Topic Espace/Astronomie

[sccc]

Je l’observe en ce moment de mon lieu de vacances.
Je l’ai mitraillée au 85 mm et 300 mm, plus quelques autres essais sur ciel profond.
Je posterais bien une image mais je n’ai pas d’hébergeur pour le moment et on ne peut pas télécharger directement d’un pc ou tablette (Hugues si tu m’entends...).
Elle s’éloigne à mesure qu’elle s’élève vers la grande ourse. Mais ça reste un spectacle rare.
Sur les photos au 300 mm on distingue bien les deux queues de la comète, celle de poussières (courbée) et celle de gaz, bleutée et orientée vers le soleil.

[sheon]

Je posterais bien une image mais je n’ai pas d’hébergeur pour le moment et on ne peut pas télécharger directement d’un pc ou tablette (Hugues si tu m’entends...).

Personnellement, je suis passé sur postimg.cc depuis que photobucket est devenu payant, pour l'instant c'est gratuit sans limite de taille, de durée ou de nombre d'images.

[sccc]

Merci Sheon.
Voilà une des images, prise avec un Pentax KP et un objectif Pentax 300 mm f/2.8, à pleine ouverture, 20 s de pose à 3200 ISO, appareil sur monture équatoriale.

[Cortese]

[Rainier]

Superbe, sccc

[sheon]

[DCP]

Bien joué !

[Maverick]

Je vais jeter un oeil ce soir.

[Dervi]

Elle reste désespérément invisible chaque soirée, cachée par ce voile de lumière de ville évanescent. Monde de merde.

[Alfa]

Quand la nuit tombe elle doit être basse sur l'horizon?
Hier j'ai rien vu malgré des conditions assez clair, mais l'horizon est caché par les arbres.

[sccc]

Elle est visible vers 22h30, elle monte chaque jour un peu plus mais perd de la luminosité.

[Hugues]

Stellarium est votre ami...

À télécharger ici (mais aussi présent par défaut et même déjà installé dans toute distribution Linux digne de ce nom):

https://stellarium.org/fr/

En revanche, la comète n'y est pas par défaut (il connait le nom, mais pas les données), il faut ajouter les sources MPC (à chaque rédmarrage de Stellarium, mais ça prend 5 secondes) pour qu'il connaisse les données.



Une vidéo parmi de nombreuses (choisie au hasard!) qui explique comment faire:


(Bon là il dit dans cette vidéo, différente d'une autre où était dit le contraire, que la comete est pas listée, c'est faux, elle y est en tout cas dans certaines versions de Stellarium.. juste les données sont manquantes)

Hugues

[Hugues]

A partir de 23h25, il y a l'ISS qui passe vraiment à proximité apparente (et sera beaucoup plus brillante que la comète).. sccc c'est le moment de nous faire une belle photo..

Bon la proximité dépend de votre lieu.. il doit même y avoir des lieux en Europe où les deux objets vont se superposer (j'avoue que j'ai pas cherché où encore)

Hugues

[Nicklaus]

punaise, faut pas que je me relève pour aller voir ça.

[sccc]

Hier j'y étais pas.
Par contre avant-hier, j'ai fait qques essais autres que la comète:






Et une nouvelle de la comète


Toutes les photos sont des poses uniques, sans traitement à part la conversion en JPG

[sheon]

[sccc]

En fait c'est la première fois que je fais de l'astrophoto en numérique. Par le passé j'en ai fait en argentique mais je dois avouer que c'était beaucoup plus pénible.
Je suis passé au numérique en 2009 en achetant un Pentax K7, malheureusement son capteur était beaucoup trop bruité et peu performant dans les conditions de prise de vue requises pour de l'astrophoto. En septembre 2019, j'ai acheté un Pentax KP, doté d'un capteur beaucoup plus sensible est beaucoup moins bruité. J'avoue être moi-même surpris du résultat avec une seule pose (pas de superposition de plusieurs poses) de 30s à 3 minutes. Bon être honnête, cela vient également de l'optique de course, qui m'a coûté un bras même d'occasion.
Je vais peut-être commencer à creuser du côté traitement... , même si c'est pas ma tasse de thé.

