Grhollande : Cazeneuve 1er ministre

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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Rainier le 08 Juil 2015, 16:50

Cortese a écrit:http://www.legorafi.fr/2015/07/07/bernard-henri-levy-recevra-francois-hollande-a-lelysee/


C'est marrant !
mais ça fait quoi dans le topic Grhollande, il y a un topic "humour" !
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Rainier le 08 Juil 2015, 17:23

A propos du Bazar de l'Hotel de Ville, il eut été plus judicieux de mettre ce lien (bien réel celui ci, hélas)

http://www.lepoint.fr/editos-du-point/b ... 906_69.php
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cortese le 08 Juil 2015, 18:52

Rainier a écrit:
Cortese a écrit:http://www.legorafi.fr/2015/07/07/bernard-henri-levy-recevra-francois-hollande-a-lelysee/


C'est marrant !
mais ça fait quoi dans le topic Grhollande, il y a un topic "humour" !
(On m'engueule quand je parle de mes DVD dans le topic "Le monde du cinéma selon Hugues", alors je me venge)


C'est pas de l'humour.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 08 Juil 2015, 22:02

Quand le préfet s'assoit sur la démocratie, ça donne ça :

Budget primitif du Pontet : l’Etat prêt à tout pour briser la confiance entre les élus FN et leurs administrés

Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, Député de Vaucluse, 22 juin 2015.

Durant la période où la ville du Pontet fut gérée par 3 administrateurs dans l’attente de nouvelles élections municipales, il revenait à la Chambre Régionale des Comptes (CRC) d’élaborer le projet de budget primitif que seul le Préfet est habilité à valider. Ce dernier aurait pu recueillir l’avis du maire Front National et l’informer des orientations budgétaires avant de prendre son arrêté. Las, il n’en fut rien et la nouvelle équipe de Joris Hébrard, brillamment réélue, s’est vu imposer des choix qu’elle n’aurait jamais retenus. Contrairement à ce qui se fait dans les autres villes gérées par le Front National, les impôts des Pontétiens seront donc augmentés… Par le Préfet ! La CRC a également décidé de supprimer la prime de fin d’année réservée aux agents municipaux, pourtant en vigueur depuis 1987, au motif qu’elle serait tout d’un coup devenue irrégulière… Enfin, c’est une première sous la Vème République : l’équipe municipale exercera désormais son activité bénévolement suite à la suppression des indemnités des élus actée par la CRC. L’attitude du Préfet, qui a entériné le budget primitif avant d’avoir rencontré le maire, marque un profond irrespect envers l’autorité municipale Front National et constitue un déni de démocratie.

J’apporte tout mon soutien à l’équipe municipale de Joris Hébrard dans les suites juridiques qu’elle entend donner à cette affaire afin de pouvoir administrer sa commune avec les moyens nécessaires, en respectant la confiance des habitants du Pontet.


L'état se sert du préfet pour imposer un budget délirant totalement contraire aux intentions du maire pendant la petite période où le maire FN n'a pas été en fonction avant sa réélection triomphale. Et le coup de retirer toutes les indemnités des élus du conseil municipal, c'est honteux. En plus, le budget augmente les impôts des habitants. Un vrai budget PS quoi. Des guignols malfaisants à vite balayer tout ça.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Nuvo le 09 Juil 2015, 14:38

:eek:

La Préfécture a communiqué sur le sujet ? Tu as pu trouver des infos officielles auprès de la CRC ?

Ce préfet faisait partie de la promo de Hollande à l'ENA ? :lol:
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Nicklaus le 10 Juil 2015, 08:37

et la France s'apprête à accueillir 9100 des 60 000 migrants arrivés en toute illégalité en Europe ces derniers temps. :roll:
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Al Kasil le 10 Juil 2015, 08:42

C'est sur que fuyant la Libye, la Syrie, Daesh ou les shebabs, ils avaient vachement le temps de remplir les conditions légales de demande d'asile.... :roll:
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Feyd le 10 Juil 2015, 09:26

A propose d'asile, on en enverra qquns chez Al Kasil. Son pseudo est une incitation à les installer chez lui. :D
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Al Kasil le 10 Juil 2015, 09:42

Ben en l’occurrence, à cause des joies d'une mutation de dernière minute, et de grosses galères de logement, c'est plutôt moi qui ai été accueilli chez des amis musulmans. Et personne n'a essayé de m'égorger, ou me convertir pour le moment. Tout va bien et c'est même très fun.

