Modérateurs: Garion, Silverwitch
Selon des informations du New York Times, les services de renseignements américains ont la preuve de contacts téléphoniques entre des membres de l'équipe de campagne du président américain et les services russes. Ils cherchent désormais à savoir si ceux-ci ont collaboré de près ou de loin aux tentatives de Moscou visant à influencer le scrutin.
Shoemaker a écrit:Mais c'est ça, précisément, son "intérêt" potentiel. Un artefact à la tête de l'Empire ! Avec donc un risque évident que l'artefact, par son comportement erratique, n'emporte avec lui l'Empire en entier.
A l'instant, Guetta sur France Inter : Clairement pour lui, Trump doit être destitué. Guetta décrit la rencontre Trump Nethanyahou comme un moment hallucinant de "n'importe quoi" ! Pourtant, Guetta est clairement pro Israélien. Alors, pourquoi semble-t-il si horrifié que Trump, tout bêtement, en toute simplicité, donne à Nethanyahou une totale carte blanche ? Il devrait s'en réjouir, même si "discrètement" et "subtilement"... Mais non ! il réclame sa destitution !
En soi, Trump n'est ni con, ni une flèche ; et cela importe peu. C'est surtout un élément fou injecté dans une machinerie politique certes affreuse (les Néocons), mais précise, avec des plans rigoureux, un cahier de charge arrivé à maturité... et ce fou incontrôlable, par ses procédés de "cours de récréation", risque de tout foutre en l'air.
Nous ne savons qu'une chose, concernant Trump : c'est que nous ne savons absolument pas sur quoi son règne va aboutir.
Peut-être un désastre absolu, peut-être juste une destruction du Système, peut-être même est-il le Gorbatchev des USA... qui sait.
Rome a bien fini par tomber. Pourquoi pas l'aigle US. Maintenant, tout va très vite.
l’on assiste à ces échanges surréalistes entre l’actuel directeur de la CIA Brennan [directeur-sortant] et le président-élu, où le premier estime [sur FoxNews] que le président-élu parle beaucoup trop, qu’il ferait mieux de mesurer ses paroles, “to watch what he says” [“sinon...“, pense-t-on aussitôt comme l’on pense à Dallas-JFK]... ») Tout cela justifie, une fois de plus après les innombrables occasions rencontrées depuis le 8 novembre 2016, cette question lancinante : « A coup d'Etat underway? »
Dedefensa.
Shoemaker a écrit:Mais c'est ça, précisément, son "intérêt" potentiel. Un artefact à la tête de l'Empire ! Avec donc un risque évident que l'artefact, par son comportement erratique, n'emporte avec lui l'Empire en entier.
A l'instant, Guetta sur France Inter : Clairement pour lui, Trump doit être destitué. Guetta décrit la rencontre Trump Nethanyahou comme un moment hallucinant de "n'importe quoi" ! Pourtant, Guetta est clairement pro Israélien. Alors, pourquoi semble-t-il si horrifié que Trump, tout bêtement, en toute simplicité, donne à Nethanyahou une totale carte blanche ? Il devrait s'en réjouir, même si "discrètement" et "subtilement"... Mais non ! il réclame sa destitution !
En soi, Trump n'est ni con, ni une flèche ; et cela importe peu. C'est surtout un élément fou injecté dans une machinerie politique certes affreuse (les Néocons), mais précise, avec des plans rigoureux, un cahier de charge arrivé à maturité... et ce fou incontrôlable, par ses procédés de "cours de récréation", risque de tout foutre en l'air.
Nous ne savons qu'une chose, concernant Trump : c'est que nous ne savons absolument pas sur quoi son règne va aboutir.
Peut-être un désastre absolu, peut-être juste une destruction du Système, peut-être même est-il le Gorbatchev des USA... qui sait.
Rome a bien fini par tomber. Pourquoi pas l'aigle US. Maintenant, tout va très vite.
Sylphus a écrit:Le décret de Trump anti-immigration définitivement recalé. Et oui en Démocratie, on ne fait ce qu'on veut.
