F1 Express > Forums

de **Sylphus** le 27 Avr 2014, 21:12

J'ai justement regardé Le Petit Baigneur l'autre jour.

de **Feyd** le 28 Avr 2014, 10:28

Micheline Dax

de **Hawk** le 28 Avr 2014, 10:39

très grande actrice de théatre de boulevard aussi,

de **Shoemaker** le 28 Avr 2014, 11:01

Elle faisait la voix de Pollux ou de Zebulon, je sais plus, dans le Manège Enchanté. Me rappelle aussi qu'elle était la copine de Jacques Bodoin, un super comique des années 60 (Si j'avais su que ça soyait comme ça j'aurais pas venu...).
On l'aimait bien. La grande famille de l'ORTF et tout et tout...

de **porcaro77** le 28 Avr 2014, 11:35

pollux ce n'éyait pas elle !

de **rozz** le 28 Avr 2014, 13:32

ca commence à faire beaucoup pour la "legendaire" Academie des 9....

Maurice Biraud
Carlos
Philippe Castelli
Éric Charden
G.Rinaldi (Les Charlots)
Jacques Chazot
Michel Constantin
Dalida
Micheline Dax
Harold Kay
Jean Lefebvre
Paul Préboist
Jean-Marie Proslier
Thierry Roland
Jackie Sardou
Sim
Patrick Topaloff
Léon Zitrone

Et vu l´age moyen des "restants" Kadoc n´a pas fini d´etre en deuil !

de **Shoemaker** le 28 Avr 2014, 13:40

porcaro77 a écrit:pollux ce n'éyait pas elle !

Wiki :
Jacques Bodoin : Pollux / Flappy / Ambroise / Zébulon (1964-1966)
Bernard Haller : Pollux (1966)
Christian Riehl : Pollux (1966-1990)
Micheline Dax : Azalée (1964-1966)
Pascaline Priou : Azalée (1966-?)
Patricia Danot : Margote (1964-1990)
Serge Danot : Ambroise (1966-?)

Elle faisait un truc dedans.
C'est son copain en fait, Bodoin, qui faisait pas mal de voix.
Je veux pas dire de conneries, mais je crois même qu'elle savait siffler en virtuose ! A vérifier ! Peut-être que c'était plutôt Catherine Langeais...

de **Né quelque part** le 28 Avr 2014, 15:13

Shoemaker a écrit:Elle faisait la voix de Pollux ou de Zebulon, je sais plus, dans le Manège Enchanté. Me rappelle aussi qu'elle était la copine de Jacques Bodoin, un super comique des années 60 (Si j'avais su que ça soyait comme ça j'aurais pas venu...).
On l'aimait bien. La grande famille de l'ORTF et tout et tout...

Immense comédienne ! Elle était aussi la voix de Miss Piggy.

C'est l'occasion de revoir le cultissime "Vos gueules les mouettes".

de **Shoemaker** le 28 Avr 2014, 15:26

Ah ça ! C'était pas du cinéma de mariage pour tous !

de **Sylex** le 28 Avr 2014, 15:27

Une légende du théatre, notamment concernant sa mémoire. Elle pouvait apprendre un texte du jour pour le lendemain.

de **denim** le 28 Avr 2014, 17:04

Shoemaker a écrit:
porcaro77 a écrit:pollux ce n'éyait pas elle !

Wiki :
Jacques Bodoin : Pollux / Flappy / Ambroise / Zébulon (1964-1966)
Bernard Haller : Pollux (1966)
Christian Riehl : Pollux (1966-1990)
Micheline Dax : Azalée (1964-1966)
Pascaline Priou : Azalée (1966-?)
Patricia Danot : Margote (1964-1990)
Serge Danot : Ambroise (1966-?)

Elle faisait un truc dedans.
C'est son copain en fait, Bodoin, qui faisait pas mal de voix.
Je veux pas dire de conneries, mais je crois même qu'elle savait siffler en virtuose ! A vérifier ! Peut-être que c'était plutôt Catherine Langeais...

non non c'est bien çà,micheline Dax était une excellente "siffleuse"...je ne sais pas trop si on doit le dire comme çà.
et sinon,c'était une très grande actrice...

elle a choisi de donner son corps à la science...

de **Maverick** le 30 Avr 2014, 14:40

Bob Hoskins

de **Hugues** le 30 Avr 2014, 15:52

Brazil - Les techniciens du Central Service

Hugues

de **Nuvo** le 30 Avr 2014, 16:21

Il a joué dans "Troubles" avec Tom Berenger et la jolie italienne de "Présumé innocent". Krouchtchev dans "Stalingrad", le père de Ryan Gosling dans "Stay". Et J. Edgar Hoover dans "Nixon".
J'adorais cet mec. Même si quand j'étais jeune je le confondais parfois avec Joe Pecci

de **a6gcs** le 30 Avr 2014, 21:13

Shoemaker a écrit: Me rappelle aussi qu'elle était la copine de Jacques Bodoin.