Quant à renvoyer l'ascenseur, pas de souci, ça ne serait pas la première fois.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 10 Juil 2015, 10:44

Al Kasil a écrit:C'est sur que fuyant la Libye, la Syrie, Daesh ou les shebabs, ils avaient vachement le temps de remplir les conditions légales de demande d'asile.... :roll:


Tu parles, la plupart viennent d'ailleurs, d'Afrique sub-saharienne et profitent de la désorganisation de la Libye pour traverser. On a fait un petit scandale pendant quelques jours quand quelques migrants ont coulé avec leur bateau pourri et puis plus rien, tout continue comme avant, on accueille toujours ces centaines de milliers de miséreux qui vont nous apporter leur pauvreté, leurs maladies, leur religion et leur mode de vie et nous, on devra leur fournir des logements et des allocations comme si on en avait les moyens et comme si la population française voulait les accueillir.
Faisons un référendum et demandons l'avis des français : voulez vous que la France accueille encore plus de migrants venus d'Afrique ? On verrait le résultat. En attendant, on s'assoit sur l'avis des français comme on s'est assis dessus après 2005 et quand on refuse de prendre en compte l'avis du peuple démocratiquement, c'est par la force qu'il va imposer son point de vue. Le sang sera sur les mains de ces (ir)responsables politiques qui nous mènent là.
Dernière édition par Marlaga le 10 Juil 2015, 17:54, édité 1 fois.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede denim le 10 Juil 2015, 17:33

plus de 60% des français ne veulent plus de Schengen.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cortese le 10 Juil 2015, 17:38

ce vieux Panzer a posté cette image du dessin animé de Disney Bernard et Bianca.

Image
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede denim le 10 Juil 2015, 18:14

oh merde... :eek:
manquait plus que çà tiens...
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Shoemaker le 10 Juil 2015, 20:05

:lol: :good
"c'est quoi le blues". Toujours les mêmes histoires, celles qui font vaciller les mondes et les empires.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Aym le 11 Juil 2015, 13:05

Vu que vous semblez tous comprendre la symbolique de l'image, vous pouvez nous l'expliquer, pour nous, pauvres béotiens ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cortese le 11 Juil 2015, 13:09

Aym a écrit:Vu que vous semblez tous comprendre la symbolique de l'image, vous pouvez nous l'expliquer, pour nous, pauvres béotiens ?


La tête de l'oiseau ne te rappelle personne ?!
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Aym le 11 Juil 2015, 13:12

Ça fait fureur en ce moment, ça.
On est sûr que c'est l'image initiale ? Y'a pas un petit plaisantin qui a fait du photoshop dessus ?

Après, faites gaffe, y'a délit d'outrage au Président de la République :D
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Aym le 11 Juil 2015, 13:14

Bon, après vérification sommaire, c'est bien l'image initiale.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede denim le 11 Juil 2015, 14:33

Cortese a écrit:
Aym a écrit:Vu que vous semblez tous comprendre la symbolique de l'image, vous pouvez nous l'expliquer, pour nous, pauvres béotiens ?


La tête de l'oiseau ne te rappelle personne ?!


puis même les accessoires.
le casque...la paire de lunette.
sans parler du léger strabisme convergent.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Feyd le 15 Juil 2015, 15:53

C'est le Figaro Madame ( :D :oops: ) mais ça intéressera certains je pense :

http://madame.lefigaro.fr/societe/pourq ... 0715-97391
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 16 Juil 2015, 00:00

Des tirs de mortiers, des poubelles incendiées, 26 voitures brûlées, des jets de cocktail molotov vers les policiers, 200 jeunes mis en garde à vue, un président hué à plusieurs reprises lors de ses apparitions publiques mais tout ce que les médias retiennent, c'est qu'il s'est qualifié d'audacieux. Hollande est un génie de la com' sous ses airs de guignol mou du genou.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 08:50

Il y a des histoires qui redonnent un peu foi en notre société qui cultive de plus en plus le rejet d'autrui et l'exclusion...