Shoemaker a écrit:Quoi donc, qu'il a promis et qu'il a fait ?
Fatcap a écrit:Shoemaker a écrit:Mais c'est ça, précisément, son "intérêt" potentiel. Un artefact à la tête de l'Empire ! Avec donc un risque évident que l'artefact, par son comportement erratique, n'emporte avec lui l'Empire en entier.
A l'instant, Guetta sur France Inter : Clairement pour lui, Trump doit être destitué. Guetta décrit la rencontre Trump Nethanyahou comme un moment hallucinant de "n'importe quoi" ! Pourtant, Guetta est clairement pro Israélien. Alors, pourquoi semble-t-il si horrifié que Trump, tout bêtement, en toute simplicité, donne à Nethanyahou une totale carte blanche ? Il devrait s'en réjouir, même si "discrètement" et "subtilement"... Mais non ! il réclame sa destitution !
En soi, Trump n'est ni con, ni une flèche ; et cela importe peu. C'est surtout un élément fou injecté dans une machinerie politique certes affreuse (les Néocons), mais précise, avec des plans rigoureux, un cahier de charge arrivé à maturité... et ce fou incontrôlable, par ses procédés de "cours de récréation", risque de tout foutre en l'air.
Nous ne savons qu'une chose, concernant Trump : c'est que nous ne savons absolument pas sur quoi son règne va aboutir.
Peut-être un désastre absolu, peut-être juste une destruction du Système, peut-être même est-il le Gorbatchev des USA... qui sait.
Rome a bien fini par tomber. Pourquoi pas l'aigle US. Maintenant, tout va très vite.
Je crois que la chute de Trump sera dûe à l'économie. Il a tellement promis que la réalité ne pourra de toute façon que décevoir. Aujourd'hui on ne sait pas tellement quel est son plan ; austérité massive, ou nouvelle bulle de crédit qui pètera à la gueule de son successeur. Si c'est austérité massive, il risque l'émeute à la maison et l'implosion du côté de la finance internationale, si c'est la bulle, il y a peut-être moyen de durer quelques années encore. C'est juste qu'il laissera une dette de 30 ou 40 trillions à son successeur, ce qui serait assez logique, il suffit d'extrapoler la progression de la dette pendant les 8 ans Obama.
La seule porte de sortie, à la rigueur, qu'on pourrait imaginer, serait une combinaison protectionnisme + reset. Les maîtres de l'univers organisent la démolition programmée de l'édifice de la dette actuelle, on a une période de transition où les valeurs papier disparaissent, et on reconstruit un système uniquement à partir des "assets" matériels. Dans cette hypothèse les USA pourraient très bien s'en tirer, de même que la Russie. Mais là ça ne dépend pas que de Trump.
Shoemaker a écrit:Nooooooonnn !!! Le Système, ça n'existe pas... Juste un fantasme de conspirationnistes en mal de fantasmes...
Ca ne semble pas être l'avis de la fifille d'un des grand gourous du dit Système, Mika Brzezinski, Journaliste-vestale du Temple, pas vierge du tout !
Le Nouvel Observateur : Vous ne regrettez pas non plus d’avoir favorisé l’intégrisme islamiste, d’avoir donné des armes, des conseils à de futurs terroristes ?
Zbigniew Brzezinski : Qu’est-ce qui est le plus important au regard de l’histoire du monde ? Les talibans ou la chute de l’empire soviétique ? Quelques excités islamistes où la libération de l’Europe centrale et la fin de la guerre froide ?
Pour BHL, l'administration Trump a "un problème avec les Juifs"
23/02/2017 à 17h26
Bernard-Henri Lévy, en septembre 2016. - Genya Savilov - AFP
Le philosophe français signe une tribune sur le site internet de CNN, dans laquelle il estime que l'attitude du nouveau gouvernement américain à l'égard de la communauté juive est inquiétante.
