Modérateurs: Garion, Silverwitch
Aiello a écrit:Les obsèques auront lieu le mois prochain.
Le temps de comprendre la notice de montage du cercueil, de commencer à le monter, de s'apercevoir qu'il manque une vis, de retourner au SAV du magasin pour en récupérer une, de retrouver la clé allen qui est tombée sous canapé pendant qu'on essayait de visser cette £$%# de vis, de retrouver la page de la notice où on s'était arrêté, de reprendre le montage, de s'apercevoir que le couvercle est monté à l'envers, de redémonter le couvercle, puis de le remonter.
Aiello a écrit:Les obsèques auront lieu le mois prochain.
Le temps de comprendre la notice de montage du cercueil, de commencer à le monter, de s'apercevoir qu'il manque une vis, de retourner au SAV du magasin pour en récupérer une, de retrouver la clé allen qui est tombée sous le canapé pendant qu'on essayait de visser cette £$%# de vis, de retrouver la page de la notice où on s'était arrêté, de reprendre le montage, de s'apercevoir que le couvercle est monté à l'envers, de redémonter le couvercle, puis de le remonter.
sheon a écrit:Un monsieur bien sympathique, ce Kamprad : sympathisant nazi, milliardaire pingre, évadé fiscal, exploitant des enfants et des prisonniers pour fabriquer ses meubles... Pile poil ce qu'on aime
sheon a écrit:Et le coup de faire travailler des enfants et des prisonniers politiques, ça ne date pas de 1943. Il n'a aucune excuse à ce sujet.
Comme le rappelaient ses détracteurs, on n’amasse pas une telle fortune en vendant des produits au plus bas prix possible sans que quelqu’un, à un bout de la chaîne, en fasse les frais. D’où les accusations régulières concernant le travail des enfants, l’exploitation de la main-d’œuvre dans les pays pauvres, les conditions imposées aux sous-traitants. Des meubles ont ainsi été fabriqués dans les années 1970 grâce au travail forcé de prisonniers politiques allemands à l’époque de la République démocratique allemande (RDA).
sheon a écrit:On parle de prisonniers politiques, là.
Oui, les nazis en ont aussi mis dans des camps de travail, mais je ne vois pas trop en quoi ça dédouane Ikea...
Rainier a écrit:En RDA socialiste démocratique (Au secours Shoemaker et Cortese ! )
Bon, moi le travail des prisonniers ça ne me dérange pas ! faut bien les occuper et comme on di(sai)t dans ce pays "Arbeit macht Frei" !
Avec les enfants, ça me dérange un peu plus
Cortese a écrit:Mais pourquoi vous nous dites jamais qui sont ces illustres morts inconnus ? Si ça vous fait tant de peine que ça on veut participer. Un bon enterrement ça revigore son homme.
Cortese a écrit:Mais pourquoi vous nous dites jamais qui sont ces illustres morts inconnus ? Si ça vous fait tant de peine que ça on veut participer. Un bon enterrement ça revigore son homme.
Robert Parry
Robert Parry, né le 24 juin 1949 et mort le 27 janvier 2018, est un journaliste d'investigation américain, principalement connu pour la divulgation et le suivi de l'Affaire Iran-Contra pour l'Associated Press et Newsweek. Il a notamment révélé les opérations psychologiques de guerres de guérilla (manuel de la CIA fourni au contras nicaraguayens) et le scandale du trafic de cocaïne organisés par la CIA et les contras en 1985. Il a reçu le Prix George Polk du reportage national en 1984. Il est le directeur du site d'informations ConsortiumNews.com à partir de 1995.
Affaire Iran-Contra - Wikipédia
L’affaire Iran-Contra (ou Irangate, nommée ainsi en souvenir du scandale du Watergate) est un scandale politique survenu aux États-Unis dans les années 1980.
L'affaire est toujours voilée de secrets et il est difficile de découvrir les faits. Plusieurs membres de l'administration Reagan ont vendu illégalement des armes à l'Iran, qui était un ennemi déclaré des États-Unis, utilisant les profits pour financer secrètement, et ce malgré l'interdiction du Congrès des États-Unis, les Contras, un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au gouvernement sandiniste de Daniel Ortega. Dans le cadre de la Guerre froide, il s'agit pour l'administration Reagan de renverser un régime considéré comme communiste et situé dans ce que les États-Unis considèrent comme leur zone d'influence.
Après la révélation de la vente d'armes en novembre 1986, le président Reagan est apparu à la télévision américaine le 13 novembre et a nié les faits. Toutefois, quelques mois plus tard , le 4 mars 1987, il est retourné sur les ondes pour affirmer que les armes étaient effectivement transférées à l’Iran. Reagan a en revanche démenti que cette vente faisait partie d’un échange d'otages (plusieurs Américains sont à l'époque otages au Liban).
Rainier a écrit:En RDA socialiste démocratique (Au secours Shoemaker et Cortese ! )
Shoemaker a écrit:Après, rien n'interdit de critiquer la gestion de la société, absolument catastrophique, qui a fini par castrer les citoyens, les dégoûtant pour 1000 ans du projet communiste. Et le bloc soviétique a perdu la partie.
Rainier a écrit:Et "castrer" les citoyens n'est peut être pas le mot qui convient. D'après de nombreux témoignages, il semble que la population a beaucoup perdu en ce qui concerne la liberté sexuelle (notamment en RDA par rapport à la RFA).
Rainier a écrit:Pierre Péchin, un humoriste célèbre dans les années 70, l'inventeur de la Simca 1000 Pijo.
sheon a écrit:C'est comme Michel Leeb, qui dit qu'il ne pourrait plus jouer ses sketchs aujourd'hui.
Bah en effet, le racisme passe moins aujourd'hui que dans les années 70, mais doit-on s'en plaindre ?
Marlaga a écrit:Pour se moquer des arabes, faut être arabe soit même. Idem pour les noirs. On est passé à l'ère de l'humour communautaire.
Marlaga a écrit:Pour se moquer des arabes, faut être arabe soit même. Idem pour les noirs. On est passé à l'ère de l'humour communautaire.
Marlaga a écrit:Pour se moquer des arabes, faut être arabe soit même. Idem pour les noirs. On est passé à l'ère de l'humour communautaire.
sheon a écrit:Marlaga a écrit:Pour se moquer des arabes, faut être arabe soit même. Idem pour les noirs. On est passé à l'ère de l'humour communautaire.
Je dirais plutôt que les blagues racistes sont à prendre avec des pincettes, car elles changent totalement de sens selon les idées politiques de celui qui les profère, qu'il soit visé par la blague ou non.
Par exemple, ce sketch de Pierre Desproges n'aurait pas du tout la même signification s'il avait été déclamé par, disons, notre Jean-Marie national :
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