Le Monde a écrit:
Un lycée qui s’engage pour les sans-papiers : le reportage de Marie Desplechin

L’année qui s’achève aura été rude. Au lycée Hector-Guimard, dans le XIXe arrondissement de Paris, on a créé un collectif, menacé d’occuper un gymnase, été manifester devant l’Hôtel de Ville, tendu des banderoles. On a organisé des parrainages à la mairie d’arrondissement et des petits déjeuners au lycée, prolongé l’ouverture des salles d’études, posé des matelas au sol de l’internat, distribué des trousses de toilette. On a connu la bonne intelligence du rectorat, la mauvaise volonté de la préfecture et l’attentisme de la Ville. On a convoqué la presse, constitué des dossiers, mobilisé des avocats. Tout ce que, dans son livre La Démocratie protestataire (Presses de Sciences Po), le sociologue Lilian Mathieu appelle « un bricolage, avec ses petites inventivités », caractéristique du Réseau éducation sans frontières (RESF) et plus largement de nouvelles formes de contestation sociale, nées dans les quinze dernières années. Mouvements sans parti ni adhérents, agrégeant des sensibilités différentes autour d’une cause, ils semblent redessiner les modèles de l’engagement, à bonne distance du militantisme traditionnel de parti et de syndicat dont ils signeraient l’épuisement.

Hector-Guimard accueille 600 élèves. Spécialisé dans les métiers du bâtiment, c’est le plus grand lycée professionnel de Paris. C’est aussi l’établissement qui compte le plus grand nombre d’élèves sans papiers. Soixante-dix cette année, trente-cinq mineurs et trente-cinq majeurs ou soupçonnés de l’être.

La politique d’accueil de Guimard n’est pas nouvelle. Le lycée forme à des métiers qui ne séduisent pas follement les enfants des Parisiens, plombier, maçon, peintre. « Il nous reste pas mal de places vacantes, explique son proviseur, Benoît Boiteux. On a une grosse capacité d’accueil en CAP. » Ça, c’est pour l’offre. Pour la demande : « Les gamins qui nous arrivent viennent de pays ultrapauvres. S’ils ne savent pas très bien ce que fait un spécialiste en automation, ils ont une idée claire du travail de plombier ou de maçon. Ils demandent donc des formations dans le bâtiment. » Pour le proviseur, la nation n’a pas grand-chose à perdre à former des travailleurs qualifiés dans des secteurs où elle en manque et que gangrène l’exploitation du travail non déclaré. Et puis, ajoute-t-il, « ils ont entendu parler de nous : ici, on ne les rejette pas, on ne les considère pas comme des intrus. Quand ils arrivent au rectorat, ils demandent Guimard ». Qui les accueille « chaleureusement ». Et ce petit mot de « chaleur » dissone joyeusement dans le lexique ordinaire de l’invasion, du remplacement, des hordes, du camp, du mur.

Benoît Boiteux, qui dit n’avoir pas d’engagement politique (« Mon engagement à moi, c’est le lycée »), sait à quoi il s’expose. Depuis les années 1990, la politique d’accueil des gouvernements s’est rigidifiée. La vague des réfugiés de ces derniers mois n’a fait que durcir les positions. « On a vu un net tour de vis à partir de décembre », constate Gwenaelle Austin, militante de RESF, responsable du réseau à Guimard. « Tous les rouages se mettent en place pour exclure. » « Jusque-là, poursuit Benoît Boiteux, il nous arrivait de temps en temps d’avoir un gamin à la rue. Cette année, dès la rentrée, on en avait trente-cinq. » Difficile de ne pas voir la misère quand elle est dans la salle de classe. L’élève qui s’endort après avoir passé la nuit dans un square, celui qui s’évanouit faute d’avoir mangé. Le sac de sport fatigué qu’il traîne avec lui et où il a entassé tout ce qu’il possède. « C’est dur d’avoir un élève qui dort dehors », dit Gaëlle Dubois, conseillère principale d’éducation. Le plus souvent, honte ou crainte, il n’a informé personne de sa situation. Mais arrive forcément le jour où il ne peut plus se cacher. « Ce jour-là, on est mal. » Benoît Boiteux hausse les épaules : « Demander qu’un gamin à l’école soit hébergé et nourri, c’est quand même pas le drapeau rouge et la révolution ! Dire qu’on en est là dans la République des droits… »

Un « choc moral »

