denim a écrit:mon rêve…qu'un avion s'écrase sur le parlement européen à Bruxelles et qu'il n'y ait aucun survivant(au parlement).
Joli.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
denim a écrit:mon rêve…qu'un avion s'écrase sur le parlement européen à Bruxelles et qu'il n'y ait aucun survivant(au parlement).
denim a écrit:mon rêve…qu'un avion s'écrase sur le parlement européen à Bruxelles et qu'il n'y ait aucun survivant(au parlement).




Alfa a écrit:Franchement je vois pas ce qu'il y a de trop bien avec une vierge, qui plus est avec 1000, t'as déja niqué une vierge toi ?

Ghinzani a écrit:Alfa a écrit:Franchement je vois pas ce qu'il y a de trop bien avec une vierge, qui plus est avec 1000, t'as déja niqué une vierge toi ?
oui et toi?


Alfa a écrit:Ghinzani a écrit:Alfa a écrit:Franchement je vois pas ce qu'il y a de trop bien avec une vierge, qui plus est avec 1000, t'as déja niqué une vierge toi ?
oui et toi?
Oui et t'as aimé toi ?
Cortese a écrit:Alfa a écrit:Ghinzani a écrit:Alfa a écrit:Franchement je vois pas ce qu'il y a de trop bien avec une vierge, qui plus est avec 1000, t'as déja niqué une vierge toi ?
oui et toi?
Oui et t'as aimé toi ?
Les Vestales ça devrait te dire quelque chose pourtant, non ?




Des harragas ("ceux qui brulent" - leurs papiers d'identité, les frontières... NB) espagnols appréhendés à Oran
Qui l’eût cru ?
Par : REGUIEG-ISSAAD. K.
L’information est de taille et ne passe pas inaperçue puisqu’il s’agit de harragas… espagnols qui ont été récemment appréhendés par les gardes-côtes algériens de la façade maritime ouest.
La crise économique mondiale qui frappe de plein fouet l’Espagne et certains pays européens a donné des idées à un groupe de quatre jeunes espagnols de chercher du travail sur les terres africaines. Et quoi de plus naturel que de tenter la traversée de la mer à contresens par ces mêmes jeunes qui n’ont pas réussi à obtenir le visa algérien.
C’est sur une embarcation que les harragas espagnols ont été interceptés, alors qu’ils tentaient de fouler le sol algérien. Ces jeunes ont été attirés par les débouchés de travail compte tenu de la présence à Oran de nombreuses sociétés espagnoles. Notre source affirme que les jeunes Espagnols, qui avaient perdu leur travail dans leurs sociétés en faillite, avaient introduit une demande (infructueuse) de visa d’entrée en Algérie.
Ils caressaient l’espoir de dégoter du travail au sein des entreprises espagnoles installées en Algérie, particulièrement à Oran, ajoute-t-on de même source. Cette dernière précise que les jeunes Espagnols appréhendés seront renvoyés dans leur pays d’origine.

L'économie allemande a besoin de 200 000 immigrés de plus par an
L'Allemagne a besoin d'environ deux cent mille immigrés de plus par an pour compenser son déclin démographique et soutenir sa croissance, estime la Bundesbank, la banque centrale allemande, dans son rapport mensuel, publié lundi 23 avril.
Cet apport régulier de main-d'œuvre étrangère devrait être associé à des réformes visant à prolonger la durée de la vie active et à faciliter la vie professionnelle des personnes avec enfant à charge, ajoute la Bundesbank.
L'Allemagne a déjà prévu de retarder l'âge du départ à la retraite à 67 ans et s'efforce d'attirer de plus en plus d'immigrés, notamment des travailleurs qualifiés, comme des ingénieurs, des informaticiens ou des infirmiers.
10,6 MILLIONS D'IMMIGRÉS
En 2011, le pays a accueilli 177 300 immigrés, majoritairement en provenance d'Europe centrale et orientale, une hausse de 2,6 % par rapport à 2010, la plus importante depuis quinze ans. Le pays compte plus de 10,6 millions d'immigrés, sur une population totale de 81,7 millions en 2010, selon l'institut fédéral des statistiques, Destatis.
Avec un taux de fécondité parmi les plus bas du monde et un âge moyen parmi les plus élevés, la démographie fait figure de bombe à retardement pour l'Allemagne, pesant sur son potentiel de croissance et sur les finances publiques : les prévisions démographiques voient la proportion de personnes âgées de 65 ans et plus passer de 20 % actuellement à 34 % en 2060.
Pour compenser le déclin démographique, non seulement, mais aussi pour soutenir la croissance de la production économique, des gains de productivité, des investissements maintenus à un haut niveau et un fort degré d'innovation et de progrès technique seront également nécessaires, ajoute la Bundesbank.



