Modérateurs: Garion, Silverwitch

Hugues a écrit:On attend avec impatience l'argumentation qui ne surviendra jamais plus étayée que le très profond smiley..
Hugues



Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues


Hugues a écrit:C'est marrant que tu essaie de me l'expliquer, comme si je ne créais rien moi-même.
On ne sait toujours pas pourquoi il faut du courage..
En revanche, pour se révolter, quand on a presque plus rien, là il faut un grand courage.. Et je peux le démontrer, moi.
Hugues

Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant


Hugues a écrit:Suivant des définitions Ghinzaniesque qui ne correspondent à aucune admise dans la langue française..
Mais comme ce n'est pas par cela, qu'on juge un homme... Que ce genre de paramètre est multiplié à la fin par zéro, quand d'autres réalisations les seules qui vaillent, survivent elles...
La multiplication par zéro.
Hugues


Aym a écrit:Pardon de venir déranger, mais est-ce qu'il y a un lien avec Paul Frère ?
Hugues a écrit:Dont le sens, qui vient de loin, t'échappe visiblement.
Hugues


Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues
Car on vit dans un monde où l’on a cassé l’esprit d’enTreprise.
Lancer son affaire n’est jamais sécurisant. On ne compte pas ses heures, on est pas malade. On a mal au ventre parfois.
Mais on a la satisfaction d’avoir créer quelque chose.

sheon a écrit:Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues
Car on vit dans un monde où l’on a cassé l’esprit d’enTreprise.
Lancer son affaire n’est jamais sécurisant. On ne compte pas ses heures, on est pas malade. On a mal au ventre parfois.
Mais on a la satisfaction d’avoir créer quelque chose.
Avec la destruction du code du travail, être employé n'est pas non plus sécurisant, on ne compte pas ses heures, on n'est pas malade, on a mal au ventre parfois.
Et on n'a même pas la satisfaction de récupérer les fruits de son travail puisqu'on n'est pas actionnaire ou PDG. "On n'a pas pris de risques."

Ghinzani a écrit:sheon a écrit:Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues
Car on vit dans un monde où l’on a cassé l’esprit d’enTreprise.
Lancer son affaire n’est jamais sécurisant. On ne compte pas ses heures, on est pas malade. On a mal au ventre parfois.
Mais on a la satisfaction d’avoir créer quelque chose.
Avec la destruction du code du travail, être employé n'est pas non plus sécurisant, on ne compte pas ses heures, on n'est pas malade, on a mal au ventre parfois.
Et on n'a même pas la satisfaction de récupérer les fruits de son travail puisqu'on n'est pas actionnaire ou PDG. "On n'a pas pris de risques."
Tu as une Sécu, un chômage, un salaire qui tombe tous les mois....Cela diminue les maux de ventre.
Ghinzani a écrit:sheon a écrit:Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues
Car on vit dans un monde où l’on a cassé l’esprit d’enTreprise.
Lancer son affaire n’est jamais sécurisant. On ne compte pas ses heures, on est pas malade. On a mal au ventre parfois.
Mais on a la satisfaction d’avoir créer quelque chose.
Avec la destruction du code du travail, être employé n'est pas non plus sécurisant, on ne compte pas ses heures, on n'est pas malade, on a mal au ventre parfois.
Et on n'a même pas la satisfaction de récupérer les fruits de son travail puisqu'on n'est pas actionnaire ou PDG. "On n'a pas pris de risques."
Tu as une Sécu, un chômage, un salaire qui tombe tous les mois....Cela diminue les maux de ventre.

Aym a écrit:Pardon de venir déranger, mais est-ce qu'il y a un lien avec Paul Frère ?
Rainier a écrit:Aym a écrit:Pardon de venir déranger, mais est-ce qu'il y a un lien avec Paul Frère ?
Et a-t-il un lien avec l'autre Paul Frère vainqueur au Mans en 1960 avec Olivier Gendebien ?
(Monsieur Cortese est appelé à la barre pour témoigner)
Ouais_supère a écrit:Tu ne sais pas de quoi tu parles.

DCP a écrit:Ghinzani a écrit:sheon a écrit:Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues
Car on vit dans un monde où l’on a cassé l’esprit d’enTreprise.
Lancer son affaire n’est jamais sécurisant. On ne compte pas ses heures, on est pas malade. On a mal au ventre parfois.
Mais on a la satisfaction d’avoir créer quelque chose.
Avec la destruction du code du travail, être employé n'est pas non plus sécurisant, on ne compte pas ses heures, on n'est pas malade, on a mal au ventre parfois.
Et on n'a même pas la satisfaction de récupérer les fruits de son travail puisqu'on n'est pas actionnaire ou PDG. "On n'a pas pris de risques."
Tu as une Sécu, un chômage, un salaire qui tombe tous les mois....Cela diminue les maux de ventre.
Si tu parles de la sécurité financière, un patron avec un compte en banque bien garni qui lui permet de vivre tranquillement quelques mois, voir quelques années, a bien plus de sécurité financière que l'employé qui doit vivre sur son salaire chaque mois et a de la peine à mettre des sous de côté.

sheon a écrit:Ghinzani a écrit:sheon a écrit:Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:(Même en admettant que ce soit facile, d'avoir un emprunt, en quoi faut-il du courage puisque c'est facile...)
Enfin voilà, l'inanité dialectique habituelle...
Hugues
Car on vit dans un monde où l’on a cassé l’esprit d’enTreprise.
Lancer son affaire n’est jamais sécurisant. On ne compte pas ses heures, on est pas malade. On a mal au ventre parfois.
Mais on a la satisfaction d’avoir créer quelque chose.
Avec la destruction du code du travail, être employé n'est pas non plus sécurisant, on ne compte pas ses heures, on n'est pas malade, on a mal au ventre parfois.
Et on n'a même pas la satisfaction de récupérer les fruits de son travail puisqu'on n'est pas actionnaire ou PDG. "On n'a pas pris de risques."
Tu as une Sécu, un chômage, un salaire qui tombe tous les mois....Cela diminue les maux de ventre.
Oui oui.
On voit que tu n'as jamais été salarié.