Avant même d’aborder des questions de principes, c’est d’émotion qu’il parle. D’un « choc moral », selon l’expression du sociologue américain James Jasper qu’analyse Lilian Mathieu, dans « Les ressorts sociaux de l’indignation militante » (Revue Sociologie, 2010). Ce qui pouvait n’être qu’une idée, voire un fantasme, devient un visage, et un visage souffrant, suscitant une « imposition soudaine de revendication, c’est-à-dire la rencontre impromptue avec un problème qu’il est impossible d’esquiver et qu’il faut résoudre dans l’urgence », écrit Mathieu. Le slogan de RESF, « Les chiffres ont un visage », résume cette reconnaissance et l’impératif de l’engagement qui l’accompagne. Reste que, écrit Lilian Mathieu, « tout n’est pas motif d’indignation pour tout le monde, et la même situation qui révoltera tel individu en laissera tel autre indifférent ». Les parcours de vie modèlent les sensibilités, prédisposent au sentiment d’indignation et à la capacité d’engagement, constituant autant de « dispositions », puis de « compétences ». Sur les dizaines d’enseignants que compte Hector-Guimard, Gaëlle Dubois estime qu’ils n’ont été que dix à faire vivre le collectif Actions Guimard, créé en décembre 2014 pour obtenir un logement aux lycéens privés de ressources et d’hébergement. Mais le proviseur juge que le silence ou la distance ne valent pas forcément opposition : « Je préfère ne pas faire de sondage, mais je me laisse imaginer qu’une énorme majorité est d’accord avec nous. »

Le système éducatif est le lieu privilégié de la « rencontre inattendue ». Les enseignants y sont confrontés au premier chef, pour une question de proximité mais aussi parce que ces jeunes gens précarisés sont aussi souvent de bons éléments. C’est dans un lycée professionnel d’Ile-de-France, déjà, que RESF est né, en 2004. Révoltés que les lycéens mineurs se retrouvent du jour au lendemain en situation irrégulière, des enseignants s’étaient mobilisés. « Ce sont des élèves qui bossent énormément, qui ne posent aucun problème dans la gestion de classe, qui se tiennent plutôt en retrait », remarque Christelle Sedat, professeure de français-histoire. « Très majoritairement des gamins modèles, qui se distinguent par leur assiduité et leur acharnement au travail », confirme Benoît Boiteux. Cette exemplarité trouve ses raisons dans leurs parcours d’exilés et dans la protection (relative mais réelle) que leur apporte le lycée tant qu’ils y sont scolarisés. Une bonne partie d’entre eux accumulent les diplômes. Quatre CAP pour Abdoulaye – « l’homme-orchestre du CAP, il sait tout faire », selon Gwenaelle Austin –, baladé depuis six ans de contestations de dossier en refus de titre de séjour.

Sans papiers, pas d’alternance, pas de travail

Une série CAP, BEP, bac pro en économie de la construction pour Weyssel Yigit, qui a fui la Turquie et a appris le français en classe d’accueil, à 16 ans (régularisé, il travaille aujourd’hui.) Quand on a le lycée pour seul lieu de vie et de socialisation, l’implication dans la vie scolaire et citoyenne peut aller de soi. Mahamadou Tounkoura est vice-président du conseil de vie lycéenne, membre du Conseil académique de la vie lycéenne, membre du conseil d’administration et du conseil de discipline de Guimard, créateur et président de la Maison des lycéens, bénévole au Secours populaire, membre d’une troupe théâtrale, distingué par le recteur pour un prix de l’engagement, et on en oublie probablement.

Titulaire d’un CAP et d’un BEP, engagé pour l’année prochaine par un grand groupe français pour préparer un bac en alternance (et par la suite un BTS), il fait depuis ce printemps l’objet d’une procédure en appel de la préfecture. Celle-ci conteste la décision judiciaire qui avait accordé l’obtention d’un titre de séjour et, partant, l’annulation de l’obligation de quitter le territoire français (OQTF). Il va falloir retrouver un avocat, reprendre le parcours insensé commencé en 2012… Sans papiers, pas d’alternance, pas de travail. « L’Etat forme des professionnels auxquels il interdit de travailler », constate Benoît Boiteux. « C’est pour bloquer la vie des gens », commente Mahamadou Tounkoura. Comme Weyssel, Mahamadou Tounkoura a rejoint RESF, dont il est devenu un militant charismatique. Il possède au centuple ces « dispositions » analysées par Lilian Mathieu qui s’enracinent dans le vécu et font les engagements.

