Que regarder à la TV gratuite ?

[denim]

Pour les feuilletons policiers, il y en a qui sont bien, corrects, réalisés et joués honnêtement, mais il y en a d'autres qui me font bouillir le cervelet. Tout ce que tu dit plus une sorte d'hystérie morbide complaisante, avec moults hurlements et force engueulades, sans interruption ou presque, sur fond de musique anti-anti-stress. Là je peux plus, je craque ! Et je sais pas si tu as remarqué mais ces feuilletons ils arrivent tous les soirs après "une page de publicité" où il n'y a plus de publicités ! Que des appels au dons pour une sorte de cortège funèbre quotidien de maladies diverses incurables, avec même la dépression !
Je me disais hier : c'est pas possible, ils sont en train de préparer la population à la guerre ou quoi ?

tendre les gens sur des thèmes de merde...LGBT,transgenres,la Schiappa de mes fesses,l'égalité homme/femme retranscrite jusque dans les séries télés.
là dessus on y rajoute comme tu dis des "dons" pour la "lutte contre le cancer" puis une petite couche sur les antidépresseurs alors qu'ils font tout pour que les gens en consomment, il y en a de plus en plus.
une sorte de stratégie de la tension.
pendant ce temps là, nos élites(ironie) font ce qu'ils veulent de la constitution française, en gros se torchent le cul avec et passent les lois qu'ils veulent.
et pourtant Dieu sait qu'ils nous en abreuvent des "droits de l'homme" ou de "la démocratie" ou des "valeurs de la république" et autres conneries de ce style.
l'indignation chez eux est sélective.

on est dans un mix de HG Welles,Orwell.
serait on dans un projet messianique ???

pas d'amalgame pas d'amalgame...hein,commençons pas.
après on va dire, oui tout ça...

[sheon]

aaaah...un bon de Funes.
"le gendarme se marrie"
le bon vieux temps d'une France limpide, respectée et respectueuse.
qui tenait avec fierté sa place sur la scène internationale.
une France qui pouvait marcher la tête haute et fière d'être France.
où l'homme est la femme avaient leur place.
aujourd'hui ??
quelle désastre,parlons pas des films ou des séries télés policières ou depuis quelques temps, la grande mode c'est prendre une nana et lui mettre un flingue entre les mains et se la jouer comme les mecs.
elles sont d'un ridicule...affligeant.
enfin bon, voilà les nouveaux codes sociétales.
plus d'hommes, plus de femmes.
une marchandisation de l'humain pour une société du spectacle, une sorte de mélasse quoi où on ne sait plus qui est qui ou qui fait quoi.

que c'est triste...barbara.

Ouais, un bon film de merde.

[denim]

T'Y CONNAIS RIEN EN PATRIMOINE FRANCAIS !!!

[denim]

bon ce soir encore un monument du cinéma français.
du temps où la France savait faire des films.

"le samouraï" avec le beau Delon et la belle cathy Rosier,françois Périer,nathalie Delon.
quand même la grande classe Delon,glaçant et impérial.

il parait qu'à l'époque,le bruit courrait que cathy Rosier aurait eu une liaison avec giscard d'Estaing...
ben putain.
elle est morte jeune à 57 ans,rupture d'anévrisme.

[DCP]

Je ne l'ai su qu'aujourd'hui, disponible jusqu'à demain seulement sur le site d'Arte, le sel de la terre, superbe film documentaire sur un grand photographe humaniste, Salgado, à voir:
https://www.arte.tv/fr/videos/084345-00 ... -la-terre/

[Shoemaker]

