Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:Dr Renard a écrit:von Rauffenstein a écrit:Il ne faut pas confondre "parents" avec "père et mère".
Même dans une famille recomposée, il n'y a pour un enfant qu'un père et une mère. Il y a une filiation, même pour un enfant adopté.
Là, on voudrait quand même nous imposer une théorie sociologique, celle du genre, pour faire disparaître les valeurs traditionnelles de "père" et de "mère". On s'attaque biien à la filiation de l'enfant et il n,e faudrait pas biaisier et accuser se sinterlocueurs "d'homophobes" parce qu'on est à bout d'arguments valables.
Il me semble donc que le débat va un peu plus loin que le droit pour des pédays ou des gouines de se passer un anneau à la mairie.
Mais j'essaie d'imaginer Oscar Wilde convolant en justes noces avec le Comte de Charlus légalisant leurs petits plaisirs interdits (surtout ce dernier) sous le sceau de la loi.
Et je lole quand même à fond.
Comme je l'ai dit, c'est le seul argument qui m'apparaît comme valable, mais je ne vois pas en quoi cela pose un réel problème. A mon avis les enfants sont tout à fait capables d'intégrer ce nouveau modèle, cette nouvelle notion de "parent", comme ils ont intégrés la notion de divorce, de famille recomposée, de beau-père ou belle-mère ... mais sur ce point précis, je veux bien admettre que j'ai peut-être tort.
Un enfant n'est pas une chose. Il vient de quelque part et il va quelque part. Balayer l'argument sous prétexte qu'un enfant admet pas mal de chose à partir du moment où il se construit dans l'univers qu'on lui impose ne suffit pas.
Par contre, oui d efait, on aurait pu proposer un statut de "beau-parent" à l'un des conjoints du couple homosexuel constitué avec enfants. cela me semble être la seule chose que l'on puisse faire. Mais on ne peut pas balayer le statut traditionnel de père ou de mère parce qu'on veut imposer un nouveau statut de parent, universel, sous prétexte des lubies de quelques personnes en mal de statut et de reconnaissance qui n'ont que de sthèses à proposer et qui veulent els érger en vérités imprescriptibles. C'est du délire. Au sens propre du terme.
Finalement le problème c'est peut-être tout simplement la notion d'adoption telle qu'elle s'est fixée dans les pays chrétiens. Dans l'islam la règle de l'"adoption" est complètement différente mais elle fonctionne tout aussi bien, de l'aveu même des spécialistes du placement des enfants (ma compagne travaille sur le sujet depuis les années 80). Dans l'islam on est toujours le fils de son père et de sa mère. Les parents adoptants ("kafala") n'ayant qu'une délégation de paternité et l'enfant ne porte pas leur nom. J'ai un copain (marié sans enfants "naturels") qui a adopté un gamin dont les parents ont disparu dans le tourbillon de la guerre islamiste. Bon il y a des problèmes imprévus. Mon pote est Algérien mais Français de souche et il a redemandé un passeport français depuis les "problèmes", mais du coup si lui peut venir en France sans visa, son fils en a besoin, car pour l'Etat français il n'est pas vraiment son fils !
Ça me semble très juste comme façon de fonctionner, sans rompre un lignage. D'un autre côté, tu comprends par extension pourquoi l'Occident est prédateur, par nature et par destination.
Même que c'est nos pédays et nos gouines qui sont devenus, symboliquement, nos panzerkeils ! Ils veulent prendre.