L’hébergement est la question la plus urgente

Loin d’être une prise de position à distance, le caprice d’une tribu de droits-de-l’hommiste à l’abri des réalités, l’entrée dans RESF conduit nombre de citoyens remarquablement ordinaires, profs et voisins, à pallier l’urgence des situations. Face aux atermoiements des structures (l’Hôtel de Ville de Paris, qui met des mois à produire un plan quand les jeunes sont sans abri en hiver), les individus apportent des réponses partielles, temporaires mais immédiates. Une bibliothécaire du lycée loge Weyssel pendant six mois l’année de son BEP. Puis c’est un enseignant qui l’héberge l’année du bac. Pour les week-ends et les vacances, un voisin propose la chambre qu’un enfant vient de quitter, un autre la chambre de bonne qu’il vient de vider de ses cartons… Assistante d’éducation, surveillante d’internat à Guimard, Agathe Lecœur n’est pas beaucoup plus vieille que ces lycéens qu’elle connaît mieux que personne. La petite maison qu’elle loue à Montreuil (Seine-Saint-Denis) au fond d’une cour, et dont Weyssel Yigit est aujourd’hui le colocataire, accueille tel pour quelques mois, tel autre pour les week-ends. Et sa famille bretonne reçoit l’été tel autre enfin dont les talents de pêcheur convertissent la population locale aux charmes de l’altérité. L’hébergement est la question la plus urgente et la plus complexe à régler, dans une ville où les logements ne sont pas immenses. Mais pour qui veut donner un coup de main, il a cent autres possibilités. Des voisins (toujours eux) installent un vestiaire dans un local du lycée. Un homme dont on finit par apprendre qu’il est allemand, universitaire et à la retraite, passe tous les mois déposer 100 euros solidaires. L’enseignant, écrivain et mécène Odon Vallet, de passage au lycée, offre une bourse de 800 euros.

Encore faut-il y ajouter les journées passées par Gwenaelle Austin pour assurer les permanences bimensuelles au lycée, faire le lien avec les acteurs entraînés à la défense des droits, du Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti) à la FIDL (Fédération indépendante et démocratique lycéenne), mettre à jour ce tableau Excel où figurent plus de 80 noms de lycéens, répondre à leurs appels, gérer des montagnes de dossiers administratifs. Et organiser, l’été, de grands pique-niques collectifs qui permettent de garder le contact, mais aussi, très concrètement, donnent à manger. Répondre au SOS permanent relève d’un « bricolage » généreux et épuisant. De cet enseignant qui a tant soutenu ses élèves, qui a si souvent ouvert sa porte, on dit qu’il s’est mis en retrait. Exténué, découragé peut-être. Quant à Gwenaelle Austin, elle soupire : « C’est trop chronophage. Je ne pourrai pas continuer longtemps au même rythme. J’essaie désespérément de trouver la relève. » Elle fonde ses espoirs sur une jeune femme qui aurait du temps, à ce qu’on lui a dit, qui ne vit pas loin de Guimard…

Plus de dix ans ont passé depuis la naissance de RESF. On pourrait se dire que rien n’a bougé. Tout est sans cesse à recommencer, dans des conditions toujours plus hostiles, quand les vagues d’immigration cognent aux côtes de l’Europe et que la figure de l’étranger est instituée en péril, puis en fonds de commerce électoral. Comment se satisfaire d’aider celui-ci si on n’a rien résolu pour tous ceux-là ? Plus fréquent qu’on ne l’imagine, ce qui guette le militant (statistiquement plus souvent une militante) est le burn-out.

C’est à se demander si le talon d’Achille de RESF ne résiderait pas dans ses qualités, la souplesse, la réactivité et même le primat du « choc moral ». En fondant sa stratégie sur des mobilisations locales en bonne partie fondées sur l’émotion, le mouvement se serait-il privé d’une dimension politique ? Loin de là, plaident les sociologues Damien de Blic et Claudette Lafaye, dans la revue Projet (« Singulière mobilisation, le Réseau éducation sans frontières », 2011). « Ce réseau, écrivent-ils notamment, est porteur de revendications d’une portée plus générale que les cas singuliers, puisque ceux qui y participent s’accordent sur la revendication d’une régularisation sur la base de la scolarisation. Le réseau peut être vu comme une forme de généralisation. »

Qui fabrique le problème ? Les lycéens, ou les pouvoirs publics ?

Lilian Mathieu relève que RESF, tout « nouveau » mouvement social qu’il apparaisse, a hérité ses modalités d’action de luttes antérieures, mouvement féministe des années 1970, Droit au logement ou Act Up, par exemple. On retrouve dans ses rangs des militants qui ont connu d’autres formes d’engagement et dont le projet n’est certainement ni caritatif ni « humanitaire ». Des gens pour qui le problème n’est pas celui que posent dix lycéens laissés à la rue dans l’une des capitales les plus riches du monde, ni trente-cinq qui seraient majeurs sur la foi de soupçons. Si problème il y a, ils le voient plutôt du côté de ceux qui leur refusent toute possibilité de se fondre dans le tissu national. Autrement dit, qui fabrique le problème ? Les lycéens, ou les pouvoirs publics ?

