La voici en attendant
Hugues
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Kadoc a écrit:Je te conseille d'aller voir la planete des singes alors. Ca ne degouline pas du tout de bons sentiments.
Hugues a écrit:La dernière vidéo est devenue inopérante, sans doute temporairement pour quelques heures: il me semble que cette bande-annonce est en exclusivité sur je ne sais quel site pour 24h, et que donc la chaine de bande annonce qui l'avait mise en ligne ne respectait pas l'embargo et a probablement eu des réprimandes, elle est donc temporairement placée en privé jusqu'à la fin des 24h.
La voici en attendantsur DailyMotion (damned encore raté), sinon ça serait trop frustrant pour Ouais_supère:
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Hugues
Cortese a écrit:Kadoc a écrit:Je te conseille d'aller voir la planete des singes alors. Ca ne degouline pas du tout de bons sentiments.
"Le Singe cet inconnu"
Kadoc a écrit:Je suis comme Ouais_Supere, si y'a de l'espace dedans, je suis oblige de le voir.
Tarod a écrit:Cortese a écrit:Kadoc a écrit:Je te conseille d'aller voir la planete des singes alors. Ca ne degouline pas du tout de bons sentiments.
"Le Singe cet inconnu"
Je trouve pas la contrepèterie
Cortese a écrit:Tarod a écrit:Cortese a écrit:Kadoc a écrit:Je te conseille d'aller voir la planete des singes alors. Ca ne degouline pas du tout de bons sentiments.
"Le Singe cet inconnu"
Je trouve pas la contrepèterie
Pourquoi il y en avait une dans "L'Homme cet inconnu" ?
Silverwitch a écrit:Hugues a écrit:La dernière vidéo est devenue inopérante, sans doute temporairement pour quelques heures: il me semble que cette bande-annonce est en exclusivité sur je ne sais quel site pour 24h, et que donc la chaine de bande annonce qui l'avait mise en ligne ne respectait pas l'embargo et a probablement eu des réprimandes, elle est donc temporairement placée en privé jusqu'à la fin des 24h.
La voici en attendantsur DailyMotion (damned encore raté), sinon ça serait trop frustrant pour Ouais_supère:
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Hugues
Ça ressemble à du Malick, mais ce n'est pas du Malick !
Cortese a écrit:J'ai du mal avec un film turc à la bande-son genre sonate au piano. Culturellement c'est incompréhensible. On dirait un film suédois. Ça parle de quoi au juste ? Regardez-nous comme on vous ressemble, ô nos maîtres bien-aimés ? (bon j'exagère, mais ça m'agace).
Shoemaker a écrit:Je suis un inconditionnel des enquêtes du Juge Ti de Van Gulik dont je lis et relis les aventures sans me lasser ! Je vais donc derechef m'intéresser à celles du détective Dee.
Shoemaker a écrit:je n'ai jamais entendu parler de ce film. J'ai raté le bus, lorsque certainement "on" (mais qui est "on" ?) en a parlé ici !
Aïe ... pas sur la tête !.....![]()
Bon, ça va m'en faire deux à voir. En ces temps de fin du monde programmée, ça ne va pas me faire du mal de plonger dans les mystères de la Chine ancienne.
Cortese a écrit:Shoemaker a écrit:je n'ai jamais entendu parler de ce film. J'ai raté le bus, lorsque certainement "on" (mais qui est "on" ?) en a parlé ici !
Aïe ... pas sur la tête !.....![]()
Bon, ça va m'en faire deux à voir. En ces temps de fin du monde programmée, ça ne va pas me faire du mal de plonger dans les mystères de la Chine ancienne.
Oui mais je te vois faire ton grincheux (j'ai pas le monopole). Tu vas dire "ah ouais, mais ça c'est du Jackie Chan, ça n'a rien à voir avec Bruce Lee, c'est de la danse pas du combat bien viril et tout et tout".
