Modérateurs: Garion, Silverwitch
Seb a écrit:von Rauffenstein a écrit:J'étais dans le métro tout à l'heure et je peux vous dire que le sregards étaient peu amènes envers les représentants de certaines populations à barbiche, qamis et compagnie.
Faut dire que certains ne font pas grand chose pour éviter les amalgames. Je prends le métro tous les jours à Bruxelles et je peux assurer que l'accoutrement - tant physique que vestimentaire - de certains ne reflète pas l'intégration et le vivre ensemble.
Et en quoi le fait de faire son auto-critique et de ne pas reporter la responsabilité permet de "mettre hors d'état de nuire" les mauvaises graines de ta communauté ?Né quelque part a écrit:Maverick a écrit:Tu fais quoi pour "mettre hors d'état de nuire" les mauvaises graines de ta communauté ?Né quelque part a écrit:Cyril a écrit:Ghinzani a écrit:Si on " ne doit pas" faire d'amalgame, on ne doit plus parler de " cas isolés", hein....
Environ 1.6 milliards de musulmans dans le monde, pour 125000 membres estimés pour l'EI. Même en multipliant par 100 ce chiffre, tu n’atteint pas 1% des musulmans. Donc, oui, ce sont des cas isolés.
Et 1.6 milliards d'individus ne peuvent pas mettre hors d'état de nuire 125 000 détraqués ? Ça fait 12 800 personnes pour en neutraliser une. Évidemment, il faut y mettre de la bonne volonté...
Déjà par un peu d'auto-critique, arrêter de reporter la responsabilité sur les autres, ça serait un bon début non ?
Shoemaker a écrit:Tout est en train de faire PSHIIIIT !!!!!
- les fameuses 28 pages concernant le 11 septembre se révèlent être sans intérêt. Rien dedans de bien nouveau, et la saoudie est même carrément satisfaite de leur publication. On nous avait promis le scoop du siècle. Ca ne sera même pas le pshiit de la semaine.
- Sanders, toute honte bue, a rallié Killer-Clinton. Pshiit du 3eme âge.
- La gauche Française a sombré corps et âme. De la sécurité jusqu'à l'économie en passant par le sociétal et l'international, c'est triple pshiit sur toute la ligne. Rien à sauver, tout à jeter, avec tirage de chasse en grande pompe.
- Le coup d'Etat en Tirquie, petit pshiiit tristounet.
- Le monde arabo-musulman, après quelques tentatives de modernisation, est en train de sombrer dans un pshiiit de type maelstrom tendance tsunami. Vite, passons à autre chose.
etc etc
C'est par où, l'espoir ?
Shoemaker a écrit:La Turquie est un élément clé de la stratégie OTAN des USA
Donc, si ces putschistes sont soutenus pas les USA, c'est bon.
Sinon, ça sera le pal pour chacun d'eux.
Les USA (ne parlons pas de la Russie), peuvent avoir fini par en avoir marre des danses du ventre de l'Iznogood Stamboulien devenu de plus en plus incontrôlable, saisi qu'il est par la folie des grandeurs.
Sylex a écrit:Marlaga a écrit:Il n'y a pas besoin de suivre n'importe qui. Rien que les restes des repris de justice non-enfermés et non-fichés S, musulmans en lien avec des radicaux, ça doit pas faire des tonnes.Aym a écrit:ok. Encore que malheureusement je ne suis pas sûr que les services de renseignements soient en mesure de surveiller tous les fichés S en même temps, donc ce que tu libères est totalement insuffisant pour surveiller les non-radicalisés, qui potentiellement sont environ 40 millions, en retirant les enfants.Marlaga a écrit:Si tu enfermes tous les fichés S, tu libères tous les services de renseignement qui peuvent s'occuper des loups solitaires soit disant non encore radicalisés.
Zut alors, je pensais qu'ils étaient des millions.
Marlaga a écrit:Je les sors du pays, destination de leur choix. On peut pas faire plus humain et généreux. Mais aller simple.Pas d'accord. Tu les expulses où ? Tu refourgues nos déchets à qui ? Ça me fait penser aux connards qui bouffent leur McDo dans leur bagnole, sur autoroute, et qui jettent les emballages par les fenêtres. Nos fouteurs de merde, on se les garde, et on les gère nous-même.-Déchéance de la nationalité aussi pour les terroristes français, quitte à créer des apatrides. On s'en fout, il y a des milliers d'apatrides dans le monde, ça ne dérange personne. Expulsion immédiate ensuite.