Marc Touati : « La fin de l'euro, un débat interdit»
Dans son dernier livre, l'économiste, d'ordinaire très demandé par les médias pour son franc parler, s'inquiète du soudain black out qui lui a été imposé.
Pour lui, l'évocation même de l'explosion de l'euro est un sujet tabou.




"Le verdict du peuple (...) exclut un gouvernement qui applique le mémorandum [la feuille de route d'austérité dictée à Athènes par ses bailleurs de fonds] et l'accord de prêt"
"ils n'ont qu'à envoyer des lettres" à l'Union européenne et au FMI "pour annuler les engagements" d'ajustement pris par le pays
Fatcap a écrit:Okay, c'est un petit con de gauche,
Alfa a écrit:Ghinzani a écrit:Alfa a écrit:Franchement je vois pas ce qu'il y a de trop bien avec une vierge, qui plus est avec 1000, t'as déja niqué une vierge toi ?
oui et toi?
Oui et t'as aimé toi ?


Ghinzani a écrit:Alfa a écrit:Ghinzani a écrit:Alfa a écrit:Franchement je vois pas ce qu'il y a de trop bien avec une vierge, qui plus est avec 1000, t'as déja niqué une vierge toi ?
oui et toi?
Oui et t'as aimé toi ?
C'est une expérience...


Cortese a écrit:Depuis que Panzer est parti en n'entendait plus le refrain xénophobe "c'est la faute aux Boches", heureusement que Rainier reprend le flambeau de la guerre à la bratwurst.
Rainier a écrit:Cortese a écrit:Depuis que Panzer est parti en n'entendait plus le refrain xénophobe "c'est la faute aux Boches", heureusement que Rainier reprend le flambeau de la guerre à la bratwurst.
Euh, j'ai juste fait un copier coller après avoir lu un article qui me semblait intéressant.
Mais je te laisse le droit de penser que les Grecs, Italiens et Espagnols (et bientôt Français) sont des gros fainéants qui n'ont que ce qu'ils méritent.


Cortese a écrit:Faut avoir les moyens de ne pas acheter allemand !