C’est une question similaire que pose Eric Fassin dans le livre collectif intitulé Roms & riverains. Une politique municipale de la race (La Fabrique, 2014). Il y démontre, enquêtes à l’appui, comment l’impossibilité de vivre décemment qui leur est imposée permet de constituer les Roms en « question », que seule une politique de répression et d’exclusion permet ensuite de « résoudre ». Quand on lui demande de comparer le sort qui leur est fait à celui des lycéens sans papiers, il dit : « On produit systématiquement ce qu’ensuite on déplore. » La fabrication de l’autre comme problème se fonde sur un discours qui précède et justifie son exclusion. Dans cette rhétorique revient l’« exaspération des riverains », ces « vraies gens » du terrain que tout oppose aux « bobos », dont la bonne conscience reposerait sur l’éloignement et l’ignorance. Or, ce que montre le livre, c’est une solidarité de proximité.

Plus on est proche, plus on est solidaire

En réalité, la règle qui prévaut est que plus on est proche, plus on est solidaire. Défendre et faire reconnaître les lycéens sans papiers, comme les Roms, renverse les discours qui légitiment les politiques xénophobes. Fassin insiste : « Changer les termes est un travail politique ». Le « sans-papiers » devient « lycéen sans papiers » (comme l’« immigré » se transforme en « travailleur immigré »). Le « voisin solidaire » remplace le « riverain excédé ». Et soudain, d’autres modèles sont possibles. « Le récit proposé est un enjeu politique fondamental, dit-il. Parce que la politique consiste à produire le monde en en donnant une représentation. » C’est ce qu’on fait cette année, à leur échelle, les combats nécessaires et les victoires incertaines de Guimard.

Le collectif Actions Guimard a réussi cet hiver à faire pression sur la préfecture et la Ville, et huit des dix lycéens qui étaient à la rue ont été mis à l’abri (c’est pour les deux autres qu’on a posé des matelas par terre à l’internat). Les mobilisations ont réussi à sortir les lycéens arrêtés du centre de rétention. La constance et la réactivité du réseau, associées au maillage de sympathies de voisinage, ont tenu bon contre la mauvaise volonté (la prétendue « impuissance ») de l’administration et des structures de gouvernement. Mais les victoires sont modestes, fragiles et menacées. « Mon souci, s’inquiète Gaëlle Dubois, c’est la rentrée prochaine. » Les mutations et les départs en retraite vont réduire le nombre des enseignants impliqués. Benoît Boiteux, dont le pragmatisme, l’entregent et l’assurance paternelle ont beaucoup fait pour protéger ses équipes, est à un an de la retraite.

« Du bidouillage professionnel »

Il y a plus grave. « On assiste à la remise en cause de la scolarisation des jeunes mineurs isolés, au profit de formations courtes, bas de gamme et très chères », prévient Alex Adamopoulos, professeur d’anglais, figure du mouvement. « Du bidouillage professionnel », insiste Gwenaelle Austin. Confirmée par Benoît Boiteux, la tendance est amorcée depuis quelques années déjà. Les structures d’« accueil » tentent de dissuader les arrivants de s’adresser au rectorat pour demander une affectation et les dirigent vers des formations spécialisées, confiées à des acteurs privés, bâties à la hâte, sans valeur pour les demandes de régularisation. Fin de l’enseignement partagé, du voisinage, du choc moral, de l’engagement. Fin des lycéens, fin du problème. Ingénieux mais pas définitif. Le réseau a été constitué pour épouser le terrain et répondre à l’urgence là où elle se présente. Il faudra compter sur son principe de solidarité et sa capacité à étendre son action. Sa dimension politique en quelque sorte.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 17 Juil 2015, 09:05

Quelle honte.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 09:08

C'est vrai, quelle honte de faire preuve de solidarité et aider ceux qui en ont besoin.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 17 Juil 2015, 10:19

Quelle honte qu'un lycée, temple de l'Education des jeunes français, montre l'exemple d'une institution qui se dévoue à ceux qui ne respectent pas la loi. Comment les jeunes vont-ils apprendre le respect des lois et des principes d'un pays si l'institution qui les encadre encourage la violation des lois ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 10:37

Au contraire, il faut applaudir cette initiative où un lycée fait tout pour instruire des jeunes qui ont la volonté et la motivation de l'être, notamment dans des secteurs où il manque de main d’œuvre en France (et qui n'intéressent pas les français, visiblement). C'est un des objectifs de l’Éducation National : donner des compétences et un savoir faire à ceux qui le méritent et qui le veulent. On ne parle pas ici de squatteurs de salle qui ne foutent rien, mais bien de jeunes motivés, intéressés, qui font tout ce qu'il faut pour s'en sortir, et dont bon nombre de français devrait s'inspirer.