Parce que des pays seraient partants pour recevoir des terroristes? Lesquels?
Sinon c'est retour à l'envoyeur.
Aym a écrit:Marlaga a écrit:
Je les sors du pays, destination de leur choix. On peut pas faire plus humain et généreux. Mais aller simple.
Bah tiens. Et tu dis quoi aux pays de destination ? Et à leurs gouvernements ? Si eux essaient de faire la même chose avec nous, tu leur réponds quoi ?C'est con, tu n'es pas d'accord avec le seul élément de ma liste qui est déjà dans la loi française mais pas appliqué.
La fermeture des frontières c'est déjà prévu dans la loi et pas appliqué ? Sans blagues ?
Shoemaker a écrit:Tout est en train de faire PSHIIIIT !!!!!
- les fameuses 28 pages concernant le 11 septembre se révèlent être sans intérêt. Rien dedans de bien nouveau, et la saoudie est même carrément satisfaite de leur publication. On nous avait promis le scoop du siècle. Ca ne sera même pas le pshiit de la semaine.
- Sanders, toute honte bue, a rallié Killer-Clinton. Pshiit du 3eme âge.
- La gauche Française a sombré corps et âme. De la sécurité jusqu'à l'économie en passant par le sociétal et l'international, c'est triple pshiit sur toute la ligne. Rien à sauver, tout à jeter, avec tirage de chasse en grande pompe.
- Le coup d'Etat en Tirquie, petit pshiiit tristounet.
- Le monde arabo-musulman, après quelques tentatives de modernisation, est en train de sombrer dans un pshiiit de type maelstrom tendance tsunami. Vite, passons à autre chose.
etc etc
C'est par où, l'espoir ?
Né quelque part a écrit:Rainier a écrit:Le terroriste de Nice était connu des services de police pour des menaces, des violences, des vols et des dégradations. Il a été condamné le 24 mars 2016 à six mois de prison avec sursis pour violences volontaires avec arme.
Voilà, c'est ça la France de l'après Taubira, de Hollande, de Clementine et même de l'après Sarkozy si ça vous fait plaisir.
A dégueuler !
Il est même pas français, et on le garde !
On marche sur la tête !
von Rauffenstein a écrit:Et pendant ce temps là, Christianne Taubira. Le Twit.
Non. Y a pas de mots. Y a plus d'mots!
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Waddle a écrit:La France devrait s'inspirer des USA.
Pays pas du tout laxiste et qui a des taux de criminalité quasi nuls comme chacun le sait...
denim a écrit:Le Conseil d'Etat a confirmé ce jeudi l'injonction faite en référé au maire de Nice d'autoriser l'ouverture d'une salle de prière de 950 m2 financée par l'Arabie saoudite.
Rainier a écrit:denim a écrit:Le Conseil d'Etat a confirmé ce jeudi l'injonction faite en référé au maire de Nice d'autoriser l'ouverture d'une salle de prière de 950 m2 financée par l'Arabie saoudite.
Y a-t-il un seul élu dans ce machin ?
http://www.conseil-etat.fr/Conseil-d-Et ... eil-d-Etat
A l'origine son rôle était, devrait être, de conseiller le gouvernement. Pas de confirmer des injonctions, surtout anti-démocratiques.
Marlaga a écrit:Waddle a écrit:La France devrait s'inspirer des USA.
Pays pas du tout laxiste et qui a des taux de criminalité quasi nuls comme chacun le sait...
Nos prisons sont remplis de musulmans, les prisons américaines sont remplies de blacks et d'hispaniques.
Si on veut vraiment s'inspirer de pays riches qui ont des taux de criminalité bas, il faut voir les pays qui ont un taux d'immigration faible comme le Japon ou la Corée du Sud. Ils ne laissent pas n'importe qui rentrer chez eux.