L'administration de Donald Trump a-t-elle un problème avec les juifs? C'est la question soulevée par le philosophe et écrivain français Bernard-Henri Lévy, dans une tribune publiée sur CNN, dans laquelle il recense toutes les signes envoyés par le nouveau président américain depuis son arrivée à la Maison Blanche, le 20 janvier dernier, montrant selon lui un manque de considération à l'égard de la communauté juive.
"Nouvel antisémitisme"
"Je n'avais pas idée d'à quel point j'avais raison, il y un mois, lorsque j'écrivais dans le New York Times que les Juifs américains devraient se méfier de leur nouveau président", écrit-il pour introduire son propos. Avant de revenir sur plusieurs signes envoyés par la présidence Trump et qui ont selon lui déjà démontré son mépris à l'égard de la communauté juive américaine et de son histoire.
Bernard-Henri Lévy revient notamment sur une affaire qui avait fait beaucoup de bruit dès les premiers jours du mandat du président républicain, lorsque la Maison Blanche avait omis de mentionner les Juifs dans un communiqué diffusé à l'occasion de la journée mondiale à la mémoire des victimes de l'Holocauste. Ce jour là, Donald Trump avait rendu hommage aux "victimes, survivants et héros" de l'Holocauste, sans citer les Juifs.
"Les plumes du président savaient clairement, quand elles ont décidé d''oublier' les Juifs, ce qu'elles faisaient et pourquoi", estime BHL. "Nous assistions à un effort délibéré de pousser les victimes juives du génocide dans la zone grise des meurtres généraux, et dans la catégorie des crimes sans nom", ajoute-t-il, jugeant qu'il s'agit "de l'une des marques du nouvel antisémitisme".
"Virage à 180 degrés"
BHL revient également sur la conférence de presse commune de Donald Trump avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le 15 février dernier. Une conférence de presse "étrange", selon lui.
"Un journaliste israélien a interrogé le président à propos de la hausse inquiétante des incidents antisémites aux Etats-Unis. Mais au lieu de répondre (...), Donald Trump a parlé de lui", écrit le philosophe. Ce jour-là, face aux questions de la presse, le président américain était effectivement revenu sur sa victoire du 8 novembre, alors qu'il n'avait pas été interrogé sur le sujet.
"Lorsqu'il est finalement revenu à la question posée, c'était pour observer vaguement et mécaniquement que 'beaucoup de mauvaises choses se sont passées depuis un moment', que 'nous allons stopper le crime dans ce pays' et 'que nous allons avoir la paix dans ce pays'. Pas un mot sur la situation des enfants juifs qui vont à l'école la peur au ventre", ajoute BHL, avant de lister d'autres exemples.
"L'imprévisible M. Trump est devenu un autre M. Trump", conclut BHL, pour qui le président américain a fait un "virage à 180 degrés dans sa vision du monde juif".
Israël inquiet
Le 19 janvier, l'écrivain avait déjà publié une tribune dans la presse américaine, plus précisément dans le New York Times, dans laquelle il montrait quelques réticences à l'égard de la récente attitude de Donald Trump envers Israël, et appelait les Juifs américains à la prudence.
Fin janvier, Israël s'était inquiété, dans un rapport, de la montée des actes antisémites outre-Atlantique, et notamment sur les campus universitaires. Le rapport dénonçait notamment la "hausse de l'antisémitisme dans la campagne présidentielle" américaine, et "le paradoxe de la droite qui soutient Israël et tient un discours raciste et antisémite".
A.S.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
DCP a écrit:Un ancien ministre d'Obama a été élu à la tête du parti démocrate battant le candidat soutenu par Sanders.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Aym a écrit:Et en décryptant, pour les profanes ?
public static Integer getTaxes(Citizen c) {
return c.getTaxesRefund(Calendar.getInstance());
}
public static void main(String[] args){
Citizen trump = Citizen.getInstance("Donald J. Trump");
Integer taxesTrump = getTaxes(trump);
Calendar tonight = Calendar.getInstance().set(Calendar.HOUR_OF_DAY, 21);
Thread.sleepUntil(tonight);
System.out.println("Trump taxes are " + taxesTrump);
}
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
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