DCP a écrit:sheon a écrit:Non mais comme d'habitude, il fait fortune parce qu'il est PDG et qu'il y a des gens qui bossent dans sa boîte, donc qui produisent de la richesse qu'il est seul à toucher.
Un PDG ne sert à rien, sans lui les salariés continuent de produire de la richesse. L'inverse n'est pas vrai.
Faut pas pousser trop loin quand même, si tu enlèves le pdg et, plus globalement la structure managériale de l’entreprise, elle ne va pas tourner très longtemps. L’entreprise a aussi besoin d’un patron, de personnes qui la financent pour fonctionner. Après, oui, sur la répartition de la richesse générée, il y a beaucoup à dire...

sheon a écrit:Pour une fois, on devrait prendre exemple sur certaines boîtes d'Amérique du Nord, qui ont une structure très simple avec deux niveaux : ton chef direct puis le PDG. Pour eux, c'est une question de coût et non de justice sociale mais les deux parties sont contentes....
sheon a écrit:En plus, faut pas me faire croire que pour lancer sa boîte, le gars a emprunté plusieurs millions, ou alors il avait des garanties en béton armé derrière donc ne partait pas de zéro.
Or, s'il a emprunté moins que ça, en quoi mérite-t-il de se retrouver à la tête d'une fortune de plusieurs milliards, donc de multiplier par plus de mille son prêt (et non investissement, hein) de départ ? C'est insensé et indécent. Si sa boîte fonctionne, tant mieux pour lui, mais en profiter pour s'aligner un salaire à 8 ou 9 chiffres en récompense, c'est inadmissible.DCP a écrit:sheon a écrit:Non mais comme d'habitude, il fait fortune parce qu'il est PDG et qu'il y a des gens qui bossent dans sa boîte, donc qui produisent de la richesse qu'il est seul à toucher.
Un PDG ne sert à rien, sans lui les salariés continuent de produire de la richesse. L'inverse n'est pas vrai.
Faut pas pousser trop loin quand même, si tu enlèves le pdg et, plus globalement la structure managériale de l’entreprise, elle ne va pas tourner très longtemps. L’entreprise a aussi besoin d’un patron, de personnes qui la financent pour fonctionner. Après, oui, sur la répartition de la richesse générée, il y a beaucoup à dire...
C'est bidon, la Belgique s'en est très bien sortie sans gouvernement il y a quelques années.
La "structure managériale" n'est qu'une structure parasitaire. Pour une fois, on devrait prendre exemple sur certaines boîtes d'Amérique du Nord, qui ont une structure très simple avec deux niveaux : ton chef direct puis le PDG. Pour eux, c'est une question de coût et non de justice sociale mais les deux parties sont contentes. Le fait de créer un mille-feuille hiérarchique est typiquement européen (ou français ?), ça permet de flatter les égos en nommant tout le monde chef de quelque chose, mais la vérité est que ça ne sert à rien. En général, au premier niveau hiérarchique, tu as un chef qui gère dix-vingt personnes et qui est proche de son équipe : lui sert à quelque chose (sous réserve qu'il soit compétent). Mais dès le niveau supérieur, ça part en vrille : tu as un chef qui gère 4-5 chefs et qui s'enorgueillit de gérer "75 personnes réparties en 5 équipes", mais en vérité il ne gère que 5 chefs et c'est tout. Ces gens ne servent que de passe-plat. Bullshit jobs, comme on dit.
sheon a écrit:Mais, tu sais, un PDG n'est pas une profession libérale.
Ça n'a rien à voir.
Le gars n'était pas auto-entrepreneur, il a profité de la richesse créée par ses salariés pour s'enrichir.
Ça n'a donc rien à voir avec ton boulot.

Ghinzani a écrit:sheon a écrit:Mais, tu sais, un PDG n'est pas une profession libérale.
Ça n'a rien à voir.
Le gars n'était pas auto-entrepreneur, il a profité de la richesse créée par ses salariés pour s'enrichir.
Ça n'a donc rien à voir avec ton boulot.
Il a repris , effectivement, l'entreprise familiale. Je n'ai pas dit qu'il y a un lien avec ma situation, j'ai simplement dit que j'avais une certaine admiration pour lui...C'est tout. Chacun pense ce qu'il veut.

sheon a écrit:Un PDG ne sert à rien, sans lui les salariés continuent de produire de la richesse. L'inverse n'est pas vrai.

sheon a écrit:Une entreprise auto-gérée par ses employés peut faire exactement la même chose.

Maschum a écrit:En général, quand on parle de "PDG" on pense à un président de grande entreprise, non ?
Une TPE à un patron, éventuellement.. Pas un PDG.
J'imagine mal l'entreprise D'aucy ou Samsung en auto gestion, par exemple.

Maschum a écrit:En général, quand on parle de "PDG" on pense à un président de grande entreprise, non ?
Une TPE à un patron, éventuellement.. Pas un PDG.
J'imagine mal l'entreprise D'aucy ou Samsung en auto gestion, par exemple.


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