Cortese a écrit:Rainier a écrit:Cortese a écrit:Depuis que Panzer est parti en n'entendait plus le refrain xénophobe "c'est la faute aux Boches", heureusement que Rainier reprend le flambeau de la guerre à la bratwurst.
Euh, j'ai juste fait un copier coller après avoir lu un article qui me semblait intéressant.
Mais je te laisse le droit de penser que les Grecs, Italiens et Espagnols (et bientôt Français) sont des gros fainéants qui n'ont que ce qu'ils méritent.
Ce qui ne m'est même pas venu à l'esprit.
Je dis qu'on ne peut pas en vouloir aux Allemands de vouloir défendre le DM (aka Euro) bec et ongles, vu que c'est la seule chose qu'on leur a laissé et que c'est devenu le symbole de la renaissance de leur nation. Donne leur tes bombes atomiques, ton porte avion, expulse les bases américaines et je suis sur qu'ils seront plus conciliants.
Rainier a écrit:Cortese a écrit:Rainier a écrit:Cortese a écrit:Depuis que Panzer est parti en n'entendait plus le refrain xénophobe "c'est la faute aux Boches", heureusement que Rainier reprend le flambeau de la guerre à la bratwurst.
Euh, j'ai juste fait un copier coller après avoir lu un article qui me semblait intéressant.
Mais je te laisse le droit de penser que les Grecs, Italiens et Espagnols (et bientôt Français) sont des gros fainéants qui n'ont que ce qu'ils méritent.
Ce qui ne m'est même pas venu à l'esprit.
Je dis qu'on ne peut pas en vouloir aux Allemands de vouloir défendre le DM (aka Euro) bec et ongles, vu que c'est la seule chose qu'on leur a laissé et que c'est devenu le symbole de la renaissance de leur nation. Donne leur tes bombes atomiques, ton porte avion, expulse les bases américaines et je suis sur qu'ils seront plus conciliants.
![]()
![]()
Je croyais que ta religion interdisait l'abus d'alcool.
Rainier a écrit:Un petit résumé sur la crise actuelle ...et à venir, que j'ai trouvé intéressant :
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Analyse sur la crise à venir
Posté par Charles Gave ⋅ mai 9, 2012
Au XIX siècle, les cycles économiques se passaient toujours en quatre étapes.
· D’abord venait la période d’expansion, engendrée par un phénomène tout simple : la rentabilité du capital investi était supérieure au cout du capital et donc tout le monde investissait. L’expansion était très forte, tirée par un fort accroissement du crédit bancaire. Ces périodes d’expansion duraient en général cinq à sept ans, comme dans la Bible (les vaches grasses)
· Tous ces investissements déclenchaient ,avec le passage du temps, une baisse de la rentabilité marginale du capital , ce qui est inévitable. Un jour les marchés se rendaient compte que la rentabilité était en train de passer en dessous du coût du capital. A ce moment là, se déclenchait la phase dite de « panique » ou le prix des actifs s’écroulait à toute allure. Pour faire simple, les prix des actions et de l’immobilier tombaient en chute libre. Comme beaucoup de gens avaient emprunté pour acheter des actions, des machines ou de l’immobilier, des appels sur marge avaient lieu, ce qui entretenait la baisse qui s’accélérait. Bien des banques faisaient faillite, ce qui réduisait la masse monétaire et déclenchait des phénomènes déflationnistes qui rendaient l’ajustement encore plus difficile … En général, ces baisses duraient neuf à 12 mois et l’on perdait facilement la moitié de son argent…
· Quand tous les gens en position spéculatives avaient été soigneusement essorés, comme plus personne ne voulait emprunter, les taux d’intérêt courts s’écroulaient et une forte hausse se produisait dans les marchés financiers, sur l’idée que le pire était passé. Cette hausse durait en général entre neuf et dix huit mois et était suivie par le vrai désastre que les spécialistes de l’époque appelaient « la dépression secondaire » qui elle pouvait durer entre trois et cinq ans. A l’origine de cette dépression secondaire, une réalité toute simple. Le cout du capital était certes très bas, mais la rentabilité du capital était souvent devenue négative compte tenu des surcapacités créées pendant la période d’expansion, chacun produisant à perte en espérant tenir plus longtemps que les concurrents, ce qui prenait pas mal de temps comme chacun peut s’en douter.
Ce cycle, « 1 euphorie, 2 panique, 3 soulagement, 4 dépression » a marqué l’histoire économique durant tous les débuts du capitalisme, le cycle dans son ensemble prenant entre 10 et 12 ans pour se dérouler.
Cette mécanique infernale, résultat tout à fait logique de l’étalon or, fut cassée après la deuxième guerre mondiale par l’arrivée du « Dollar exchange standard » (Bretton Woods), puis ensuite par l’acceptation par tout un chacun des taux de changes flottants.