Hier, je regardais d'un derrière distrait (comme dit Cortese ) un film Franco-Iranien quelconque.
C'était ronronnant, total neurasthénique, catatonique... genre tu regardes, puis tu vas te suicider tranquille, sans raison...
Soudain, me tirant de ma torpeur en mode déprime profonde, des cris hystériques !
Hein ? quoi ? où ? Les Russes attaquent ? C'est la fin du monde ? le cauchemar du réveil matinal ?....
Bah, c'était la fameuse et incontournable scène de ce genre de films, quand l'actrice principale se met à pousser de cris horribles, insupportables, vrillant l'esprit et insultant la raison... Des cris de pauvre cochon qu'on saigne sans pitié... Des cris à vous transformer in petto en psychokiller dément...
Je crois que c'est la nullissime Sophie Marceau, qui avait lancé cette mode, de ce qui est considéré comme le "moment de bravoure" incontournable, qui prouve qu'on est une "grande actrice", cette ignoble mode de se mettre à crier, crier, crier...
J'ai eu une pensée émue pour le cinéma d'aaaaavant, quand, dès qu'une nana se mettait à dérailler dangereusement de la voix, Gabin la remettait vite fait sur les rails avec un aller retour de baffes circonstanciées et sans négociations
(ce message n'a strictement rien de misogyne : il est strictement dirigé contre les actrices hurleuses, pas plus )

[rozz]

Hier, je regardais d'un derrière distrait (comme dit Cortese ) un film Franco-Iranien quelconque.
C'était ronronnant, total neurasthénique, catatonique... genre tu regardes, puis tu vas te suicider tranquille, sans raison...
Soudain, me tirant de ma torpeur en mode déprime profonde, des cris hystériques !
Hein ? quoi ? où ? Les Russes attaquent ? C'est la fin du monde ? le cauchemar du réveil matinal ?....
Bah, c'était la fameuse et incontournable scène de ce genre de films, quand l'actrice principale se met à pousser de cris horribles, insupportables, vrillant l'esprit et insultant la raison... Des cris de pauvre cochon qu'on saigne sans pitié... Des cris à vous transformer in petto en psychokiller dément...
Je crois que c'est la nullissime Sophie Marceau, qui avait lancé cette mode, de ce qui est considéré comme le "moment de bravoure" incontournable, qui prouve qu'on est une "grande actrice", cette ignoble mode de se mettre à crier, crier, crier...
J'ai eu une pensée émue pour le cinéma d'aaaaavant, quand, dès qu'une nana se mettait à dérailler dangereusement de la voix, Gabin la remettait vite fait sur les rails avec un aller retour de baffes circonstanciées et sans négociations
(ce message n'a strictement rien de misogyne : il est strictement dirigé contre les actrices hurleuses, pas plus )

Tracy Lords criait aussi beaucoup dans ses films

[Shoemaker]

J'ai été voir, c'est donc une actrice porno. Bon, là, on peut éteindre le son, sans problème

[Hugues]

Trois films de Akira Kurosawa, visibles gratuitement jusqu'au 31 octobre, quand vous voulez...

Rien de moins que Le château de l'araignée, Entre le ciel et la terre et Chien enragé.

On dit merci à qui ? Merci à Arte.


C'est par ici en VOD (et donc disponible aussi sur les box et les tv connectées):

https://www.arte.tv/fr/videos/RC-016553/cycle-cinema-japonais/

Hugues

[Hugues]

Le mois prochain, Arte va essayer de faire un cycle cinéma sur les peintres..

Bon malheureusement, il n'y a que des mauvais films, à part Mr. Turner... Enfin c'est déjà ça...
Et ça permettra une diffusion à une heure plus raisonnable qu'en mai 2017 (sur France 3), du film de Mike Leigh.

Hugues

[Cortese]

J'avoue qu'on a essayé de voir Mr Turner et on n'a pas tenu le coup on a abandonné au quart du film à peu près. Je crois qu'on l'a vu en VF et la voix qui faisait Turner était franchement abominable, insupportable. On veut bien être patients mais on ne veut pas souffrir !

[iceman46]

VINCENT moscato dans danse avec les stars un pur bonheur

[Hugues]

Très vite...

éventuellement Love & Friendship de Whit Stillman sur Arte... (d'après Jane Austen)

Un peu décevant, en regard de ce qu'on pouvait espérer du cinéaste et de sa rencontre avec le roman cruel et drôle (et cruellement drôle) de Jane Austen..
Mais...

