Tarod a écrit:Oui, mais avec sûrement plus de 2 candidats... ce qu'ils auraient du faire dès le départ.
...et là ça va chier !
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Tarod a écrit:Oui, mais avec sûrement plus de 2 candidats... ce qu'ils auraient du faire dès le départ.




sheon a écrit:Et dire qu'il y en avait pour critiquer le vote à 1€ pour les primaires PS... Ils ont ouvert la boîte de Pandore, en fait.

DCP a écrit:sheon a écrit:Et dire qu'il y en avait pour critiquer le vote à 1€ pour les primaires PS... Ils ont ouvert la boîte de Pandore, en fait.
On pourrait dire qu'un vote UMP vaut donc trois fois plus qu'un vote socialiste, non ?


sheon a écrit:Et dire qu'il y en avait pour critiquer le vote à 1€ pour les primaires PS... Ils ont ouvert la boîte de Pandore, en fait.

Nicklaus en décembre a écrit:http://www.lexpress.fr/actualite/politique/presidentielle-2012-les-comptes-de-campagne-de-sarkozy-rejetes_1201855.html
Si le rejet des comptes de Nicolas Sarkozy est confirmé, son parti, l'UMP, se verra privé des quelque 11 millions d'euros d'aide publique. Et Nicolas Sarkozy rejoindra... Jacques Cheminade, seul autre candidat à l'élection présidentielle dont le compte fut invalidé. C'était en 1995.
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Francetv.info a écrit:Les comptes de la campagne de Sarkozy rejetés par le Conseil constitutionnel
Cette décision devrait priver l'UMP de quelque dix millions d'euros de frais de campagne.
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 04/07/2013 | 17:15 , publié le 04/07/2013 | 16:06
Coup dur financier pour Nicolas Sarkozy et l'UMP. Le Conseil constitutionnel a confirmé, jeudi 4 juillet, le rejet du compte de la campagne présidentielle 2012 de Nicolas Sarkozy, une décision qui prive l'ex-candidat UMP du remboursement par l'Etat de quelque dix millions d'euros de frais de campagne.
Dans un communiqué, le Conseil constitutionnel juge que "c'est à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a rejeté le compte de campagne de M. Sarkozy" le 19 décembre 2012. Les sages de la rue de Montpensier font valoir que le montant des dépenses électorales du candidat UMP "excéd(ait) de 466 118 euros, soit 2,1%, le plafond autorisé".
Les comptes de l'UMP déjà dans le rouge
En décembre, la Commission nationale des comptes de campagne avait jugé que des dépenses liées à certains déplacements présidentiels devaient être imputées au candidat. Parmi les autres points litigieux figurait la prise en charge par l'UMP de 50% des quelque 3 millions d'euros d'un grand meeting du candidat, le 11 mars 2012, à Villepinte, où s'était également tenu le même jour un conseil national du parti.
Cette décision du Conseil constitutionnel ne va pas améliorer les comptes de l'UMP, déjà dans le rouge depuis plusieurs mois. Endetté à plus de trente millions d'euros, "le parti se trouve aujourd'hui dans une situation financière très difficile", expliquait en effet sa trésorière, Catherine Vautrin, interrogée début mai par Le Monde. En raison de sa défaite aux dernières élections législatives, l'UMP touchera environ vingt millions d'euros de subventions en 2013, contre environ trente millions en 2012. Et devra donc se priver d'un peu plus de dix millions d'euros au titre du rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
Ailleurs Hugues a écrit:Nicolas Sarkozy n'apprécie pas la contradiction, et ignore visiblement qu'un jugement ne relève pas de l'appréciation qu'on lui porte, mais uniquement du droit ...
Il annonce en effet qu'il démissionne "immédiatement".
Une décision emprunte d'un grand flegmatisme, n'est-ce pas
"Après la décision du Conseil constitutionnel et devant la gravité de la situation et les conséquences qui en résultent pour l'opposition et pour la démocratie, Nicolas Sarkozy démissionne immédiatement du Conseil constitutionnel afin de retrouver sa liberté de parole", indique le communiqué.
Hugues




Sylex a écrit:J'ai bien envie d'envoyer une contribution. Genre un billet d'1$ factice.