En cas de crise, les USA qui disposaient et disposent toujours de la monnaie de réserve étaient toujours d’accord pour imprimer de l’argent et vivre au dessus de leurs moyens et qui plus est, ceux qui avaient exagéré pouvaient toujours dévaluer (en cas de change fixe avec le dollar, France Aout 1971) ou laisser leurs monnaies se casser la figure (Asie 1998) pour rétablir leurs équilibres.Le prix à payer (Il n’y a pas de repas gratuit, disait Milton Friedman) fut un accroissement du rôle de l’Etat et une dérive inflationniste, variable mais toujours présente de 1946 à nos jours.
Ce que je veux décrire aujourd’hui ce ne sont pas les vicissitudes du système des paiements internationaux depuis 50 ans, mais comment les génies qui ont présidé à la création de l’Euro nous ont reconstruit un système similaire à celui de l’étalon or et comment cette ânerie gigantesque dont les peuples d’Europe payent tous les jours le prix nous a ramené les « dépressions secondaires » qui avaient disparu de l’histoire économique depuis un peu moins d’un siècle.
L’Euro, de fait n’est rien d’autre qu’un « DM exchange standard », le rôle de l’Allemagne étant pour la zone Euro celui qu’avait le Dollar dans le vieux système de Bretton Woods .Une légère différence saute cependant aux yeux : Les USA acceptaient et acceptent toujours d’avoir des déficits de leurs comptes courants et donc fournissent de la liquidité au monde. Vivre au dessus de leurs moyens n’a jamais vraiment jamais gêné nos cousins d’Outre Atlantique
L’Allemagne en revanche, est un pays profondément mercantiliste dont l’économie est gérée pour engendrer sans fin des excédents extérieurs. Si les autres pays ont un déficit, eh bien c’est de leur faute, ils n’ont qu’à faire comme les Allemands, avoir un excédent extérieur. Chacun se rend bien compte que tout le monde ne peut pas avoir des excédents en même temps, mais voila qui ne vient pas à l’esprit de Madame Merkel.Une autre solution serait que l’Allemagne continue à prêter de l’argent aux autres peuples pour qu’ils continuent à acheter des produits teutons, chacun se spécialisant dans ce qu’il fait le mieux, les citoyens du sud consommant au soleil tandis que les allemands travaillent dans les brumes.
Pour des raisons de pur égoïsme, les allemands ne veulent pas en entendre parler.
Ne reste donc pour les autres pays qu’à contracter leur demande interne et à se payer récession sur récession, ce qui nous ramène à notre sujet de la dépression secondaire qui commence à frapper l’Europe
Prenons l’Espagne par exemple et analysons ce qui s’y est passe dans le domaine économique depuis un peu plus de 10 ans
1. Les taux très bas (conséquence de l’euro) créent un boom immobilier qui dure de 2002 à 2008 (nos 7 ans de vaches grasses).
2. La phase de panique se déclenche en 2008 après la faillite de Lehmann brothers et dure à peu prés 9 mois. Le marché des actions baisse de plus de 50 % sur ses plus hauts.
3. Les banques centrales écroulent les taux courts. Avec l’effondrement des taux courts, nous avons un solide rebond sur le marché des actions qui remonte de 66% (ce qui le laisse quand même beaucoup plus bas qu’en 2007…merveille de l’arithmétique !)
4. Mais horreur, les prix de l’immobilier continuent de baisser tant la construction passée a été excessive. Le pays rentre à l’évidence dans une «dépression secondaire», déjà fort visible en Grèce, ou au Portugal
Dans le passé, la peseta aurait dévaluée et les Allemands se seraient précipités pour acheter la partie des Baléares qu’ils ne possèdent pas encore, mais cette voie de sortie est bloquée par l’Euro. Comme le cout du travail est trop élevé, les exportations ne se développent guère et les investissements venant de l’extérieur se tarissent. Le déficit budgétaire explose.
Comme la faillite guette, plus personne ne veut prêter à nos voisins d’outre Pyrénées (et surtout pas l’Allemagne) et donc, compte tenu de la taille des déficits à financer, qui de plus s’aggravent, les taux Espagnols montent, en pleine dépression, plongeant le pays dans une trappe à dettes qui ne peut avoir d’autre sortie que la faillite.
L’Espagne en pleine dépression secondaire a donc perdu tous les moyens de s’ajuster. L’Espagne qui en est déjà à 25 % de chômeurs et 51 % de sans travails chez les moins de 25 ans va donc continuer à s’enfoncer, comme la Grèce, comme l’Italie et comme bientôt la France.
Voila qui est inévitable et qui n’est que la conséquence logique de l’Euro.