[Maverick]

Rien vu, trop de nuages hier soir.

[Ouais_supère]

C'est vraiment joli, merci Sccc !

[Alfa]

Jolie en effet, on voit mème une galaxie ! M51, du tourbillon.

A savoir que les galaxies (les plus proches) sont assez grande dans la voute céleste, le problème c'est qu'elles manque de luminosité donc on les voit mal. Andromède prend beaucoup plus de place que la lune par exemple mais il n'y a guerre que son noyau qui est visible a l’œil nue, et par de bonne conditions.

[sccc]

C’est bien M51, c’est elle que je visais. Avec 300 mm de focale c’est bien sûr pas très grand sur l’image.
Dans l’ordre, du haut en bas:
M11 dans l’Ecu, amas globulaire.
M51 dans la Grande Ourse, galaxie spirale (en phase de fusion avec une galaxie proche).
M8 (Lagune) et M20 (Trifide), dans le Sagittaire, nébuleuses à émission

[Nicklaus]

Tu prends tes photos en étant loin des villes ?

[sccc]

Tu prends tes photos en étant loin des villes ?

C'est plutôt conseillé sous peine de voiler d'orange le fond du ciel.
Là je suis dans ma maison e Toscane, pas de loupiotes visibles sur 360° de l'endroit où j'observe. Et un ciel bien noir et transparent. Pas le meilleur mais très satisfaisant.

[Shoemaker]

Super photo !
(je me rappelle de la comète visible dans les années 90, je crois, très visible, très impressionnante)

[sccc]

:good
Super photo !
(je me rappelle de la comète visible dans les années 90, je crois, très visible, très impressionnante)

Hale Bopp. Prochain passage dans 2392 ans.
Pour Neowise, prochain passage dans 6800 ans.

[Shoemaker]

:good
Super photo !
(je me rappelle de la comète visible dans les années 90, je crois, très visible, très impressionnante)

Hale Bopp. Prochain passage dans 2392 ans.
Pour Neowise, prochain passage dans 6800 ans.

2392 ans ! Incroyable ! Quant à 6800, j'imagine même pas !
On est peu de chose

[Nicklaus]

Même sur Dunkerque on la voyait malgré les 3 kilomètres de pollution dans le ciel

[Nicklaus]

Tu prends tes photos en étant loin des villes ?

C'est plutôt conseillé sous peine de voiler d'orange le fond du ciel.
Là je suis dans ma maison e Toscane, pas de loupiotes visibles sur 360° de l'endroit où j'observe. Et un ciel bien noir et transparent. Pas le meilleur mais très satisfaisant.

La toscane ? Situ me dis que t'es pas loin du mugello, je te maudis sur 50 générations.

[sccc]

Je suis beaucoup plus au Sud, du côté du monte Amiata.
Mais tu peux maudire quand même si ça te fait plaisir. y

[Nicklaus]

Patience, tu es sur la liste d'attente.

[Hugues]

Secret de polichinelle (de toute façon c'était soit SpaceX soit Boeing... et Boeing paraissait incertain):

Fin du suspense : c'est avec le Crew Dragon 🐉🚀 de SpaceX que je décollerai l'année prochaine ! L'entraînement a déjà débuté dans son cockpit futuriste... Il ne reste plus qu'à installer l'application "lancement" sur ces tablettes géantes 😉🙃😅... pic.twitter.com/9CdIBO4bC0

— Thomas Pesquet (@Thom_astro) July 28, 2020

Looks like I'll be the first European to ever ride a Dragon into space! Training has already started at SpaceX's futuristic facilities. Stay tuned for more updates... and wait, how do you install the "launch" app on these giant tablet-screens? 😅😉🙃 pic.twitter.com/wD7zOf7EAl

— Thomas Pesquet (@Thom_astro) July 28, 2020

Hugues

[DCP]

Es-tu sûr d'avoir posté dans le bon sujet ?