Jean Labadie, Le Pacte et The Jokers a écrit:Madame Filippetti, la piraterie tue le cinéma
Jean LABADIE Producteur, distributeur, président de la société le Pacte
6 août 2014 à 18:06
TRIBUNE
Madame la ministre de la Culture,
Je suis distributeur indépendant depuis presque trente ans et je ne me rappelle pas que la distribution indépendante ait jamais traversé une période aussi difficile ! Jamais nous n’avons vécu une telle conjoncture - combinaison d’un turnover infernal des films dans les salles, de l’augmentation des frais d’édition, de la baisse des acquisitions par les chaînes de télévision des films d’auteurs et de la disparition prochaine de la vidéo sans que la vidéo à la demande (VOD) ait décollé. Le Centre national du cinéma (CNC) se bat à nos côtés, mais ne peut rien sur la piraterie. Le financement par les distributeurs n’a pourtant jamais été aussi indispensable pour les productions françaises et les grands films européens (100% des films primés à Cannes étaient cofinancés par des indépendants).
Les coûts de production en France n’ont pas diminué - et ce d’autant plus depuis la nouvelle convention collective. En revanche, des sources importantes de financement se tarissent : les préventes internationales, la télévision (la TNT profite surtout au cinéma américain et n’a pas une programmation pluraliste). D’autres sont en voie d’extinction, comme la vidéo ! Notre équilibre économique a toujours été fragile mais nous avions la vidéo pour investir à nos côtés, compenser un passage trop rapide dans les salles, pérenniser les œuvres.
Aujourd’hui, nous pouvons tous affirmer que la piraterie a pour ainsi dire exécuté le marché vidéo et empêche également le marché de la VOD de démarrer. La piraterie touche tous les genres, de Supercondriaque à Aimer, boire et chanter. Aujourd’hui, nous éditons souvent des films par respect pour les auteurs mais hélas pas en Blu-ray, trop cher. Nous combattons la piraterie mais ne pouvons que constater notre impuissance ! Les fichiers détruits réapparaissent en toute impunité !
Quel autre métier est-il obligé de faire sa propre police ? Il y aura bientôt moins de films, de producteurs, de distributeurs indépendants. Pourquoi pas ? Cela peut en effet être un choix de politique culturelle. Après tout, X-Men 7 et Transformers 4 remplissent les salles ! Et il est peut-être temps pour les cinéastes français de se recycler dans les séries télévision. Sans la mise en place d’une action rapide, nous assisterons bientôt au décès prématuré, non seulement d’une industrie, mais aussi d’une part de notre identité culturelle. L’impunité dont jouissent les pirates est totalement liée à l’inertie totale des pouvoirs publics. La gratuité est entrée dans les mœurs. Pourtant, l’exemple de l’Espagne devrait vous faire réfléchir…
Pourquoi un internaute (un tiers des abonnés à Internet pirate !) paierait-il pour voir un film alors qu’en tapant son titre suivi de streaming, il peut y avoir accès gratuitement et sans risque ? Après six mois en VOD, le film est sous embargo pour au moins deux ans : il devra le pirater s’il n’est pas abonné à la bonne chaîne payante. Quel commerce pourrait-il survivre à une offre aussi incompréhensible ?
La SVOD (vidéo à la demande avec abonnement) ne résoudra pas non plus le problème : elle est disponible très tard et, surtout, chaque service de SVOD présentera un nombre limité d’œuvres, plutôt des films populaires que du patrimoine ou des films d’auteur. Elle ne pourra jamais satisfaire les désirs d’un spectateur habitué à une immense diversité. Ce n’est pas un «champion français» qui changera la donne. Il faut absolument un plan antipiratage solide et efficace pour combattre ce fléau et permettre à des services vertueux d’avoir le temps de se développer et de gagner le cœur des clients.
Hadopi première version n’était pas parfait mais menaçait de sanctions ceux qui volaient (car, oui, le piratage est un vol) les ayants droit, auteurs, producteurs ou diffuseurs de films. Votre gouvernement n’a eu de cesse que de détruire cette entité sans avoir jamais, en deux ans, proposé une quelconque riposte contre les contrevenants. Pourquoi dans ce cas ne pas laisser chacun se servir dans les magasins d’alimentation ou de prêt-à-porter ? Ne serait-il pas aussi légitime de se vêtir et de manger à sa faim sans payer ? Peut-être même davantage que de visionner Drive ou les Beaux Jours ? Sommes-nous un métier qu’il vous semble légitime de laisser piller ? Avons-nous eu affaire il y a deux ans à une pure promesse électorale ? Dépénaliser le piratage et en faire cadeau aux électeurs sans que ça ne coûte un euro au futur gouvernement. Une stratégie à court terme qui oublie pertes d’emplois, de TVA, d’impôt sur les sociétés, etc ! Une promesse de campagne devenue cauchemar pour tous les intervenants de l’industrie du cinéma et de la télévision ! Peut-être au fond le gouvernement a-t-il fait un rêve : celui que le cinéma soit gratuit… Dans ce cas-là, pourquoi ne pas produire qu’avec des fonds publics ? Avec des auteurs, des techniciens bénévoles ou fonctionnarisés ?