C'est toujours mieux que ce qu'il y a ailleurs à la même heure...

Les intrigues d'une jolie veuve cynique pour assurer sa fortune...
Angleterre, fin du XVIIIe siècle. Veuve désargentée, avec sur les bras une jeune fille de 16 ans, la belle lady Susan Vernon, dont le goût pour l'adultère est de notoriété publique, se trouve dans une nécessité pressante : pour assurer sa fortune, il lui faut mettre la main non pas sur un, mais deux époux, un pour elle-même, et un pour sa fille. Chassée d'un manoir par la jalousie d'une rivale, elle s'invite chez de respectables cousins et entreprend d'y séduire un beau parti : le jeune et sentimental frère de la maîtresse de maison, Reginald DeCourcy. Dans le même temps, elle fait pression sur sa malheureuse progéniture pour que celle-ci épouse un richissime idiot.

Hugues

[Ouais_supère]

C'est pas gratuit, mais Canal + diffuse D'Après Une Histoire Vraie de Polanski.

La création, cette créature, qui dit tout de nous sans qu'on ne sache rien d'elle jusqu'à ce qu'elle soit achevée, et encore, qu'en dire ensuite sinon des platitudes ? Au fond, l'auteur est cet étranger, tantôt caressant, tantôt tyrannique, pour la personne qu'il est. Irrémédiablement son œuvre lui échappe, sans jamais pourtant cesser de le hanter.

Un film sans doute mineur dans la filmographie du réalisateur, ce qui n'en fait pas un mauvais film pour autant.

[Toma]

C'est pas gratuit, mais Canal + diffuse D'Après Une Histoire Vraie de Polanski.

La création, cette créature, qui dit tout de nous sans qu'on ne sache rien d'elle jusqu'à ce qu'elle soit achevée, et encore, qu'en dire ensuite sinon des platitudes ? Au fond, l'auteur est cet étranger, tantôt caressant, tantôt tyrannique, pour la personne qu'il est. Irrémédiablement son œuvre lui échappe, sans jamais pourtant cesser de le hanter.

Un film sans doute mineur dans la filmographie du réalisateur, ce qui n'en fait pas un mauvais film pour autant.

Il se dit que ce film mineur ... serait son préféré

[Ouais_supère]

Ah oui mais ça, ça le regarde.

Si j'avais eu le plaisir de contempler Eva Green durant tous ces jours de tournage, moi aussi j'aurais apprécié le moment.

[Silverwitch]

C'est pas gratuit, mais Canal + diffuse D'Après Une Histoire Vraie de Polanski.

La création, cette créature, qui dit tout de nous sans qu'on ne sache rien d'elle jusqu'à ce qu'elle soit achevée, et encore, qu'en dire ensuite sinon des platitudes ? Au fond, l'auteur est cet étranger, tantôt caressant, tantôt tyrannique, pour la personne qu'il est. Irrémédiablement son œuvre lui échappe, sans jamais pourtant cesser de le hanter.

Un film sans doute mineur dans la filmographie du réalisateur, ce qui n'en fait pas un mauvais film pour autant.

Il se dit que ce film mineur ... serait son préféré

[Silverwitch]

Très vite...

éventuellement Love & Friendship de Whit Stillman sur Arte... (d'après Jane Austen)

Un peu décevant, en regard de ce qu'on pouvait espérer du cinéaste et de sa rencontre avec le roman cruel et drôle (et cruellement drôle) de Jane Austen..
Mais...

Pas terrible, en effet.

[Ouais_supère]

C'est pas gratuit, mais Canal + diffuse D'Après Une Histoire Vraie de Polanski.

La création, cette créature, qui dit tout de nous sans qu'on ne sache rien d'elle jusqu'à ce qu'elle soit achevée, et encore, qu'en dire ensuite sinon des platitudes ? Au fond, l'auteur est cet étranger, tantôt caressant, tantôt tyrannique, pour la personne qu'il est. Irrémédiablement son œuvre lui échappe, sans jamais pourtant cesser de le hanter.