[Hugues]

We have detected a gas called "phosphine" in the atmosphere of Venus, says @jgreaves6. This could point to the presence of life in the clouds of Venus. Their study is published in the journal Nature Astronomy and will be free to access today. #VenusNews

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

Dr William Bains of MIT up now. They spent a couple of years trying to work out what could possibly create that level of phosphine in the atmosphere. #VenusNews pic.twitter.com/k4XNETlsgr

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

They looked at over 70 different reactions and did a thermodynamic analysis. They could not find any that could create the amount of phosphine that they observed says Dr William Bains. #VenusNews They also looked at rock chemistry, lightning and more - none explained observation.

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

Two possibilities - there could be some completely unknown reaction that is creating phosphine, or the more exciting one, that it could be life, says William Bains. #VenusNews

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

Now it's @ProfSaraSeager - warning that "we are not claiming discovery on life Venus" - but says that they are confident that they have found phosphine. "We would like to see our findings repeated with observations at different wavelengths" #Venus

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

Earth has life in the clouds - either freely floating or in droplets. It doesn't stay up there very long before being rained down elsewhere. But there are clouds on Venus permanently says @ProfSaraSeager. #VenusNews

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

A suggested life-cycle hypothesis is being suggested by @ProfSaraSeager - watch the live stream to find out more. #VenusNews https://t.co/Mq6oeFVDZk pic.twitter.com/T6Gwzn80Dl

— Royal Astronomical Society (@RoyalAstroSoc) September 14, 2020

Ce ne sont que des extraits d'un très long fil que vous pouvez consulter sur le compte idoine.

Hugues

[Garion]

Contrairement, à ce qui a été dit dans tes Tweets, 3 possibilités :
- Phénomène de formation de la phosphine inconnu
- Bactéries
- Mais ne l'oublions pas : erreur de mesure et taux de phosphine réel inférieur à celui mesuré.

Il faut vérifier les 3 possibilités, et pas uniquement les deux premières.

[Garion]

En tout cas, c'est excitant

[Nono]

Hugo Lisoir en parle dans les DNDE du jour.

[Hugues]

Contrairement, à ce qui a été dit dans tes Tweets, 3 possibilités :
- Phénomène de formation de la phosphine inconnu
- Bactéries
- Mais ne l'oublions pas : erreur de mesure et taux de phosphine réel inférieur à celui mesuré.

Il faut vérifier les 3 possibilités, et pas uniquement les deux premières.

Dans le fil c'est assez clair qu'il y a ces trois hypothèses.
Et même dans ce que j'ai reproduit, c'est dit implicitement: puisqu'ils incitent la communauté scientifique à mesurer elle même les taux et à refaire les calculs à partir de leur données.
"We would like to see our findings repeated with observations at different wavelengths"

Hugues

[Hugues]

Le premier trou noir "photographié":


Cliquer pour l'image en haute qualité
Event Horizon Telescope Collaboration[/url]"]Scientists have obtained the first image of a black hole, using Event Horizon Telescope observations of the center of the galaxy M87. The image shows a bright ring formed as light bends in the intense gravity around a black hole that is 6.5 billion times more massive than the Sun. This long-sought image provides the strongest evidence to date for the existence of supermassive black holes and opens a new window onto the study of black holes, their event horizons, and gravity. Credit: Event Horizon Telescope Collaboration Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher

Les cinq conférences de presse simultanées:
Europe:


Etats-Unis:


Chili:


Japon:


Taïwan:

https://www.facebook.com/sinicaedu/videos/1291969187618328/

Astronomers Capture First Image of a Black Hole
An international collaboration presents paradigm-shifting observations of the gargantuan black hole at the heart of distant galaxy Messier 87

The Event Horizon Telescope (EHT) — a planet-scale array of eight ground-based radio telescopes forged through international collaboration — was designed to capture images of a black hole. Today, in coordinated press conferences across the globe, EHT researchers reveal that they have succeeded, unveiling the first direct visual evidence of a supermassive black hole and its shadow.