Nicklaus a écrit:S'ils acceptent le liquide, je veux bien leur envoyer un peu de pisse.
Hugues a écrit:Qu'un ancien Président renie lui même les institutions en étant capable d'associer dans la même phrase "Conseil Constitutionnel" et "danger pour la démocratie", au lieu d'accepter et de se soumettre à la décision de la plus haute juridiction de la République (les mêmes règles et les mêmes jugements s'appliquent à tous) est extrêmement grave: il sape lui même les institutions, qu'il était censé garder sous son ancien mandat. Comment demander aux citoyens de les reconnaître et les respecter, si même l'ancien plus illustre personnage de la République, et son gardien, les piétine ainsi.
Il ne s'est jamais rendu compte visiblement tant pendant qu'avant ou après son mandat, de la portée symbolique de la fonction.
Hugues
Ce qui peut paraître j'en conviens une considération d'un autre temps, qu'estimer que les institutions ont un sens, et que les actes des personnes qui les incarnent doivent être en conformité avec celles-ci, sous peine qu'elles meurent..
C'est il est vrai, bien plus important, la politique politicienne..
François Hollande somme Nicolas Sarkozy de respecter le Conseil constitutionnel
ACTUALITE Politique
Par lefigaro.fr
Mis à jour le 05/07/2013 à 22:01
Publié le 05/07/2013 à 20:09
VIDÉO - Depuis Tunis, le chef de l'État a répondu aux sarkozystes, qui voient dans l'invalidation du compte de campagne de l'ancien président une «décision politique».
L'exécutif n'a pas apprécié la remise en question de l'impartialité des Sages et le fait savoir. Depuis Tunis, François Hollande a répondu aux proches de Nicolas Sarkozy, qui ont qualifié l'invalidation du compte de campagne de l'ancien président par le Conseil constitutionnel de «décision politique». «Le Conseil constitutionnel doit être respecté, pleinement respecté, entièrement respecté et personne ne peut suspecter, mettre en cause cette institution sans mettre en cause l'ensemble des institutions», a déclaré François Hollande. Ses décisions, a-t-il encore souligné, «s'imposent à tous».
«Je n'ai pas à commenter et encore moins ici en Tunisie les comportements, les déclarations des acteurs ou des responsables politiques», a cependant observé François Hollande. «En revanche, je suis garant des institutions, c'est la fonction qui m'a été donnée par les Français le 6 mai dernier», a-t-il insisté, rappelant que «le Conseil constitutionnel est une institution de la République qui, par son indépendance, règle des questions qui sont de sa seule autorité».
«L'attitude de Nicolas Sarkozy est inacceptable»
Un peu plus tôt dans l'après-midi, Christiane Taubira s'est dite «surprise par la mise en cause du Conseil constitutionnel et les accusations de partialité de l'ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, garant pendant son mandat de l'indépendance de la justice et de respect de la Constitution». «La contestation de ces décisions contribue à l'affaissement de l'État de droit», a assuré la garde des Sceaux dans un communiqué. «Aussi désagréable que soit une décision, son acceptation fait appel à l'esprit civique et au sens de la responsabilité et réclame un effort de dignité au nom de l'intérêt général», a-t-elle encore jugé.
Harlem Désir, premier secrétaire du Parti socialiste, a pour sa part estimé que «l'attitude de Nicolas Sarkozy était inacceptable» et que lui comme la droite devaient «respecter le Conseil constitutionnel».
Dans un message publié vendredi sur son compte Facebook, Nicolas Sarkozy affirme que la décision du Conseil constitutionnel, disproportionnée à ses yeux, crée «une situation inédite sous la Ve République». Une ligne qui ne fait pas l'unanimité au sein du parti, certains, comme Alain Juppé, ayant appelé l'UMP à respecter le verdict des Sages. Ce qui ne devrait pas empêcher l'ex-président de défendre sa position lundi soir, lors du bureau politique extraordinaire de l'UMP, auquel il aurait prévu de participer.