Solidarité, compassion et entre-aide sont des notions qui disparaissent au profit de l'égoïsme et de la discrimination, véhiculés par des préjugés qui n'ont rien réel. Les personnes comme toi, Marlaga, mériteraient d'être mis à l'écart de la société française, car elles ne font qu’aggraver l'état de notre pays, où tout le monde se regarde en chien de faïence, prêt à bondir sur son voisin pour le moindre prétexte. Ce n'est pas en uniformisant les modes de pensée que l'on progressera, mais en acceptant les différences. C'est un enseignement que l'on a appris de l'Histoire, mais qui est visiblement est difficile à assimiler pour ceux dont la réflexion est limitée par leurs propres préjugés, qu'ils n'arrivent pas à dépasser. Ces personnes ont un comportement animal et non humain.

Il faut mettre en avant les initiatives comme celle de ce lycée. Il existe encore des personnes en France qui sont capable d'aider leur prochain, quoiqu'il leur en coute.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede von Rauffenstein le 17 Juil 2015, 11:26

Ah ouais. je ne me souvenais plus pourquoi ça me faisait chier de venir ici. C'est à cause du sermon du curé.
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 17 Juil 2015, 11:46

Cyril a écrit:Au contraire, il faut applaudir cette initiative où un lycée fait tout pour instruire des jeunes qui ont la volonté et la motivation de l'être, notamment dans des secteurs où il manque de main d’œuvre en France (et qui n'intéressent pas les français, visiblement). C'est un des objectifs de l’Éducation National : donner des compétences et un savoir faire à ceux qui le méritent et qui le veulent. On ne parle pas ici de squatteurs de salle qui ne foutent rien, mais bien de jeunes motivés, intéressés, qui font tout ce qu'il faut pour s'en sortir, et dont bon nombre de français devrait s'inspirer.

Solidarité, compassion et entre-aide sont des notions qui disparaissent au profit de l'égoïsme et de la discrimination, véhiculés par des préjugés qui n'ont rien réel. Les personnes comme toi, Marlaga, mériteraient d'être mis à l'écart de la société française, car elles ne font qu’aggraver l'état de notre pays, où tout le monde se regarde en chien de faïence, prêt à bondir sur son voisin pour le moindre prétexte. Ce n'est pas en uniformisant les modes de pensée que l'on progressera, mais en acceptant les différences. C'est un enseignement que l'on a appris de l'Histoire, mais qui est visiblement est difficile à assimiler pour ceux dont la réflexion est limitée par leurs propres préjugés, qu'ils n'arrivent pas à dépasser. Ces personnes ont un comportement animal et non humain.

Il faut mettre en avant les initiatives comme celle de ce lycée. Il existe encore des personnes en France qui sont capable d'aider leur prochain, quoiqu'il leur en coute.


Que ce proviseur donne son argent et une chambre de libre chez lui pour accueillir les miséreux si ça lui chante mais il n'a pas à le faire avec un établissement public qui fonctionne avec l'argent public des français, et encore moins pour accueillir et aider des délinquants qui ont commencé par violer la loi du pays pour y entrer. Ces gens là n'ont rien à faire ici et on doit les expulser immédiatement manu militari.
Ces moralisateurs qui parlent de leur peine face à des immigrés illégaux sans domicile font quoi pour les français blancs et honnêtes qui n'ont pas de domicile ? Pourquoi on aide toujours ces intrus ? Ce système d'automutilation du pays est gerbant et débile.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 12:48

Parce que tu trouverais moins gerbant d'aider un bon français bien d'ici, glandeur, fouteur de merde, plutôt que d'aider un sans papier qui fait tout pour s'en sortir ? On ne parle pas ici de gars qui viennent en France pour foutre la merde. On parle de jeunes qui veulent avoir une situation stable et s'insérer dans la société.

