Né quelque part a écrit:20minutes.fr a écrit:
Le suspect de l'attentat identifié comme le Tunisien Anis Amri, 24 ans
Annie l'aime beaucoup...
Un bon allemand de souche en quelque sorte
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Né quelque part a écrit:20minutes.fr a écrit:
Le suspect de l'attentat identifié comme le Tunisien Anis Amri, 24 ans
Annie l'aime beaucoup...
porcaro77 a écrit:Un bon allemand de souche en quelque sorte
Feyd a écrit:Je viens d'entendre un truc fabuleux sur Arte. Le visa de ce gars lui a été refusé en juin mais il n'a pas pu être expulsé d'Allemagne parce que ses papiers n'étaient pas conformes.
Feyd a écrit:Je viens d'entendre un truc fabuleux sur Arte. Le visa de ce gars lui a été refusé en juin mais il n'a pas pu être expulsé d'Allemagne parce que ses papiers n'étaient pas conformes.
Aym a écrit:Feyd a écrit:Je viens d'entendre un truc fabuleux sur Arte. Le visa de ce gars lui a été refusé en juin mais il n'a pas pu être expulsé d'Allemagne parce que ses papiers n'étaient pas conformes.
Oui : il devait être expulsé vers la Tunisie, mais ses papiers tunisiens n'étaient pas en règle.
Rien d'extraordinaire là-dedans : je comprends qu'un pays refuse quelqu'un en situation irrégulière.
Toma a écrit:Les tunisiens sont les plus représentés dans les rangs de Daecch en Syrie et lorsqu'ils veulent rentrer au pays, la Tunisie fait tout ce qu'elle peut ... pour ne pas les recuperer.
Ghinzani a écrit:Toma a écrit:Les tunisiens sont les plus représentés dans les rangs de Daecch en Syrie et lorsqu'ils veulent rentrer au pays, la Tunisie fait tout ce qu'elle peut ... pour ne pas les recuperer.
On serait donc la poubelle du monde ...
Feyd a écrit:Si encore nous étions des démocraties. Mais c'est un gros mot voire un tabou de dire qu'en France et ailleurs nous sommes dans un régime représentatif.
La démocratie... le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. Haha, la bonne blague. A Athènes au Vème siècle av. JC. Oui. Aujourd'hui non.
Feyd a écrit:Si encore nous étions des démocraties. Mais c'est un gros mot voire un tabou de dire qu'en France et ailleurs nous sommes dans un régime représentatif.
La démocratie... le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. Haha, la bonne blague. A Athènes au Vème siècle av. JC. Oui. Aujourd'hui non.
Aym a écrit:Feyd a écrit:Je viens d'entendre un truc fabuleux sur Arte. Le visa de ce gars lui a été refusé en juin mais il n'a pas pu être expulsé d'Allemagne parce que ses papiers n'étaient pas conformes.
Oui : il devait être expulsé vers la Tunisie, mais ses papiers tunisiens n'étaient pas en règle.
Rien d'extraordinaire là-dedans : je comprends qu'un pays refuse quelqu'un en situation irrégulière.
rozz a écrit:Ghinzani a écrit:Toma a écrit:Les tunisiens sont les plus représentés dans les rangs de Daecch en Syrie et lorsqu'ils veulent rentrer au pays, la Tunisie fait tout ce qu'elle peut ... pour ne pas les recuperer.
On serait donc la poubelle du monde ...
t´es mechant pour la Belgique !
DCP a écrit:Feyd a écrit:Si encore nous étions des démocraties. Mais c'est un gros mot voire un tabou de dire qu'en France et ailleurs nous sommes dans un régime représentatif.
La démocratie... le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. Haha, la bonne blague. A Athènes au Vème siècle av. JC. Oui. Aujourd'hui non.
Athènes....avec les femmes qui n'avaient pas le droit de vote, les esclaves non plus....
Aym a écrit:Techniquement, les pays européens les rejettent aussi. La preuve, il devait se faire expulser.
Aym a écrit:Techniquement, les pays européens les rejettent aussi. La preuve, il devait se faire expulser.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Nicklaus a écrit:
Interdire les marchés de Noël.
Marlaga a écrit:Au passage, on nous avait dit que les salafistes n'étaient pas des terroristes dangereux mais des quiétistes mais on a remarqué que juste après l'attentat, Anis est allé dans une mosquée salafiste. Sûrement pas pour prier mais plutôt pour retrouver des amis et/ou complices pour l'aider dans sa fuite.
Shoemaker a écrit:Marlaga a écrit:Au passage, on nous avait dit que les salafistes n'étaient pas des terroristes dangereux mais des quiétistes mais on a remarqué que juste après l'attentat, Anis est allé dans une mosquée salafiste. Sûrement pas pour prier mais plutôt pour retrouver des amis et/ou complices pour l'aider dans sa fuite.
Suffit de me demander : TOUS les intégristes, tous, à des petits degrés divers, c'est exactement la même engeance. Djihadistes, Islamistes, Salafistes, Wahhabites*, Frères Musulmans, AlQaïda, etc etc.... C'est même pas bonnet blanc et blanc bonnet, c'est blanc blanc et blanc blanc !
C'est juste qu'il y a toute une mécanique dans les média et les pouvoirs, qui fait qu'on crée des catégories, pour mieux manipuler, et bien entendu, les intégristes sont totalement complices (alliés objectifs, dirait Marx) de ces manipulations sémantico-théologiques.
