silverwitch a écrit:C'est un énoncé trompeur, puisqu'il conduit ton interlocuteur vers une seule solution, subie ou acceptée.
A partir du moment où le recours à la PMA échappe à tout contrôle - sauf à déployer des moyens de police et de contrôle démesurés - , à partir du moment où l'interdit est inopérant, il ne nous reste effectivement qu'à subir ou à accepter.
Pour ma part, je suis plutôt favorable à l'interdiction de la PMA qui a le mérite de la clarté et de la non-prescription, un peu comme l'inceste est un interdit mais n'est pas pénalement répréhensible pénalement en dehors des agressions sexuelles et du détournement de mineur.
Mais en interdisant cette pratique, on se prive aussi de la possibilité de définir un cadre et on s'en remet, sur le plan bioéthique, à la sagesse ou non de nos voisins.