Ponpondu a écrit:Quels sales hypocrites, ces socialistes ! Demander à leur victime de se comporter dignement...
Et le Normal Moi-Je Ier qui somme Sarko de... il exige quoi, çui-là ?!? Il a encore trouvé une occasion d'essayer de passer pour un gros dur... mais, s'il pratique la boxe, voudrait-il bien me faire l'honneur de monter avec moi sur un ring ? Histoire qu'on voie un peu ce qu'est un dur... Allez, Normal, va défier Obama ou Merkel, qu'ils t'allongent ! Va défier Cameron alors que les médias britanniques t'ont surnommé "The dwarf" ! Et tes copains auteurs de divers délits, qu'ils dégagent ! Harlem, toi aussi, si tu as un jour envie de me boxer, j'accepterai ton invitation...
Quant à Juppé, c'est un gros nul depuis longtemps, et son amour du carnaval de Venise ne m'évoque que celui des masques ! Il est trop occupé à jouer au sage en pensant à 2017... Pour moi, c'est tout sauf celui-là, je voterais encore Schivardi plutôt que Juppé ! Qu'il dégage ce condamné qui parle de respect des institutions, qu'il se taise !
Chuis pas sarkoziste, l'ai bien critiqué, mais ça commence à bien faire avec les conneries !
Quand on pense que les députés de gauche ont récemment voté un texte de loi visant à interdire à Sarko de travailler (pas nommément, mais en tant que membre de droit du Conseil constitutionnel), on a compris l'obsession antisarko de cette clique !
Shoemaker a écrit:Enfin bref, toutes ces histoires de ring, pour nous dire que tu vas voter Sarko la prochaine fois.![]()
Et quand tu vas passer chez Marine, ça sera des histoires de quoi ?



denim a écrit:les socialistes allemands ne sont pas de vrais "socialistes"...ce sont des traitres à leur nation...aussi.

Hugues a écrit:Qu'un ancien Président renie lui même les institutions en étant capable d'associer dans la même phrase "Conseil Constitutionnel" et "danger pour la démocratie", au lieu d'accepter et de se soumettre à la décision de la plus haute juridiction de la République (les mêmes règles et les mêmes jugements s'appliquent à tous) est extrêmement grave: il sape lui même les institutions, qu'il était censé garder sous son ancien mandat. Comment demander aux citoyens de les reconnaître et les respecter, si même l'ancien plus illustre personnage de la République, et son gardien, les piétine ainsi.
Il ne s'est jamais rendu compte visiblement tant pendant qu'avant ou après son mandat, de la portée symbolique de la fonction.
Hugues


Ponpondu a écrit:Hollande et le cabinet noir chargé de faire la chasse au Sarko, de façon illégale même : http://www.valeursactuelles.com/sarkozy ... 30703.html
J'espère que NS va réussir à cristalliser autour de lui tout le mécontentement... A défaut de coup d'Etat, il devient urgent que Moi-Je soit bouté hors de l'Elysée le plus tôt possible. Même les socialistes allemands disent que sa politique nous envoie dans le mur... Il a fait quoi en un an, à part tenir sa soi-disant importante promesse à la con de "révolution culturelle" sans référendum ? Je détestais Sarko et ne l'apprécie toujours pas, mais quand on voit Moi-Je-Somme, on a tout compris. Ségo, j'en pense ce que j'en pense, mais j'aurais préféré la voir à l'Elysée que ce type-là !

sccc a écrit:Hugues a écrit:Qu'un ancien Président renie lui même les institutions en étant capable d'associer dans la même phrase "Conseil Constitutionnel" et "danger pour la démocratie", au lieu d'accepter et de se soumettre à la décision de la plus haute juridiction de la République (les mêmes règles et les mêmes jugements s'appliquent à tous) est extrêmement grave: il sape lui même les institutions, qu'il était censé garder sous son ancien mandat. Comment demander aux citoyens de les reconnaître et les respecter, si même l'ancien plus illustre personnage de la République, et son gardien, les piétine ainsi.
Il ne s'est jamais rendu compte visiblement tant pendant qu'avant ou après son mandat, de la portée symbolique de la fonction.
Hugues
Sarlusconi.
il a toujours eu un je ne sais quoi en commun avec le Clown italien. Il le montre ici avec la conspiration contre lui des institutions françaises, dès qu'il est mis en cause par ces dernières.

sccc a écrit:Ponpondu a écrit:Hollande et le cabinet noir chargé de faire la chasse au Sarko, de façon illégale même : http://www.valeursactuelles.com/sarkozy ... 30703.html
J'espère que NS va réussir à cristalliser autour de lui tout le mécontentement... A défaut de coup d'Etat, il devient urgent que Moi-Je soit bouté hors de l'Elysée le plus tôt possible. Même les socialistes allemands disent que sa politique nous envoie dans le mur... Il a fait quoi en un an, à part tenir sa soi-disant importante promesse à la con de "révolution culturelle" sans référendum ? Je détestais Sarko et ne l'apprécie toujours pas, mais quand on voit Moi-Je-Somme, on a tout compris. Ségo, j'en pense ce que j'en pense, mais j'aurais préféré la voir à l'Elysée que ce type-là !
Pauvre Sarko, tout le monde lui en veut. Il devrait aller pleurer ches Berlusconi, lui qui vient de se voir signifier en première instance son inéligibilité à vie.