This breakthrough was announced today in a series of six papers published in a special issue of The Astrophysical Journal Letters. The image reveals the black hole at the center of Messier 87 [1], a massive galaxy in the nearby Virgo galaxy cluster. This black hole resides 55 million light-years from Earth and has a mass 6.5 billion times that of the Sun [2].

The EHT links telescopes around the globe to form an Earth-sized virtual telescope with unprecedented sensitivity and resolution [3]. The EHT is the result of years of international collaboration, and offers scientists a new way to study the most extreme objects in the Universe predicted by Einstein’s general relativity during the centennial year of the historic experiment that first confirmed the theory [4].

"We have taken the first picture of a black hole," said EHT project director Sheperd S. Doeleman of the Center for Astrophysics | Harvard & Smithsonian. "This is an extraordinary scientific feat accomplished by a team of more than 200 researchers."

Black holes are extraordinary cosmic objects with enormous masses but extremely compact sizes. The presence of these objects affects their environment in extreme ways, warping spacetime and super-heating any surrounding material.

"If immersed in a bright region, like a disc of glowing gas, we expect a black hole to create a dark region similar to a shadow — something predicted by Einstein’s general relativity that we’ve never seen before, explained chair of the EHT Science Council Heino Falcke of Radboud University, the Netherlands. "This shadow, caused by the gravitational bending and capture of light by the event horizon, reveals a lot about the nature of these fascinating objects and allowed us to measure the enormous mass of M87’s black hole."

Multiple calibration and imaging methods have revealed a ring-like structure with a dark central region — the black hole’s shadow — that persisted over multiple independent EHT observations.

"Once we were sure we had imaged the shadow, we could compare our observations to extensive computer models that include the physics of warped space, superheated matter and strong magnetic fields. Many of the features of the observed image match our theoretical understanding surprisingly well," remarks Paul T.P. Ho, EHT Board member and Director of the East Asian Observatory [5]. "This makes us confident about the interpretation of our observations, including our estimation of the black hole’s mass."

Creating the EHT was a formidable challenge which required upgrading and connecting a worldwide network of eight pre-existing telescopes deployed at a variety of challenging high-altitude sites. These locations included volcanoes in Hawai`i and Mexico, mountains in Arizona and the Spanish Sierra Nevada, the Chilean Atacama Desert, and Antarctica.

The EHT observations use a technique called very-long-baseline interferometry (VLBI) which synchronises telescope facilities around the world and exploits the rotation of our planet to form one huge, Earth-size telescope observing at a wavelength of 1.3 mm. VLBI allows the EHT to achieve an angular resolution of 20 micro-arcseconds — enough to read a newspaper in New York from a sidewalk café in Paris [6].

The telescopes contributing to this result were ALMA, APEX, the IRAM 30-meter telescope, the James Clerk Maxwell Telescope, the Large Millimeter Telescope Alfonso Serrano, the Submillimeter Array, the Submillimeter Telescope, and the South Pole Telescope [7]. Petabytes of raw data from the telescopes were combined by highly specialised supercomputers hosted by the Max Planck Institute for Radio Astronomy and MIT Haystack Observatory.

The construction of the EHT and the observations announced today represent the culmination of decades of observational, technical, and theoretical work. This example of global teamwork required close collaboration by researchers from around the world. Thirteen partner institutions worked together to create the EHT, using both pre-existing infrastructure and support from a variety of agencies. Key funding was provided by the US National Science Foundation (NSF), the EU's European Research Council (ERC), and funding agencies in East Asia.