Plus sérieusement, notre profession ne peut se passer d’une action gouvernementale efficace, rapide, réfléchie et surtout juste. Pouvez-vous sortir de cet état schizophrénique, consistant d’un côté à vous poser en défenseur de l’exception culturelle, et d’un autre à tout faire pour mettre en pièces le produit même de cette exception ? Vous avez dans le Figaro évoqué la priorité à donner à la lutte contre le piratage. Un discours qui nous comble, mais où sont les mesures concrètes ? Pourquoi n’avez-vous rien annoncé ? Comptez-vous seulement sur l’éducation et la prévention ? La prévention routière se double d’une police de la route qui punit les contrevenants. Elle ne leur envoie pas simplement des mails suivis… d’aucun effet !
Hadopi coûte 7 millions d’euros par an. Soit on les économise en supprimant cette institution devenue inutile, soit on les emploie à identifier les sites illégaux pour les sanctionner financièrement ET pénalement. Pourquoi ne pas confier cet organisme au CNC, très motivé pour défendre notre cinéma, plutôt qu’au CSA, dont le président «ne veut pas devenir le gendarme d’Internet» !
Savez-vous enfin qu’il existe une technologie permettant de démarrer la VOD sur des zones délimitées précisément ? La VOD pourrait suivre l’exploitation en salle une fois celle-ci terminée. Le public n’aurait plus alors cette frustration d’avoir entendu parler d’un film et de n’avoir pu le voir. Cela résoudrait entre autres le problème de hiérarchie entre les salles et la VOD (on pourrait associer localement les exploitants pour continuer ensemble notre travail de diffusion). L’exploitant qui garde longtemps un film ne serait pas pénalisé puisque la VOD ne viendrait jamais en concurrence. La couverture permanente du territoire par œuvres serait ainsi assurée et cela au détriment de personne !
Découvrir les nouveaux cinéastes, les produire et les distribuer demandera toujours plus de paris, d’investissements à risque et d’entrepreneurs prêts à sortir des sentiers battus. Tarder à combattre la piraterie ne donnera à personne l’envie d’investir et de parier sur l’avenir. Merci de votre attention à cette lettre dictée par la passion des films et l’envie de les voir continuer à exister, à nous surprendre, nous émouvoir…
Jean LABADIE Producteur, distributeur, président de la société le Pacte
Liberation.fr a écrit:Affreux, hors salles et méchants
Bruno ICHER, Guillaume TION, Lucille BION et Benjamin NONO
7 août 2014 à 19:36
TÉLÉCHARGEMENT ILLÉGAL
Après une tribune de Jean Labadie interpellant le gouvernement, les distributeurs indépendants s’élèvent contre les ravages du téléchargement illégal.
(Sorti le 23 juillet en France, «The Raid 2» est un bide commercial mais un succès critique et de téléchargement.)
Dans une tribune publiée jeudi dans Libération, Jean Labadie, patron du Pacte, distributeur indépendant français, a lancé un appel au secours au gouvernement pour lutter contre le téléchargement illégal. S’il n’aborde pas le sujet dans son texte, le distributeur a écrit cette lettre ouverte au cœur d’un été délicat ayant notamment vu un de ses films prendre une méchante gamelle en salles : The Raid 2 de Gareth Evans. Alors que le premier volet de ce film indonésien avait réalisé en 2012 une jolie performance de 180 000 entrées, le second, très attendu par les fans, a attiré moins de 60 000 spectateurs pour la première semaine. «Autrement dit, The Raid 2 fera moins bien que le premier alors que nous espérions au moins 100 000 entrées en première semaine», se lamente Jean Labadie, d’autant plus contrarié que Twitter, Facebook, AlloCiné - et même Libération - débordent de commentaires élogieux sur le film.