Et pour cause ils ont été mariés.

de **a6gcs** le 30 Avr 2014, 21:15

Nuvo a écrit:Il a joué dans "Troubles" avec Tom Berenger et la jolie italienne de "Présumé innocent". Krouchtchev dans "Stalingrad", le père de Ryan Gosling dans "Stay". Et J. Edgar Hoover dans "Nixon".
J'adorais cet mec. Même si quand j'étais jeune je le confondais parfois avec Joe Pecci

On a les références qu'on peut :oops:

pour moi, il est d'abord son rôle dans qui veut la peau de Roger Rabitt

de **Hugues** le 06 Mai 2014, 13:47

Tatiana Samoilova :cry:

à 80 ans (déjà!

), le jour de son anniversaire, dimanche 4 mai.

Quand passent les cigognes (Летят журавли, Letiat jouravli, Les grues volent) de Mikhaïl Kalatozov (et son chef opérateur Sergueï Ouroussevski) - Bande-annonce

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Bande-annonce

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - Les escaliers

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - L'engagement dans l'armée

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - La mort de Boris - Doublage espagnol hélas

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - La fuite de Veronika de l'hopital, comprenant face à d'autres soldats blessés, qu'elle aurait dû attendre Boris

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - Le retour des soldats (scène finale)

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Montage

La lettre inachevée (Неотправленное письмо, Neotpravlennoe pismo, La Lettre non envoyée) de Mikhaïl Kalatozov (avec Sergueï Ouroussevski) - Extrait

Hugues

PS: Oups, Mosfilm ne facilite pas le regard sur les extraits ici.. Je vais corriger ça dès que possible (et peut-être ajouter une scène, là aussi virtuose, du tramway)

de **Silverwitch** le 06 Mai 2014, 14:14

Hugues a écrit:Tatiana Samoilova

à 80 ans (déjà! ), le jour de son anniversaire, dimanche 4 mai.

Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
Quand passent les cigognes (Летят журавли, Letiat jouravli, Les grues volent) de Mikhaïl Kalatozov (et son chef opérateur Sergueï Ouroussevski) - Bande-annonce

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Bande-annonce

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - Les escaliers

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - L'engagement dans l'armée

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - La mort de Boris - Doublage espagnol hélas

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - La fuite de Veronika de l'hopital, comprenant face à d'autres soldats blessés, qu'elle aurait dû attendre Boris

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Extrait - Le retour des soldats (scène finale)

Quand passent les cigognes - Mikhaïl Kalatozov - Montage

La lettre inachevée (Неотправленное письмо, Neotpravlennoe pismo, La Lettre non envoyée) de Mikhaïl Kalatozov (avec Sergueï Ouroussevski) - Extrait

Hugues

PS: Oups, Mosfilm ne facilite pas le regard sur les extraits ici.. Je vais corriger ça dès que possible (et peut-être ajouter une scène, là aussi virtuose, du tramway)

Merci Hugues, quel bel hommage !

de **Feyd** le 06 Mai 2014, 16:12

Marrant, en ouvrant ce topic je me suis dit "voyons quel producteur de films de la nouvelle vague tchécoslovaque Silver va nous annoncer la mort...".

Finalement c'était Hugues pour une actrice russe native de Leningrad dont je n'ai jamais entendu parler ce qui doit probablement être le cas pour 95% des français. Sur le fond je me suis pas tant trompé que ça. :lol:

de **Nuvo** le 06 Mai 2014, 16:25

Quand passent les cigognes ça doit être un film célèbre car Le Luron en parle aux Césars lorsqu'il parodie Mitterrand.

de **Silverwitch** le 06 Mai 2014, 16:26

Feyd a écrit:Marrant, en ouvrant ce topic je me suis dit "voyons quel producteur de films de la nouvelle vague tchécoslovaque Silver va nous annoncer la mort...".

Finalement c'était Hugues pour une actrice russe native de Leningrad dont je n'ai jamais entendu parler ce qui doit probablement être le cas pour 95% des français. Sur le fond je me suis pas tant trompé que ça.