Un film sans doute mineur dans la filmographie du réalisateur, ce qui n'en fait pas un mauvais film pour autant.

Il se dit que ce film mineur ... serait son préféré

Oh putain, je viens de comprendre.

[Porcaro56]

L affaire Ilian Halimi ce soir sur France 3. Histoire d un meurtre raciste et barbare

[Hugues]

Après le film d'hier, qui n'était en aucun cas Silverwitch approved, en dépit de sa présence dans le film et de celle de Colin Firth...

Cette fois un indispensable...
Surtout si on le met (hein Cortese) en VO sous-titrée..

Mr. Turner de Mike Leigh

Bande-annonce Arte   



A-t-on fait aussi bien sur l'impériosité de la création ?*

Hugues

*: Aussi bien non (enfin de ce que je connais).. Un film récent bien qu'imparfait en regard de Mr. Turner, n'a pas trop à rougir toutefois, et traduit la même malédiction, le même don, la même nécessité : il s'agit de At Eternity's Gate, avec un Willem Dafoe extraordinaire, film de Julian Schnabel bien mieux à mon sens que le Van Gogh de Pialat diffusé mercredi.
“What I see, nobody else sees”
“Sometimes it frightens me, I think I am losing my mind but then I say to myself I'll show what I see to my human brothers who can't see it. It's a privilege: I can give them hope and consolation.”
“Maybe God made me a painter for people who aren’t born yet.”
Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher

Et puis comme Mike Leigh est grand, il a fait quelque chose d'aussi beau que Mr. Turner et peut-être plus grand: Peterloo, où la lutte éternelle, toujours renouvelée, jamais acquise, du peuple pour sa souveraineté, face aux oligarchies..
Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher

[Hugues]

Synopsis:
C’est un bon fils et un homme exécrable, un génie et un monstre. En cette première moitié du XIXe siècle, J. M. W. Turner, géant de la peinture, ne vit que pour son art, rustre sans âge qui dessine compulsivement dans des carnets, négligeant ses proches, sa dévouée et aimante servante comme son ancienne maîtresse, mère ulcérée de ses filles. Seule la profonde complicité avec son assistant de père, dont le vieux cœur se gonfle d’orgueil devant le talent fou de son rejeton, laisse entrevoir l’humanité de l’infréquentable artiste. Lequel, solitaire, nourrit son obsession de la lumière par de longues déambulations-contemplations, scrutant infiniment l’horizon maritime, voire tentant d’éprouver la tempête, en se faisant ligoter à un mât.

Art brut

Dans une Angleterre humide nimbée de brumes, entre un Londres inhospitalier et un puissant bord de mer, Mike Leigh restitue les vingt-cinq dernières années du peintre en croquant son quotidien par petites touches impressionnistes. Sans le ménager - il ne cache rien ni de ses grognements, son langage de prédilection, ni de ses tendances lubriques -, le cinéaste s’attache d’abord, à travers son ogre de héros, à sonder le mystère de la création, quête infinie dépassant tout à la fois Turner et le cinéaste lui-même, qui s’en empare pour mieux s’en étonner. Il s’imprègne des ciels crépusculaires, traque l’inspiration et ses voies impénétrables, entre les errances de l’artiste inadapté et ses fulgurances raffinées, qui bousculent la Royal Academy de l’époque romantique, à la veille de l’émergence de la photographie. À ce titre, Mr. Turner, qu’incarne sans concession un Timothy Spall habité (prix d’interprétation à Cannes) pour le rendre plus sensible qu’attachant, diffère du biopic classique – une manière d’hommage à la transcendance.

[...]
Mike Leigh retrace les 25 dernières années de J. M. W. Turner, de son statut d’artiste admiré jusqu’à son déclin et son isolement progressifs. D’abord loué par la critique, membre puis président de la Royal Academy, Turner deviendra un sujet de moqueries et d’incompréhension lorsque sa peinture s’approchera de l’abstraction, en rupture avec l’académisme et l’art apprécié des salons.