Pour Jean Labadie, la cause du mal est donc le téléchargement illégal, qu’il estime à plusieurs dizaines de milliers d’unités avant la sortie en salles du film, le 23 juillet. Pour donner une idée, CoPeerRight Agency, la société chargée de débusquer et de détruire les liens de téléchargement du film, en aurait neutralisé en moins de quinze jours quelque 2 500, auxquels il faut ajouter 1 100 autres en streaming. Ils réapparaissent en grande majorité dès le lendemain.
«Trop tard». Le cas de figure est relativement classique. Sorti aux Etats-Unis en avril, le DVD de The Raid 2 est arrivé sur le marché nord-américain le 8 juillet. Dans les jours qui ont suivi, l’avalanche de liens téléchargeables du film, en haute définition et assorti des sous-titres français (grâce au DVD canadien), a commencé. «A l’origine, le film devait sortir au printemps mais nous avons eu quelques problèmes avec la traduction», explique Manuel Chiche, de Wild Side, qui a participé au préfinancement du film par l’acquisition des droits de The Raid 2 en vidéo. «Ensuite, nous avions deux fenêtres de tir : juste après Cannes et, donc, au mois de juillet. L’été est souvent une bonne période pour sortir ce genre de films mais, clairement, c’était trop tard.»
Pour Labadie, la pilule est amère. «Pour le Pacte, comme pour tous les distributeurs indépendants, cette situation nous conduit à être plus prudents. Je pense, compte tenu du succès paradoxal du film, qu’il y aura un Raid 3 mais je ne suis pas sûr de prendre le risque de le sortir en salles. Je prendrai les droits d’exploitation en VOD.» Labadie n’est pas seul à s’inquiéter. Grégory Gajos, responsable des acquisitions chez Ad Vitam, tire les mêmes conclusions : «Le gouvernement a conscience du problème, le rapport Lescure en est la démonstration, mais il ne prend pas réellement position. Avec l’arrivée de Netflix [prévue à la mi-septembre, ndlr] et la télé payante, l’acquisition des films est à repenser totalement. Les DVD ne se vendent plus. L’offre VOD est mal organisée en France car il existe plusieurs plateformes, voire trop. Le vrai problème, c’est que le téléchargement illégal devient plus simple d’utilisation que la VOD. Les recettes s’effondrent et l’industrie se fragilise.» Stéphane Auclaire, patron de UFO, lui emboîte le pas : «On se sent impuissant. On perd 20, 30, parfois 40% de notre part de marché, ça nous empêche de vivre et le phénomène s’étend pour les films en salles. En tant qu’indépendant, on joue sur un marché microscopique qui ne tient plus.»
Rappel. En France, Hadopi prévoit une réponse au piratage «graduée [qui] repose sur l’envoi de messages de sensibilisation. […] La Commission de protection des droits de l’Hadopi (CPDH) envoie au titulaire de l’abonnement un premier avertissement par mail. En cas de nouvelle constatation de faits, ce mail est doublé d’une lettre remise contre signature. Si les faits sont réitérés, l’abonné peut recevoir une lettre de notification l’informant que les faits sont susceptibles de poursuites pénales», lit-on sur le site d’Hadopi. Pour Mireille Imbert-Quaretta, présidente de la CPDH, 3 millions de premiers mails ont été envoyés depuis 2010 et la création d’Hadopi, pour 300 000 secondes recommandations. «L’objectif pédagogique voulu par les pouvoirs publics et le législateur est assuré», expliquait-elle le 17 juillet. En bout de chaîne, 116 dossiers ont été transmis à la justice et une majorité se sont soldés par des rappels à la loi, l’amende la plus forte, 1 500 euros, n’ayant jamais été prononcée. Une autre «étape» existait : la coupure de l’accès à Internet, mais elle a été annulée par décret en juillet 2013.