La nécrologie du Monde (je souligne):

Tatiana Samoïlova (1934-2014), inoubliable interprète de «Quand passent les cigognes»

L'inextinguible tristesse de l'un des plus célèbres personnages féminins du cinéma mondial auquel elle avait prêté ses yeux en amande et son sourire charmeur restera dans la mémoire des cinéphiles comme l'expression même des effets de la guerre sur l'individu. Tatiana Samoïlova, l'inoubliable interprète de Quand passent les cigognes, dont l'héroïne perd son fiancé parti au front, est morte le 4 mai à Moscou le jour même de son 80e anniversaire.

Née en 1934 à Léningrad (aujourd'hui Saint-Petersbourg), fille d'un acteur qui avait tourné pour Dovjenko et Alexandrov, Tatiana Samoïlova, tout d'abord ballerine, renonce à la proposition de Maïa Plissetskaïa de rejoindre la troupe du Bolchoï et se lance dans des études d'art dramatique. Renvoyée de l'école Chtchoukine pour avoir joué dans un film en contrevenant au règlement, elle est imposée par Mikhaïl Kalatozov qui choisit, contre l'avis même de l'auteur de la pièce à l'origine de Quand passent les cigognes, cette jeune inconnue de vingt-deux ans.

L'UNIQUE PALME D'OR SOVIÉTIQUE

Malgré les réticences du Politburo devant la liberté de ton du film, 28 millions de Soviétiques se précipitent dans les salles durant l'hiver 1957 et font un triomphe au couple Samoïlova-Batalov. L'URSS décide alors d'envoyer ce film au Festival de Cannes (Claude Lelouch qui a vu des images lors de son passage à Moscou insiste auprès du délégué général de l'époque, Robert Favre Le Bret), les critiques s'emballent, Picasso et Georges Sadoul crient au génie, et le jury du festival, présidé en 1958 par Marcel Achard, décerne l'unique Palme d'or qu'ait, à ce jour, remportée le cinéma russe – ainsi qu'une mention spéciale pour Tatiana Samoïlova, venue à Cannes accompagnée du célèbre chef-opérateur du film, Sergueï Ouroussevski, mais en l'absence de Kalatozov que les Soviétiques ont privé de voyage.

Le producteur Ignace Morgenstern, beau-père de François Truffaut sort le film un mois après Cannes : celui-ci attire 5,4 millions de spectateurs en France, ce qui en fait le plus grand succès de l'histoire du cinéma russe dans l'Hexagone. Avant de quitter la France, elle se voit proposer d'aller à Hollywood tourner Anna Karénine avec Gérard Philipe sur un scénario de Mikhaïl Romm, mais le pouvoir soviétique l'en empêche. En 1959, le réalisateur français Marcel Pagliero, dont c'est le dernier film, tourne à Moscou la première coproduction franco-soviétique, Vingt mille lieues sur la Terre, avec Jean Rochefort et Léon Zitrone, offrant le rôle féminin à Samoïlova. Kalatozov la rappelle pour La Lettre non envoyée, mais ces retrouvailles ne rencontrent pas le public.

« Spécialiste » des coproductions, elle s'envole pour Budapest tourner dans le film de Mihaly Szemes Alba Regia (que le distributeur français rebaptisera astucieusement Les Cigognes s'envolent à l'aube !), mais se voit refuser par les autorités soviétiques le droit d'aller interpréter Marie Stuart en Yougoslavie. Giuseppe De Santis, en revanche, parvient à l'avoir pour Marcher ou mourir, coproduction italo-soviétique sur la guerre en Ukraine, où elle côtoie Arthur Kennedy et Peter Falk.

RÔLE-TITRE D'ANNA KARÉNINE

Mais c'est Alexandre Zarkhi, qui, en lui offrant le rôle-titre d'Anna Karénine (1967), la remet sur le devant de la scène : 40 millions de Soviétiques retrouvent avec bonheur celle qu'ils avaient découverte dix ans plus tôt, cependant que le Festival de Cannes, dans la compétition duquel concourt le film en cette année 1968, est interrompu par les événements, le film n'ayant même pas eu le temps d'être projeté.

Néanmoins, malgré la gloire, les projets ne lui parviennent pas : les autorités ne voient pas d'un très bon œil cette actrice que le monde entier réclame et son talent n'est guère mis à contribution. De fait, elle ne tourne plus que dans une petite dizaine de films après Anna Karénine. Elle a aussi un rôle en 2004 dans la grande série télé Une saga moscovite. Son avant-dernière apparition à l'écran est dans Loin de Sunset Boulevard d'Igor Minaiev, en 2005, dans lequel elle interprète le rôle à peine romancé de Lioubov Orlova, grande figure du cinéma soviétique des années 1930. De fait, grâce à la notoriété que le Festival de Cannes lui avait offerte, Tatiana Samoïlova fut la seule star internationale de ce cinéma ballotté au gré des vicissitudes politiques.