Le cinéaste s’intéresse à la vie quotidienne de Turner, personnalité excentrique et incommode, mais aussi à sa perception de son temps. Comme souvent chez Mike Leigh, le trivial côtoie le cérébral. Le peintre fut un témoin lucide de l’avènement de l’ère industrielle comme en témoignent l’évolution de sa peinture et des tableaux de la dernière partie de son oeuvre sur la vapeur et la vitesse (notamment Pluie, vapeur et vitesse qui représente une locomotive, peint en 1844), et qui en font un précurseur de l’impressionnisme.

Mike Leigh signe une biographie en forme d’autoportrait et de profession de foi. En nous montrant les recherches de Turner, le cinéaste propose une réflexion sur l’image et ses rapports avec la science, la technologie et la magie. Mike Leigh rappelle également l’engagement politique de Turner, qui évoqua la traite des esclaves dans l’une de ses œuvres les plus célèbres (Le Négrier, 1840). Le caractère malcommode de Turner, mais aussi son intransigeance morale n’est pas sans rappeler ceux du hérisson Mike Leigh, cinéaste mal léché dont l’humanisme n’est jamais lénifiant. Le cinéma de Mike Leigh se distingue, entre autres qualités, par un attachement fidèle et amoureux à une troupe d’acteurs et d’actrices que le cinéaste regarde vieillir de films en films.

Timothy Spall, visage familier des films de Mike Leigh, campe un Turner taciturne et bougon, qui a l’habitude de grogner et parvient mal à exprimer ses sentiments, notamment dans ses relations avec les femmes. Entre désertion, humiliation ou mépris, Mike Leigh montre un Turner inapte à assumer ses devoirs de fils, père ou amant. Discréditant une mère folle, une génitrice abandonnée ou une servante soumise, Turner trouvera une forme de rédemption tardive dans son amour sincère pour Mrs. Booth, la propriétaire d’une pension en bord de mer qu’il avait l’habitude de fréquenter pour préparer ses marines. Mrs. Booth deviendra sa maîtresse officielle en fin de vie, au détriment de sa fidèle gouvernante qui sombrera dans le désespoir, gravement atteinte par une maladie de peau. Mike Leigh n’a pas l’habitude de faire des bons films avec des bons sentiments. Sans chercher à provoquer l’empathie du spectateur envers Turner, artiste aussi génial qu’impossible à vivre, Mike Leigh poursuit dans cette production ambitieuse son travail d’introspection et d’auscultation de l’âme humaine dans un contexte social défini. La reconstitution historique n’éloigne pas Leigh du réalisme ontologique de son cinéma. Mr. Turner ne sombre pas dans l’écueil d’un cinéma illustratif et benoitement pictural. Leigh ne cherche pas à reproduire des toiles de Turner à l’écran, mais à saisir l’intériorité du peintre, et donc quelque chose de son regard sur le monde. Mr. Turner, au-delà de sa splendeur visuelle, avec ce mélange de méticulosité maniaque et de violence contrariée typiquement britannique, se révèle un film-cerveau. Souvent comparé à Jean Renoir, Mike Leigh rejoint de manière inattendue un autre cinéaste avec ce film aussi fascinant que mystérieux, et faussement classique : Stanley Kubrick.

Hugues

[Hugues]

Ah et puis en plus il ya Douze hommes en colère de Sidney Lumet sur France 5. Bah dis donc..

Hugues

[Cortese]

Ça pour être bougon, il était bougon, le père Turner, surtout en VF. Mais même en VO, je me demande si une demi-heure de démonstration de sa bougonnerie n'était pas un tantinet excessivement démonstratif.

[Dervi]

Cet après-midi, il y a Wall-E sur M6 et Columbo sur TMC.

[sheon]

Que vas-tu choisir ?

[iceman46]

Cet après-midi, il y a Wall-E sur M6 et Columbo sur TMC.

wall-E est sympa.

[Dervi]

Que vas-tu choisir ?

Wall-E, vu une seule fois jusqu'à aujourd'hui.