Alors oui, et c'est normal, au sein de ces mouvances, il y a des alliances, des destins, l'Histoire, ceci-cela, mais au final, au-delà des intérêts immédiats et des tactiques et stratégies des uns et des autres, c'est exactement la même chose (on a vu d'ailleurs, à Alep, comment ces mouvements, passés maîtres en propagande, et massivement aidés par les médias Occidentaux, se sont fait passer pour ... des "rebelles démocrates" !).
(*Wahhabites : venant de Mohamed Abdel Wahab, "Wahab" étant un des "attributs" de Dieu (Généreux). Ce qui fait que perso, ça m'hérisse le poil de désigner ces foldingos par un des beaux attributs de Dieu. Ce gourou des Ibn Saoud en fait, était un Hanbaliste, l'école la plus extrémiste des 4 écoles Sunnites, école qui n'a trouvé à s'épanouir justement qu'en Saoudie. Je dis ça, juste pour moi-même).
Cortese a écrit:Les intégristes sont des fascistes sans l'électricité.
Washington sanctionne Moscou pour ingérence électorale, le Kremlin rejette les accusations
Le Vif
29/12/16 à 22:15 - Mise à jour à 22:18
Source: Belga
Le président Barack Obama a annoncé jeudi une série de mesures contre les services de renseignement russes, destinées à sanctionner Moscou accusée d'ingérence dans l'élection présidentielle américaine.
Washington sanctionne Moscou pour ingérence électorale, le Kremlin rejette les accusations
© REUTERS
L'administration américaine accuse la Russie d'avoir orchestré les piratages informatiques qui ont mené au vol et à la publication de milliers de mails de responsables démocrates, brouillant le message de la candidate démocrate Hillary Clinton.
Le vainqueur de l'élection présidentielle, Donald Trump, a affirmé qu'il ne "croyait pas" à ces accusations. Moscou les qualifie "d'indécentes". La Russie rejette "catégoriquement" les accusations "infondées", a déclaré jeudi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, après l'annonce de Washington. "Nous ne sommes pas d'accord catégoriquement avec des affirmations et des accusations infondées à l'égard de la partie russe", a assuré M. Peskov, cité par l'agence de presse publique Ria-Novosti.
Les mesures annoncées par le président américain prévoient notamment l'expulsion de 35 agents des services de renseignement russes et le fermeture de deux sites utilisés par ces services à New-York et dans l'Etat du Maryland, près de Washington.
Les sanctions visent également directement les services de renseignement russes, le GRU et le FSB, ainsi que des entreprises qui ont fourni "un soutien matériel" aux opérations informatiques du GRU. Les sanctions ne s'arrêteront pas là, a précisé le président américain, prévenant que les Etats-Unis prendront d'autres mesures "au moment que nous choisirons", y compris des opérations secrètes dont le public ne sera pas informé.
Faire revenir Moscou dans le droit chemin
Les mesures annoncées visent également le "niveau inacceptable de harcèlement" subi depuis un an par les diplomates américains à Moscou, de la part de la police ou des services de sécurité russes. Dans sa déclaration, Barack Obama lance également un appel à une sorte d'union sacrée internationale pour faire revenir Moscou dans le droit chemin et l'empêcher de mener des mesures de déstabilisation dans des pays étrangers.
Les "amis et alliés" des Etats-Unis doivent "travailler ensemble pour contrer les efforts de la Russie visant à saper les bonnes pratiques internationales et à s'ingérer dans le processus démocratique", a déclaré le président américain.
Les sanctions décidées par Barack Obama moins d'un mois avant son départ de la Maison Blanche sont une pierre dans le jardin de Donald Trump, qui ne croit pas à l'ingérence de Moscou et veut réchauffer les relations américano-russes. Mais le président américain sortant sait aussi que beaucoup de responsables républicains ne partagent pas l'analyse de Donald Trump et sont favorables à des sanctions contre Moscou.
Le président de la commission des forces armées du Sénat, John McCain, a ainsi affirmé mercredi qu'il "fallait que Vladimir Poutine sache que ce genre d'opérations sera sanctionné à l'avenir". Les faits sont "extrêmement sérieux", avait-il souligné. Barack Obama a ordonné qu'un rapport complet sur les piratages informatiques menés pendant la campagne présidentielle lui soit remis avant son départ de la Maison Blanche.
Faire gagner Trump
Ce rapport devrait être remis au Congrès "dans les jours à venir", a-t-il dit. Nombre d'observateurs ont estimé que le but des interférences russes était avant tout de saper la confiance dans la légitimité de l'élection américaine, pour affaiblir la future administration.
Un rapport de la CIA qui a fuité dans la presse est allé plus loin, en affirmant que Moscou avait mené ces opérations dans le but de faire gagner Donald Trump, qui a souvent loué les qualités de leader de Vladimir Poutine.
Les accusations américaines d'ingérence dans l'élection présidentielle américaine ont retenti jusqu'en Europe, où la France et l'Allemagne doivent voter en 2017. Le patron des renseignements extérieurs allemands Bruno Kahl avait évoqué des "cyberattaques qui se produisent dans le seul but de créer de l'incertitude politique", et souligné que l'Europe était "au centre de ces tentatives de déstabilisation".
Feyd a écrit:On saura un jour si vraiment la Russie a manipulé les élections américaines. Ca me parait très fantasmé, mais secrètement, j'espère que c'est vrai. Ce serait tellement fabuleux un tel retour de bâton après des décennies où les USA ont renversé voire fait assassiner des dirigeants étrangers. Rien que l'exemple du Chili suffit à comprendre à quel point la politique étrangère de ce pays est un cancer pour le monde.
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