentielle dans notre débat ?

Ton exemple porte sur quelque chose de subjectif, l'appréciation d'individus d'une situation (comment vivre le deuil), et non sur quelque chose d'objectif (le niveau des étudiants ou l'état dentaire de personnes).

Et n'oublie pas de répondre à ma question.

[Ghinzani]

Peux tu m'indiquer en quoi est-ce de mauvaise foi ? Où, dans ton exemple, se trouve cette notion d'observation de faits qui est essentielle dans notre débat ?

Ton exemple porte sur quelque chose de subjectif, l'appréciation d'individus d'une situation (comment vivre le deuil), et non sur quelque chose d'objectif (le niveau des étudiants ou l'état dentaire de personnes).

Et n'oublie pas de répondre à ma question.

Je t’ai répondu. Tu es tellement aveuglé par ton souci de contrarier que tu en perds la vue des réponses.
Tu fonctionnes comme ceci : c’est Ghinzani , je ne lis pas, je n’essaie pas de comprendre, c’est nul de toutes façons.

[Cyril]

Comme indiqué dans mon message, je demande une confirmation de ce que j'ai justement lu.

Donc, sans aucune connaissance sur un sujet et avec une observation très partielle d'une situation, on peut avoir un avis pertinent sur le sujet ?

[Ghinzani]

Comme indiqué dans mon message, je demande une confirmation de ce que j'ai justement lu.

Donc, sans aucune connaissance sur un sujet et avec une observation très partielle d'une situation, on peut avoir un avis pertinent sur le sujet ?

On peut apporter un avis, oui de manière constructive.

[Cyril]

Apporter un avis, oui, pas de souci. Constructif, cela dépend de l'attitude que l'on a et si on admet les limites de nos connaissances.

Mais je demande surtout si cet avis est pertinent, surtout par rapport à quelqu'un qui a des connaissances sur le sujet et qui a une meilleure vision de la situation.

[Ghinzani]

Apporter un avis, oui, pas de souci. Constructif, cela dépend de l'attitude que l'on a et si on admet les limites de nos connaissances.

Mais je demande surtout si cet avis est pertinent, surtout par rapport à quelqu'un qui a des connaissances sur le sujet et qui a une meilleure vision de la situation.

On a tous un vécu. Pourquoi donc n’autoriser qu’un nombre limité de personnes à donner un avis évolutif ?

[denifumi]

et en mp ca serait mieux non?