Lorsque, en 1990, ce festival lui rendit un hommage en sa présence, Jean-Claude Brialy rappela combien elle avait compté dans l'imaginaire des cinéphiles, lui qui, cette même année 1958, était venu montrer à Cannes, hors festival, Le Beau Serge avec Claude Chabrol. De santé fragile, peu heureuse sur le plan personnel, privée de rôles, tirant souvent le diable par la queue, Tatiana Samoïlova n'a pas eu la vie que lui imaginait la cohorte de ses admirateurs.

de **Cortese** le 06 Mai 2014, 20:23

Faut vraiment n'avoir jamais ouvert la moindre encyclopédie du cinéma pour ignorer l'existence de ce film russo-géorgien (

). En tout cas nous à Alger on l'avait vu sur la chaîne unique, dans les années 60, entre l'"Enfance d'Ivan" et "Alexandre Nevsky", l'Ile nue" ou "Le troisième homme". On s'en rendait pas compte à l'époque mais on avait une super programmation. Le socialisme c'était bien quand même. Mais on se rendait pas compte.

de **Shoemaker** le 06 Mai 2014, 20:38

Je me rappelle aussi d'un film dans la même veine (d'après moi), une histoire "d'instituteur", dans un coin reculé de Sibérie (me rappelle qu'il faisait froid, dans ce film), avec donc des acteurs de type "asiatique", de la neige, des seins nus, et une actrice d'une beauté époustouflante... J'en ai gardé un gros souvenir (à cause des seins nus, peut-être...).

de **denim** le 06 Mai 2014, 20:41

jeune je trouve qu'elle avait un p'tit air à audrey Hepburn...en un peu plus grasse quand même.

de **Shoemaker** le 06 Mai 2014, 20:55

denim a écrit:jeune je trouve qu'elle avait un p'tit air à audrey Hepburn...en un peu plus grasse quand même.

Donc parfaite !

de **Cortese** le 06 Mai 2014, 21:24

Shoemaker a écrit:Je me rappelle aussi d'un film dans la même veine (d'après moi), une histoire "d'instituteur", dans un coin reculé de Sibérie (me rappelle qu'il faisait froid, dans ce film), avec donc des acteurs de type "asiatique", de la neige, des seins nus, et une actrice d'une beauté époustouflante... J'en ai gardé un gros souvenir (à cause des seins nus, peut-être...).

C'est donc pas à Alger que tu l'as vu.

de **denim** le 06 Mai 2014, 21:34

tu parles...Saint-Denis,oui.

de **Shoemaker** le 06 Mai 2014, 21:55

Cortese a écrit:
Shoemaker a écrit:Je me rappelle aussi d'un film dans la même veine (d'après moi), une histoire "d'instituteur", dans un coin reculé de Sibérie (me rappelle qu'il faisait froid, dans ce film), avec donc des acteurs de type "asiatique", de la neige, des seins nus, et une actrice d'une beauté époustouflante... J'en ai gardé un gros souvenir (à cause des seins nus, peut-être...).

C'est donc pas à Alger que tu l'as vu.

ah ben oui ! A Alger, même les baisers étaient censurés.
Je parlais du fait que c'était ce genre de cinéma russe, très bien fait, mais très peu connu en Occident malheureusement.

de **Rainier** le 06 Mai 2014, 23:30

Shoemaker a écrit:
Cortese a écrit:
Shoemaker a écrit:Je me rappelle aussi d'un film dans la même veine (d'après moi), une histoire "d'instituteur", dans un coin reculé de Sibérie (me rappelle qu'il faisait froid, dans ce film), avec donc des acteurs de type "asiatique", de la neige, des seins nus, et une actrice d'une beauté époustouflante... J'en ai gardé un gros souvenir (à cause des seins nus, peut-être...).

C'est donc pas à Alger que tu l'as vu.

ah ben oui ! A Alger, même les baisers étaient censurés.
Je parlais du fait que c'était ce genre de cinéma russe, très bien fait, mais très peu connu en Occident malheureusement.