Dans d’autres pays, des mesures répressives se sont mises en place, comme en Allemagne par exemple, où les distributeurs font appel à des cabinets d’avocats qui traquent les pirates pour leur présenter la facture. Pour Chiche, la solution n’est pas dans cette course à l’armement : «Je n’ai pas choisi ce boulot pour cavaler après des gens qui piratent. Je n’ai ni le temps, ni les moyens, et encore moins l’envie de faire ça.»
Paradoxe. Au-delà des estimations précises sur le manque à gagner ou les mesures pertinentes à mettre en œuvre, cette affaire met en lumière un paradoxe qui en dit long sur l’urgence de la situation. Il y a moins de vingt ans, le public cinéphile était le cœur de cible des distributeurs indépendants. C’était prioritairement à lui qu’ils pensaient en achetant les droits de films fragiles, émanant de cinémas méconnus. Or c’est ce même public, connaisseur, informé et souvent technophile qui constitue le gros de la troupe du téléchargement illégal. Au risque, à plus ou moins court terme, de mettre en péril le financement des films dont ils sont si friands.
Ce sera à n’en pas douter l’un des sujets de la rencontre prochaine entre Jean Labadie et les représentants du ministère de la Culture qui, sollicités à plusieurs reprises, n’ont pas souhaité réagir à cette tribune pour Libération.
Bruno ICHER, Guillaume TION, Lucille BION et Benjamin NONO
Kadoc a écrit:C'est clair mais le probleme c'est que ces prix-la ne sont pas dus aux independants. Justement les salles art et essai c'est souvent carrement moins cher.
Cortese a écrit:logiquement, une place de ciné dans les meilleurs cinémas de Paris ne devrait pas dépasser 8€ disons, et une place dans un bon cinéma de quartier 5€. Sans oublier qu'il y avait toute une gamme de salles, et les moins chères genre ciné-club devraient être à 2€.
Cortese a écrit:Comme d'habitude, le système capitaliste essaie de pressurer au maximum par les deux bouts de la chaîne le pauvre bougre de travailleur de base. Depuis la faillite du socialisme réel et le déchaînement du capitalisme de rapines, faut-il s'étonner que le peuple se comporte lui aussi en voleur ? Pourquoi diable devrait-il se sentir coupable ?
Cortese a écrit:je crois avoir lu que 1000 F de 1960 équivalent à 1500 € d'aujourd'hui (en tout cas je me souviens très bien que ma cousine qui avait raté son bac touchait 1000F comme secrétaire en 62) et les cinéma les plus luxueux d'Alger (qui était la 4eme plus grande ville de France hein) vendaient leurs places à 5F. Donc logiquement, une place de ciné dans les meilleurs cinémas de Paris ne devrait pas dépasser 8€ disons, et une place dans un bon cinéma de quartier 5€. Sans oublier qu'il y avait toute une gamme de salles, et les moins chères genre ciné-club devraient être à 2€.
Rainier a écrit:la Une de DIE WELT pour le 100° anniversaire de la naissance de Louis De Funés !!
Rainier a écrit:De Funes est vraiment une star en Allemagne, bien plus qu'en France.
Même quand il se moque des Allemands, comme dans la Grande Vadrouille, cela les fait beaucoup rire.
Parait qu'Angela Merkel parlait de Sarkozy, en privé, en l'appelant De Funés !
Je pense que pour les Allemands, De Funes doit représenter le Français typique.
Un peu comme pour nous, Aldo Maccione représentait l'Italien typique.
Rainier a écrit:Cortese a écrit:je crois avoir lu que 1000 F de 1960 équivalent à 1500 € d'aujourd'hui (en tout cas je me souviens très bien que ma cousine qui avait raté son bac touchait 1000F comme secrétaire en 62) et les cinéma les plus luxueux d'Alger (qui était la 4eme plus grande ville de France hein) vendaient leurs places à 5F. Donc logiquement, une place de ciné dans les meilleurs cinémas de Paris ne devrait pas dépasser 8€ disons, et une place dans un bon cinéma de quartier 5€. Sans oublier qu'il y avait toute une gamme de salles, et les moins chères genre ciné-club devraient être à 2€.
Je me souviens d'un cinéma de quartier à Nice (vers la place Garibaldi, rue Smolett de mémoire) ou la place de ciné était à 1 NF. Ca devait être en 1962 ou 63.
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