[Rainier]

Capitaine Conan hier soir sur Arte.
Pas mal dans l'ensemble.
Belles prestations de Torreton et Le Bihan ...je crois qu'ils n'ont plus jamais aussi bien joué dans la suite de leur carrière.
D'un point de vue historique, c'était intéressant. Je ne connais vraiment pas cette période 1918-1919 et ce qu'était allé faire l'armée française dans les Balkans au côté des Serbes et contre les Bulgares, alliés de l'Allemagne, puis contre les bolcheviks...

[Dervi]

Il y a La bête humaine de Renoir sur Arte ce soir.
Je ne l'ai jamais vu, hâte de voir ça.

[iceman46]

meilleur patissier impressionnant ce qu'arrivent a faire les concurents

[Rainier]

Pas mal du tout "Margin Call" (sur Arte hier soir)

[Dervi]

Ouais bon, ce film reste assez descriptif.
Pour plus d'explications sur le problème décrit au début du film :

[Rainier]

Est ce que le spectateur non spécialiste du monde de la finance et des traders est obligé d'avoir des explications détaillées sur le crash financier annoncé ?

Comme dit le patron joué par Jeremy Irons "Épargnez moi les termes techniques, expliquez moi le problème comme si j'étais un enfant ou même un labrador"

[Dervi]

C'est d'ailleurs assez amusant de constater que la tirade qui suit est incompréhensible pour les non initiés...
Mais pour te répondre, vu que le film ne s'attache qu'à résoudre le problème posé par le risque perçu au début pour sauver cette entreprise (en empilant réunion sur réunion), je dirais que oui. Si le film s'attachait à ses personnages et rendait tangible pour un labrador le krach à venir, ma réponse aurait pu être autre.

[Hugues]

C'est pas sur la télévision gratuite (quoi que chez certains opérateurs...)..

Mais enfin pourquoi pas une exception, ça le mérite bien:



Hugues

[Hugues]

Quand en janvier (éh oui, avant première, ça n'est publié annoncé nulle part) tu t'aperçois qu'Arte va programmer The Artist, Apollo 13, et L'Étrange Histoire de Benjamin Button, tu dis dis qu'il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark.

Bon heureusement, ils se rattrapent avec un Fellini (lequel, ça sera la surprise dans un futur post), un Belmondo (lequel, ça sera la surprise! moi je l'avais vu il y a quelques années sur grand écran à sa première mondiale restaurée avec le monsieur sur l'écran deux ou trois rangs derrière [et il n'y avait pas que ça, mais pour le reste ce sera dans le post, pour pas donner d'indice] ), et quelque autre chose bonne chose (moins bonne, mais tout de même).

Hugues

[sheon]

Ce soir, sur France 5, le chef d’œuvre de Fred Zinnemann : Le Train sifflera trois fois (High Noon).

[Cortese]

Ce soir, sur France 5, le chef d’œuvre de Fred Zinnemann : Le Train sifflera trois fois (High Noon).

La plus grande source de jeux de mots de l'histoire du cinéma : "L'arrière train sifflera trois fois" étant le plus notable (un titre de film porno je crois aussi), et "Si toi aussi tu baises la bonne" pour "Si toi aussi tu m'abandonnes", le titre en français de la célèbre chanson du générique.

[Hugues]

À 22h50, sur Arte, Le sortilège du scorpion de Jade de Woody Allen

Hugues

[sheon]

Ce soir, sur France 5, le chef d’œuvre de Fred Zinnemann : Le Train sifflera trois fois (High Noon).

La plus grande source de jeux de mots de l'histoire du cinéma : "L'arrière train sifflera trois fois" étant le plus notable (un titre de film porno je crois aussi), et "Si toi aussi tu baises la bonne" pour "Si toi aussi tu m'abandonnes", le titre en français de la célèbre chanson du générique.

L'arrière-train sifflera trois fois est érotique et non porno. Un détournement de notre cher Jean-Marie Pallardy, qui a aussi réalisé Règlement de femmes à OQ Corral