Un mot d’espoir pour finir : les dépressions secondaires sont souvent marquées par des révolutions ou des émeutes qui sont rarement favorables à la paix civile ou au remboursement de la dette mais qui permettent de virer les incompétents qui sont a l’origine de la situation et donc de redresser la situation A quel moment va-t-il y avoir –enfin- une révolte contre la tyrannie Eurocratique, bien malin qui pourrait le dire. Par contre, il est tout a fait certain que la révolte des Peuples Européens contre cette soi disant élite que personne n’a jamais élu et qui nous impose un projet dont personne ne veut plus, n’est plus très loin.
Les élections Françaises et Grecques en sont un signe annonciateur..
Reste donc à attendre l’arme au pied (c’est-à-dire avec son argent en dehors d’Europe), que les Peuples du vieux continent reprennent le contrôle de leurs destinées, pour le meilleur ou pour le pire et que ce faisant ils enlèvent le Pouvoir aux technocrates incompétents pour le redonner aux citoyens
Voila qui ne saurait tarder. Le plus tôt sera le mieux.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Ces faux maoïstes néerlandais qui ont mystifié Pékin
Bruxelles - Créé dans les années 1970, le Parti communiste marxiste-léniniste néerlandais (MLPN) a, durant dix ans, suivi la "juste ligne", publié un journal (De Kommunist) et distribué à la sortie des usines des tracts appelant à la révolution prolétarienne. Il a, pour soutenir son activité, reçu de l'argent, souvent des dollars venus d'Albanie. Problème : le MLPN, même s'il a compté des membres qui se réunissaient par cellules de quatre, n'a jamais existé. Il était une création des services de la sûreté intérieure néerlandaise (BVD), travaillant en étroite collaboration avec l'antenne de la CIA à La Haye.
C'est Frits Hoekstra, un ancien cadre du BVD, responsable autrefois de la section "communisme", qui a révélé l'affaire dans un livre qui fait sensation. Il n'a pas reçu d'autorisation officielle pour publier ses Mémoires, mais il pense que ces derniers contribueront à améliorer l'image d'une institution qui fut, selon lui, trop souvent dénigrée.
Frits Hoekstra raconte comment Peter Boevé, alias Chris Petersen, secrétaire général du MLPN, a trompé jusqu'aux plus hauts dirigeants chinois. Considéré comme un révolutionnaire irréprochable, seul interlocuteur maoïste néerlandais reconnu, cet ancien enseignant à la barbe noire a été photographié avec tous les responsables qui comptaient à Pékin. Il rentrait généralement par Copenghague, sans que l'on sache si c'était pour y prendre du bon temps ou pour y rencontrer... un agent russe
Trois autres membres des services de Sa Majesté néerlandaise ont été mobilisés pendant dix ans, à plein temps, pour faire vivre le parti dans le cadre du projet baptisé "Mongol ". Ils avaient pour mission, non seulement d'infiltrer les courants d'extrême gauche, mais aussi de déstabiliser le Parti communiste néerlandais "officiel", une formation relativement puissante qui avait choisi la voie politique parlementaire et refusait de trancher entre Moscou et Pékin. Un officier de la CIA avait été spécialement délégué à La Haye pour superviser l'opération.
Combien les "faux maos" ont-ils reçu d'argent ? Hoekstra refuse de le dire précisément, mais ne nie pas que le BVD en a récupéré une bonne partie. On ignore aussi si La Haye a, depuis la sortie du livre, présenté de discrètes excuses à la Chine...
Jean-Pierre Stroobants/LE MONDE
Cortese a écrit:Rainier a écrit:Cortese a écrit:Rainier a écrit:Cortese a écrit:Depuis que Panzer est parti en n'entendait plus le refrain xénophobe "c'est la faute aux Boches", heureusement que Rainier reprend le flambeau de la guerre à la bratwurst.
Euh, j'ai juste fait un copier coller après avoir lu un article qui me semblait intéressant.
Mais je te laisse le droit de penser que les Grecs, Italiens et Espagnols (et bientôt Français) sont des gros fainéants qui n'ont que ce qu'ils méritent.
Ce qui ne m'est même pas venu à l'esprit.
Je dis qu'on ne peut pas en vouloir aux Allemands de vouloir défendre le DM (aka Euro) bec et ongles, vu que c'est la seule chose qu'on leur a laissé et que c'est devenu le symbole de la renaissance de leur nation. Donne leur tes bombes atomiques, ton porte avion, expulse les bases américaines et je suis sur qu'ils seront plus conciliants.
![]()
![]()
Je croyais que ta religion interdisait l'abus d'alcool.
T'as rien à redire quoi.
Cortese a écrit:Quand je pense que Barroso était maoïste dans sa jeunesse ! Ça me fait penser à cet aveu stupéfiant du chef du parti maoïste hollandais disant qu'il avait créé ce parti ultra-gauchiste sur ordre de la CIA pour laquelle il travaillait secrètement.
Rainier a écrit:Un petit résumé sur la crise actuelle ...et à venir, que j'ai trouvé intéressant :
Utilisateurs parcourant ce forum: bravonadir et 3 invités