Capet a écrit:Le meilleur moyen pour le gouvernement d'imposer sa marque c'est une fois pour toutes d'arrêter de se focaliser sur Sarko et sur "l'héritage". Là au lieu de l'affaiblir ils le renforcent, y'a qu'à voir toutes les études qui le mettent toujours plus haut !
L'ignorance serait la meilleure façon de faire à mon avis. Mais je suis pas dans la tête des membres du gouvernement qui n'ont que Sarko en point de mire apparemment, tout ce qu'ils font c'est par rapport à des actions passées ou des intentions de Sarko. Pas beaucoup de personnalité...

Ponpondu a écrit:sccc a écrit:Ponpondu a écrit:Hollande et le cabinet noir chargé de faire la chasse au Sarko, de façon illégale même : http://www.valeursactuelles.com/sarkozy ... 30703.html
J'espère que NS va réussir à cristalliser autour de lui tout le mécontentement... A défaut de coup d'Etat, il devient urgent que Moi-Je soit bouté hors de l'Elysée le plus tôt possible. Même les socialistes allemands disent que sa politique nous envoie dans le mur... Il a fait quoi en un an, à part tenir sa soi-disant importante promesse à la con de "révolution culturelle" sans référendum ? Je détestais Sarko et ne l'apprécie toujours pas, mais quand on voit Moi-Je-Somme, on a tout compris. Ségo, j'en pense ce que j'en pense, mais j'aurais préféré la voir à l'Elysée que ce type-là !
Pauvre Sarko, tout le monde lui en veut. Il devrait aller pleurer ches Berlusconi, lui qui vient de se voir signifier en première instance son inéligibilité à vie.
Il y a des preuves de la malveillance de Hollande. Les tourner en dérision ne les annule pas.

sccc a écrit:Capet a écrit:Le meilleur moyen pour le gouvernement d'imposer sa marque c'est une fois pour toutes d'arrêter de se focaliser sur Sarko et sur "l'héritage". Là au lieu de l'affaiblir ils le renforcent, y'a qu'à voir toutes les études qui le mettent toujours plus haut !
L'ignorance serait la meilleure façon de faire à mon avis. Mais je suis pas dans la tête des membres du gouvernement qui n'ont que Sarko en point de mire apparemment, tout ce qu'ils font c'est par rapport à des actions passées ou des intentions de Sarko. Pas beaucoup de personnalité...
Quand un gouvernement n'a rien à proposer, il ne lui reste qu'à s'en prendre à ses opposants pour donner le change. C'est devenu la norme. Il faut un ennemi à abattre, par tous les moyens.

DCP a écrit:Franchement, Sarkozy au pouvoir, c'était pas brillant, mais Hollande semble bien parti pour faire pire...

DCP a écrit:Franchement, Sarkozy au pouvoir, c'était pas brillant, mais Hollande semble bien parti pour faire pire...
Capet a écrit:Moi je serais homme politique, sur des interviews je dirais que je ne parle pas des programmes des autres pour ne me consacrer qu'à ce que je propose. Après si on a pas vraiment d'idées neuves ou de projet à long terme voire de vision politique (rêvons un peu), je comprends que ce soit super simple de s'en prendre aux autres...

Tarod a écrit:DCP a écrit:Franchement, Sarkozy au pouvoir, c'était pas brillant, mais Hollande semble bien parti pour faire pire...
Compte tenu du système actuel et de la conjoncture n'importe qui aurait fait pire, même Sarkozy lui même. Comme je disais il y a quelques jours avant lors des élections on choisissait le moins mauvais, maintenant on choisira le moins pire
Capet a écrit:Moi je serais homme politique, sur des interviews je dirais que je ne parle pas des programmes des autres pour ne me consacrer qu'à ce que je propose. Après si on a pas vraiment d'idées neuves ou de projet à long terme voire de vision politique (rêvons un peu), je comprends que ce soit super simple de s'en prendre aux autres...
Avec notre système politique c'est pas ma défense de ses idées et de son projet qui permet de l'emporter principalement, malheureusement ça ne joue qu'un rôle mineur...
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