Shoemaker a écrit:Vois-tu, moi qui ait connu cela, je préfère vivre dans un pays dictatorial où on ne me fait pas ch... si je veux écouter de la musique ou me balader en bikini (oui ! ) sur la plage, que dans un pays démocratique où le parti au pouvoir, pas à pas, va transformer le coin en prison totale à moyen terme.
les attentats, aussi condamnables soient-ils, ne peuvent se comprendre (et donc se combattre) que dans un cadre politique et diplomatique. Après le 11 septembre 2001, et surtout la guerre déclenchée par les États-Unis contre l’Irak en mars 2003, le sol européen est à nouveau un objectif : deux attentats majeurs frappent Madrid en mars 2004 et Londres en juillet 2005. Ils ne visent pas « le mode de vie » occidental, mais deux pays parmi les plus actifs de la coalition qui démolit l’Irak. La France est épargnée, sans doute grâce, entre autres, au discours anti-guerre du 14 février 2003 de son ministre des affaires étrangères Dominique de Villepin, au Conseil de sécurité des Nations unies.
On ne mesure pas à quel point les guerres menées par les Occidentaux dans le monde musulman nourrissent une haine qui dépasse très largement les cercles extrémistes. Les centaines de milliers de morts, les millions de réfugiés, les tortures d’Abou Ghraib, les « dommages collatéraux », les tirs de drones — tous concentrés sur les pays musulmans — alimentent la propagande de l’OEI dénonçant une guerre des « Croisés » contre l’islam et une impunité aussi injuste qu’unilatérale : aucun des responsables américains de la catastrophe irakienne n’a été jugé, ni même inquiété par la Cour pénale internationale (CPI).
Au Proche-Orient, la voix de la France a perdu cette petite musique qui faisait sa spécificité. Paris s’est aligné, après 2003, sur les États-Unis dans les dernières années de la présidence de George W. Bush, a entériné l’occupation de l’Irak, est intervenue militairement en Libye, au Mali, en RCA, et finalement en Irak puis en Syrie. Son appui va — sans réserve publiquement exprimée — à l’écrasement du Yémen par l’Arabie saoudite, à laquelle elle fournit de l’armement. Aucune autre puissance occidentale, à l’exception des États-Unis, n’est aussi présente militairement en terre d’islam. Et quand Paris fait entendre sa différence, c’est pour critiquer le président Barack Obama, jugé trop souple avec l’Iran sur le dossier nucléaire et insuffisamment interventionniste à ses yeux en Syrie.
L’oubli du lien entre la politique étrangère menée dans le monde arabe et le développement du djihadisme amène une cécité qui explique quinze ans d’échec de la « guerre contre le terrorisme ». Cette omission paralyse la réflexion stratégique et entraîne la France dans un engrenage infernal dont elle ne peut que payer le prix fort
Depuis le 11 septembre 2001, le « combat pour la civilisation » et pour faire « prévaloir la paix et la liberté », lancé par le président américain Georges W. Bush pour une « guerre globale contre le terrorisme » n’a proposé et appliqué qu’une réponse sécuritaire au djihadisme. Nous voyons le résultat de cette pax romana guerrière dans ce qu’est devenu le Proche-Orient aujourd’hui. Les mêmes mots et principes d’action sont prononcés aujourd’hui par le président de la République française François Hollande, en réaction aux attentats commis en France. Bis repetita. N’a-t-on rien appris ? Une grande coalition militaire contre l’OEI n’aura d’autre effet que d’abattre au mieux un arbre du djihadisme, tout en entretenant et amplifiant les mécanismes qui le produisent.
Et que penser du soutien inconditionnel à Israël, quand la France va jusqu’à approuver sa campagne meurtrière de bombardement de Gaza en 2014, alors que le gouvernement de cet État viole le droit international en toute impunité depuis des décennies dans les territoires palestiniens qu’il occupe ? Que dire aussi de la compassion sélective exprimée par la France envers les minorités chrétiennes de Syrie et d’Irak alors que souffre tout autant l’immense majorité des populations musulmanes de ces régions ? Les valeurs de la France laissent penser qu’elles ont une acception différenciée. Le ressentiment est une clef fondamentale. Comment ne pas comprendre que ces errements viennent le renforcer et contribuer à le fédérer dans ce que l’on peut nommer une oumma du ressentiment, qui se prolonge aussi dans le territoire national français ? L’immense impact qu’ont provoqué dans l’ensemble des populations arabes le simple « coup de gueule » de Jacques Chirac en octobre 1996 dans la vieille ville de Jérusalem, ainsi que le discours de Dominique de Villepin à l’ONU en février 2003, s’explique d’abord parce qu’ils étaient, d’une certaine façon, une reconnaissance de ce ressentiment.