"We have achieved something presumed to be impossible just a generation ago," concluded Doeleman. "Breakthroughs in technology, connections between the world's best radio observatories, and innovative algorithms all came together to open an entirely new window on black holes and the event horizon."


Notes

[1] The shadow of a black hole is the closest we can come to an image of the black hole itself, a completely dark object from which light cannot escape. The black hole’s boundary — the event horizon from which the EHT takes its name — is around 2.5 times smaller than the shadow it casts and measures just under 40 billion km across.

[2] Supermassive black holes are relatively tiny astronomical objects — which has made them impossible to directly observe until now. As a black hole’s size is proportional to its mass, the more massive a black hole, the larger the shadow. Thanks to its enormous mass and relative proximity, M87’s black hole was predicted to be one of the largest viewable from Earth — making it a perfect target for the EHT.

[3] Although the telescopes are not physically connected, they are able to synchronize their recorded data with atomic clocks — hydrogen masers — which precisely time their observations. These observations were collected at a wavelength of 1.3 mm during a 2017 global campaign. Each telescope of the EHT produced enormous amounts of data — roughly 350 terabytes per day — which was stored on high-performance helium-filled hard drives. These data were flown to highly specialised supercomputers — known as correlators — at the Max Planck Institute for Radio Astronomy and MIT Haystack Observatory to be combined. They were then painstakingly converted into an image using novel computational tools developed by the collaboration.

[4] 100 years ago, two expeditions set out for the island of Príncipe off the coast of Africa and Sobra in Brazil to observe the 1919 solar eclipse, with the goal of testing general relativity by seeing if starlight would be bent around the limb of the sun, as predicted by Einstein. In an echo of those observations, the EHT has sent team members to some of the world's highest and isolated radio facilities to once again test our understanding of gravity.

[5] The East Asian Observatory (EAO) partner on the EHT project represents the participation of many regions in Asia, including China, Japan, Korea, Taiwan, Vietnam, Thailand, Malaysia, India and Indonesia.

[6] Future EHT observations will see substantially increased sensitivity with the participation of the IRAM NOEMA Observatory, the Greenland Telescope and the Kitt Peak Telescope.

[7] ALMA is a partnership of the European Southern Observatory (ESO; Europe, representing its member states), the U.S. National Science Foundation (NSF), and the National Institutes of Natural Sciences (NINS) of Japan, together with the National Research Council (Canada), the Ministry of Science and Technology (MOST; Taiwan), Academia Sinica Institute of Astronomy and Astrophysics (ASIAA; Taiwan), and Korea Astronomy and Space Science Institute (KASI; Republic of Korea), in cooperation with the Republic of Chile. APEX is operated by ESO, the 30-meter telescope is operated by IRAM (the IRAM Partner Organizations are MPG (Germany), CNRS (France) and IGN (Spain)), the James Clerk Maxwell Telescope is operated by the EAO, the Large Millimeter Telescope Alfonso Serrano is operated by INAOE and UMass, the Submillimeter Array is operated by SAO and ASIAA and the Submillimeter Telescope is operated by the Arizona Radio Observatory (ARO). The South Pole Telescope is operated by the University of Chicago with specialized EHT instrumentation provided by the University of Arizona.

L'original comporte non seulement divers liens à ce texte, mais en sus des liens vers 6 publications scientifiques relatives à ce projet et son objectif (certaines théorisant par exemple le traitement des données etc...).
Ainsi que des liens vers des images en plus haute résolution encore (et avec une compression nulle, notamment un TIFF de 180Mo).

https://eventhorizontelescope.org/

Hugues

The first black hole ever photographed now appears to be "wobbling" https://t.co/2gvkWfXgHz

— CBS News (@CBSNews) September 25, 2020

Hugues

[sheon]

Pour ceux qui ne parlent pas parfaitement l'anglais, ça signifie que le premier trou noir à être photographié semble osciller.

[Nicklaus]

[sheon]