Moi je l'avais vu au lycée d'Ivry sur Seine. Finalement tout n'est pas mauvais dans les régimes bolcheviques.
J'ai gardé de ce film un assez bon souvenir quoique lointain ...en tout cas, ça me rasait moins que les pièces de Bertolt Brecht que les profs de français et d'allemand nous infligeaient (une année en cours d'allemand à lire Die Dreigroschenoper ...ça m’étonne pas que je ne sache pas dire plus de 3 mots d'allemands aujourd'hui !)

de **Silverwitch** le 07 Mai 2014, 12:05

Cortese a écrit:Faut vraiment n'avoir jamais ouvert la moindre encyclopédie du cinéma pour ignorer l'existence de ce film russo-géorgien ( ). En tout cas nous à Alger on l'avait vu sur la chaîne unique, dans les années 60, entre l'"Enfance d'Ivan" et "Alexandre Nevsky", l'Ile nue" ou "Le troisième homme". On s'en rendait pas compte à l'époque mais on avait une super programmation. Le socialisme c'était bien quand même. Mais on se rendait pas compte.

de **Ouais_supère** le 13 Mai 2014, 11:16

Merde, Giger.

de **a6gcs** le 14 Mai 2014, 22:45

André Popp 90 , pour un béotien comme moi c'était un illustre inconnu, mais les plus de 40 ont tous fredonné l'air d'une de ses mélodies sans le savoir, l'amour est bleu ou Manchester et Liverpool par exemple.

de **Feyd** le 15 Mai 2014, 17:37

Jean-Luc Dehaene

de **metomoll** le 16 Mai 2014, 13:05

Le chargeur de mon scooter électrique... grillé

de **Hugues** le 19 Mai 2014, 09:26

Gordon Willis, 82 ans, chef opérateur sur

Le Parrain, Le Parrain II, Le Parrain III de Francis Ford Coppola

Le Parrain — Séquence d'ouverture

(malheureusement, les couleurs sont un peu faussées)
Annie Hall, Manhattan de Woody Allen (mais aussi Interiors, Stardust Memories, Broadway Danny Rose, La Rose Pourpre du Caire et Zelig)

Annie Hall — Séquence d'ouverture

Manhattan — Séquence d'ouverture

Interiors — Extrait

Stardust Memories — Séquence d'ouverture puis Séquence de fin

La Rose Pourpre du Caire — Cheek to Cheek puis La sortie de l'écran
Klute, À cause d'un assassinat (The Parallax View), Les Hommes du Président de Alan J. Pakula

À cause d'un assassinat — Bande-annonce

À cause d'un assassinat — Montage
La Chasse aux diplômes (The Paper Chase) de James Bridges

La Chasse aux diplômes - Extrait

Hugues

de **Hugues** le 19 Mai 2014, 14:40

Our job isn’t to recreate reality, our job is to represent reality.

— Gordon Willis

Manhattan

Le Parrain

À cause d'un assassinat

Le Parrain II

À cause d'un assassinat

Le Parrain II

Les Hommes du Président

Le Parrain

Manhattan

Le Parrain II

Manhattan

Le Parrain

À cause d'un assassinat

Manhattan

Hugues

de **denim** le 19 Mai 2014, 15:12

metomoll a écrit:Le chargeur de mon scooter électrique... grillé

équipe le au gaz...

de **Hugues** le 19 Mai 2014, 15:14

Avec Coppola

Avec Pakula

Avec Allen, sur Annie Hall

Avec Allen, sur Manhattan

Pacino et Brando en répétition en 1972, capturé à la photo par Willis

Hugues

de **Feyd** le 19 Mai 2014, 15:29

Hugues a écrit:Gordon Willis, 82 ans, chef opérateur

MEEEERDE

Et l'ingénieur en chef du son qui travaillait souvent avec lui qu'est-il devenu ???? ...:

de **Hugues** le 19 Mai 2014, 15:42

Question: et quand Ennio Morricone disparaitra, le plus tard possible, pourra-t-on l'évoquer ici?
Non, parce que, après tout c'est que de la musique de film... Je ne voudrais pas t'ennuyer, vois-tu..

Ta remarque est ou bien de mauvaise foi, ou bien miroir d'une méconnaissance des métiers du cinéma..
Où quelques métiers méritent autant de lumière que celui du réalisateur (et parfois plus quand le réalisateur est médiocre), parce qu'il y recèle aussi des géants...

Hugues

de **Feyd** le 19 Mai 2014, 16:38

Voyons qui ne connait pas Ennio Morricone ? :lol:

Méconnaissance personnelle du cinéma ? Tout à fait, je ne suis guère cinéphile. Mais ton approche un peu boboisante me fait sourire. Il y a un côté un peu snob à la Daniel Toscan Séplanté (ouch la référence désolé) qui ressort je trouve à nous inonder d'extraits de films, le matraquage que tu nous faisais à propos du film The Tree of Life... Après tu as tout à fait le droit de mépriser mon ignorance crasse. Je ne t'en voudrais pas.

Désolé d'être désagréable, c'est juste que j'exprime un sentiment.