Mais après tout, que cherche vraiment la France, sans oser le dire ouvertement, derrière les coups de menton pour la défense de ses « valeurs » attaquées ? 17 milliards d’euros de contrats d’armements gagnés en 2015. Une année record. Qui sont ses principaux clients depuis des années ? Ceux-là même — les monarchies du Golfe — dont elle soutient aveuglément la politique désastreuse au Moyen-Orient qui alimente aussi, en même temps que les bombes des Rafale, le djihadisme, quand ils ne s’en servent pas eux-mêmes pour leurs propres intérêts régionaux face à l’Iran en Syrie, au Yémen. Malheureusement, les 130 morts français du 13 novembre ne provoquent qu’un renforcement des errements français, de sa « guerre contre le terrorisme », en nourrissant un peu plus le monstre et ceux qui l’alimentent, voire s’en servent.
Il y a deux façons de répondre aux attentats qui sont survenus en France. La première est d’en dénoncer les auteurs, l’organisation à laquelle ils se rattachent — en l’occurrence l’OEI — et de s’acharner à les détruire dans leurs périmètres territoriaux et humains ainsi que leurs moyens physiques de subsistance, filières de financement et autres. C’est une approche sécuritaire technique, militaire. Suivie depuis quinze ans par les États-Unis avec des moyens considérables, elle se solde par un échec patent.
La seconde est d’envisager l’ensemble des déterminants qui ont provoqué la naissance et le développement de l’idéologie à laquelle s’est greffée cette organisation ainsi que les autres de même nature qui l’utilisent pour leur propres fins, en prenant également en compte que pour chacune d’elles s’ajoutent des paramètres spécifiques de développement (politiques, irrédentistes, sociétaux). C’est une approche politique et diplomatique.
François Hollande a mobilisé la France et ses alliés autour de la première solution, sécuritaire et militaire. C’est un déni total du fait que le djihadisme est le fruit d’un ressentiment accumulé. Cela ne rendra que plus difficile la seconde solution, la seule qui puisse réellement contrer le djihadisme, si celle-ci n’est pas abordée au moins simultanément et avec force. Maintenant.
Les principales victimes des dérives sécuritaires risquent d’être les citoyens eux-mêmes, qui voient se multiplier les atteintes à leur vie privée et à leurs libertés. L’acte terroriste a pour but de provoquer la terreur et d’intimider une population. Ses auteurs cherchent à déstabiliser et à fragiliser les démocraties en discréditant leurs valeurs universelles de liberté et d’humanité. S’affranchir un tant soit peu des règles de l’Etat de droit revient à leur concéder la victoire.
Une analyse raisonnée impose au contraire de conduire la lutte avec toute la fermeté nécessaire, mais dans le respect des droits fondamentaux. On rappellera les propos toujours d’actualité tenus par M. Kofi Annan lorsqu’il était secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) : « Les droits de l’homme ne peuvent être sacrifiés au profit de la lutte contre le terrorisme. Il n’y a rien d’incompatible entre la défense des droits de l’homme et la lutte contre le terrorisme. Au contraire, le principe moral qui sous-tend les droits de l’homme, celui d’un profond respect pour la dignité de chaque individu, est une de nos armes les plus puissantes pour combattre le terrorisme (3). »
On n’oubliera pas non plus que l’adoption de telles mesures conduit à la stigmatisation des personnes les plus exposées, qui, à l’encontre du but recherché, risquent alors de basculer dans l’extrémisme. Un climat de suspicion s’instaure, contribuant progressivement à une détérioration du lien social et créant de nouvelles tensions. Il appartient à chaque citoyen de ne pas céder au réflexe de peur, et de comprendre que ce n’est pas par une atteinte aux libertés que sa sécurité sera assurée.