Et si tu avais lu l'article, si tu avais compris l'esprit qui anime ce lycée, le but du jeu est d'aider ceux qui en ont besoin. Qu'ils soient sans papier ou non. Ils ne prennent la place de personnes, puisqu'il y a de la place dans ces filières. Autant en faire profiter ceux qu'ils le veulent et le méritent. Ton discours extrémiste et nationaliste n'a pas lieu d'être.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 12:49

von Rauffenstein a écrit:Ah ouais. je ne me souvenais plus pourquoi ça me faisait chier de venir ici. C'est à cause du sermon du curé.


Tu peux te casser à nouveau si ça te gêne tant que ça. Amen.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Nicklaus le 17 Juil 2015, 13:05

Et toi, à part radoter et insulter les français, tu fais quoi de concret ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 13:08

Insulter les français ? Ça n'a jamais été le cas. Et au contraire, je mets en avant les actions de certains.

Au suivant...
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Nicklaus le 17 Juil 2015, 13:18

Menteur avec ça ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Nicklaus le 17 Juil 2015, 13:19

Sinon: tu fais quoi ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Marlaga le 17 Juil 2015, 13:32

Cyril a écrit:Parce que tu trouverais moins gerbant d'aider un bon français bien d'ici, glandeur, fouteur de merde, plutôt que d'aider un sans papier qui fait tout pour s'en sortir ?


D'abord, les français fouteur de merde, ils ne sont pas souvent "bien d'ici".
Ensuite, on n'a pas à aider un sans-papier, à part à l'aider à sortir du pays.

On ne parle pas ici de gars qui viennent en France pour foutre la merde. On parle de jeunes qui veulent avoir une situation stable et s'insérer dans la société.


Qu'ils commencent par sortir du pays où ils sont entrés illégalement. Si tu veux une situation stable, tu ne commences pas par violer la loi du pays où tu vas.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 13:55

Marlaga a écrit:
Cyril a écrit:Parce que tu trouverais moins gerbant d'aider un bon français bien d'ici, glandeur, fouteur de merde, plutôt que d'aider un sans papier qui fait tout pour s'en sortir ?


D'abord, les français fouteur de merde, ils ne sont pas souvent "bien d'ici".
Ensuite, on n'a pas à aider un sans-papier, à part à l'aider à sortir du pays.

Oh, le bon vieux cliché raciste. Désolé de te dire ça, mais des fouteurs de merde bien français, ce n'est pas ce qui manque, je suis bien placé pour le voir.

Marlaga a écrit:Qu'ils commencent par sortir du pays où ils sont entrés illégalement. Si tu veux une situation stable, tu ne commences pas par violer la loi du pays où tu vas.


Sauf que dans leur pays, ce n'est sans doute pas possible. Alors qu'ici, c'est le cas. A condition de le vouloir et de tout faire pour.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 14:01

Nicklaus a écrit:Menteur avec ça ?

Non. C'est juste toi qui délire, une fois de plus.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Feyd le 17 Juil 2015, 14:06

Cyril a écrit:
von Rauffenstein a écrit:Ah ouais. je ne me souvenais plus pourquoi ça me faisait chier de venir ici. C'est à cause du sermon du curé.


Tu peux te casser à nouveau si ça te gêne tant que ça. Amen.


D'ailleurs je me demande toujours pourquoi tu es revenu vu qu'un jour tu avais posté un message pour dire à quel point tu vomissais l'état d'esprit de certains.

A moins de se sentir investi d'une mission à les contredire je ne vois pas la raison. Mission perdue d'avance d'ailleurs.
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Cyril le 17 Juil 2015, 14:13

C'est pour Panzer ou moi ?
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Nuvo le 17 Juil 2015, 14:18

Marlaga a écrit:
D'abord, les français fouteur de merde, ils ne sont pas souvent "bien d'ici".



Je t'ai déjà dit qu'il y a un siècle les italiens et les polonais étaient des étrangers ! Aujourd'hui les mecs comme toi en sont à dire que bon au moins ils étaient blancs et cathos. Mon arrière grand-mère était fille d'un italien ebeniste et d'une française pure souche. Quand elle est arrivée en sarthe elle a été considérée comme une étrangère et a été rejetée.
Et avant cela ca devait être en région et même entre village !
Quand tu aurais bien nettoyé ethniquement ce pays avec tes potes, vous allez devoir vous rejeter entre vous. Et bien detester le voisin !
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Re: Grhollande : dictature soviétique made in France

Messagede Feyd le 17 Juil 2015, 14:29

Cyril a écrit:C'est pour Panzer ou moi ?


#spock

Vu que je te quote tu dois pourtant deviner que je ne m'adresse pas au pape. :splat:
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