Je ne suis pas contre toutes les guerres. Ce à quoi je m’oppose, c’est à une guerre imbécile, une guerre irréfléchie, une guerre fondée non pas sur la raison mais sur la colère. » Ainsi parlait, le 2 octobre 2002, un élu de l’Illinois nommé Barack Obama. La « colère » consécutive aux attentats du 11 septembre 2001 n’était pas retombée aux Etats-Unis, et le président George W. Bush avait choisi de la rediriger non pas vers l’Arabie saoudite, d’où provenaient la plupart des membres des commandos d’Al-Qaida, mais vers l’Irak, qu’il attaquerait six mois plus tard. Les médias voulaient la guerre ; la plupart des sénateurs démocrates, dont Mme Hillary Clinton, s’y rallièrent. Et l’invasion de l’Irak créa le chaos qui servirait d’incubateur à l’Organisation de l’Etat islamique (OEI).
En 2002, M. Obama s’adressait en ces termes à celui auquel il allait succéder : « Vous voulez vous battre, président Bush ? Battons-nous pour que les marchands d’armes dans notre propre pays cessent d’alimenter les innombrables guerres qui font rage dans le monde. Battons-nous pour que nos soi-disant alliés au Moyen-Orient cessent d’opprimer leur peuple, et de réprimer l’opposition, et de tolérer la corruption et l’inégalité, au point que leurs jeunes grandissent sans éducation, sans perspectives d’avenir, sans espoir, devenant des recrues faciles pour les cellules terroristes. » M. Obama n’a pas suivi les conseils qu’il donnait. Les autres chefs d’Etat non plus. C’est dommage. Les attentats de l’OEI et la désastreuse politique étrangère de la France débouchent à présent sur une nouvelle « guerre ». Uniquement militaire, et donc perdue d’avance.
Silverwitch a écrit:Je ne vois pas vraiment de rapport avec la situation turque, où Erdogan a fait évoluer de manière pacifique la vie politique, en normalisant progressivement un héritage impossible à assumer, celui du militarisme institutionnel.
Silverwitch a écrit:La France multiplie les interventions depuis 2001
Shoemaker a écrit:Pacifique, oui. Mais tu ne peux nier la dérive vers, au final, un régime peut-être pire que les ex militaires kemalistes?
Shoemaker a écrit:C'est tout le drame de l'Islam Sunnite actuellement, confronté à la modernité, et qui, faute de n'avoir pu négocier le virage moderniste des régimes socialo-militaires des années 60-70, plonge corps et âme dans un archaïsme délétère sans retour, qui est de fait, sa vraie nature, intrinsèque. Je ne fais pas de procès d'intention à Erdongan. Il suffit de suivre la claire orientation de son régime. C'est tout droit vers l'enfermement.
Marlaga a écrit:Silverwitch a écrit:La France multiplie les interventions depuis 2001
Là-dessus, je suis tout à fait d'accord. Nous avons besoin de notre armée sur notre territoire pour nous protéger et remettre de l'ordre. Nous ne sommes pas en guerre contre le Mali, la Centrafrique, l'Afghanistan...qu'on les laisse se démerder et qu'on règle NOS problèmes.
denim a écrit:que la France arrête d'aligner sa politique étrangère sur celle des US et ça sera déjà pas mal.
et ensuite qu'elle se concentre réellement sur ce qui se passe en France...les villes et notamment les citées sensibles et répertorier toutes les associations et autres "pseudos" lieux de cultes musulman,y surveiller jour et nuit,na pas les lâcher.
leur financement etc...
mais au fait,pour ça,encore faudrait il que la France sorte de ce merdier européen et retrouver sa souveraineté pour pouvoir taper du poing sur la table et passer à l'action.
Silverwitch a écrit:Marlaga a écrit:Silverwitch a écrit:La France multiplie les interventions depuis 2001
Là-dessus, je suis tout à fait d'accord. Nous avons besoin de notre armée sur notre territoire pour nous protéger et remettre de l'ordre. Nous ne sommes pas en guerre contre le Mali, la Centrafrique, l'Afghanistan...qu'on les laisse se démerder et qu'on règle NOS problèmes.
Il n'y aurait pas besoin de "remettre de l'ordre" (l'ordre n'est pas du domaine de l'armée, mais des missions des forces de l'ordre) si la France n'était pas engagée dans des aventures néo-coloniales sans fin. Comme on ne gagne pas militairement contre le terrorisme, il faut en tirer les leçons.
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