Cortese a écrit:
Pas seulement puisque je ne crois pas que l'inventeur de la phrase "le meilleur moment c'est quand on monte l'escalier" (c'est qui au fait ?) fasse partie d'une de ces catégories.
Clemenceau, si je ne fais erreur.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Cortese a écrit:
Pas seulement puisque je ne crois pas que l'inventeur de la phrase "le meilleur moment c'est quand on monte l'escalier" (c'est qui au fait ?) fasse partie d'une de ces catégories.
Cortese a écrit:Pas seulement puisque je ne crois pas que l'inventeur de la phrase "le meilleur moment c'est quand on monte l'escalier" (c'est qui au fait ?) fasse partie d'une de ces catégories.
C'est un peu l'anticipation de la petite amertume que laisse l'accomplissement de toute victoire ("post coïtum animal triste est"). Désirer sans assouvir c'était un peu la règle de l'amour courtois, non ?
DCP a écrit:Cortese a écrit:
Pas seulement puisque je ne crois pas que l'inventeur de la phrase "le meilleur moment c'est quand on monte l'escalier" (c'est qui au fait ?) fasse partie d'une de ces catégories.
Clemenceau, si je ne fais erreur.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
silverwitch a écrit:Cortese a écrit:Pas seulement puisque je ne crois pas que l'inventeur de la phrase "le meilleur moment c'est quand on monte l'escalier" (c'est qui au fait ?) fasse partie d'une de ces catégories.
C'est un peu l'anticipation de la petite amertume que laisse l'accomplissement de toute victoire ("post coïtum animal triste est"). Désirer sans assouvir c'était un peu la règle de l'amour courtois, non ?
C'était une image plus générale pour parler d'un cinéma qui respecte l'intimité comme un trésor, un cinéma classique où la caméra est le plus souvent objective !
Cortese a écrit:Et comme je sais que tu aimes bien Stevenson, tu seras d'accord pour reconnaitre que les plus belles histoires histoires de chasse au trésor sont celles où ne le trouve pas. Ou du moins pas là où on le croyait.
Stéphane a écrit:Par contr,e si c'était juste possible de limiter le nombre de vidéos par page, ça m'arrangerait.
Ambrose a écrit:Bref, le dernier Polanski est sans intérêt.
Cortese a écrit:silverwitch a écrit:Cortese a écrit:silverwitch a écrit:Cortese a écrit:C'est pas grave. Ça nous changera des histoires d'amour.
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C'était trop tentant !
Même toi tu ne peux rester insensible à ça:
Tu triches, c'est moi-même qui l'avait mise il y a quelques mois !
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Waddle a écrit:Silver et Corteste, vous pouvez un peu m'expliquer cette scène, du moins comment vous l'avez perçue? Parce que moi je n'ai rien compris
Shunt a écrit:Ambrose a écrit:Bref, le dernier Polanski est sans intérêt.
La bande-annonce flinguait déjà le film.
silverwitch a écrit:Shunt a écrit:Ambrose a écrit:Bref, le dernier Polanski est sans intérêt.
La bande-annonce flinguait déjà le film.
Dupond et Dupont ? Des films sans intérêt comme ça, il en faudrait plus souvent !
DCP a écrit:
Et toi, que me conseillerais-tu à l'affiche ces temps ?
Didier
Cortese a écrit:Waddle a écrit:Silver et Corteste, vous pouvez un peu m'expliquer cette scène, du moins comment vous l'avez perçue? Parce que moi je n'ai rien compris
C'est la scène finale. Le cadrage, très géométrique (tout le film est basé sur une esthétique géométrique un peu abstraite dans la lignée des films expressionnistes allemands des années 20), magnifique, sublime un plan très long (comme tu peux le constater) où l'héroïne, la belle Alida Valli, parcourt l'allée centrale du cimetière de vienne où vient d'être enterré Harry Lime, l'homme qu'elle aimait (Orson Welles). Rien ne bouge, sinon les feuilles mortes, accompagnées par les sublimes variations de la cithare (la musique du film joue un rôle absolument central) et la silhouette de l'actrice qui se rapproche presque imperceptiblement. Le romantisme est à son comble.
Le film commençait au même endroit par le faux enterrement du même Orson Welles. Joseph Cotten, ami de Welles et écrivain américain médiocre était venu assister à l'enterrement de son ami. Mais il découvre, en même temps qu'il tombe amoureux de la petite amie d'Orson Welles, que celui-ci n'est en fait qu'un ignoble trafiquant de médicaments frelatés qui provoquent la naissance de nombreux enfants handicapés, et qu'il n'est pas mort. De bourdes en maladresses, il finit quand même par révéler à Valli qui est réellement l'homme qu'elle aime (un affreux voyou) et même, tue Orson Welles au cours d'une poursuite avec la police. On arrive à la scène finale. Le chef de la police britannique d'occupation (on est en 1948), Alida Valli et Joseph Cotten assistent à l'enterrement. Raccompagné en jeep vers l'aéroport pour rentrer aux Etats Unis, Cotten n'y tient plus et demande à ce que l'officier britannique le laisse dans l'allée. Il attend Alida Valli dont il est plus que jamais amoureux et il espère sans doute que les révélations sur le trafic ignoble de Welles et son rôle héroico-tragique dans la fin de Welles vont lui obtenir enfin le coeur de la belle. Il s'accoude à une charrette, allume une cigarette, Alida Valli se rapproche, le suspense est insoutenable, vont-ils enfin procéder à un frottis de muqueuses ? Eh bien non ! Alida Valli, du même pas, passe devant lui sans un regard et sort du champ de la caméra. Joseph Cotten de nouveau seul comme au début du plan, secoue son allumette pour l'éteindre et la jette au milieu de l'allée (la futilité du geste prend une intensité tout à fait saugrenue à cause de la tension psychologique que le spectateur partage avec le héros). Fin.
runaway a écrit:J'ai vu les Immortels hier (enfin la moitie) et pour moi la violence est le centre de ce film, est ce qu'un cinefile pourrait m'expliquer pourquoi le niveau de violence dans les films est a ce point haut depuis quelques temps? Je ne ressens jamais ce besoin de violence extreme dans les films du genre, ca me semble inutile et il me smble aussi que nombre de films n'en ont jamais eu besoin pour avoir de l'interet...Merci de vos lumieres.
DCP a écrit:C'est moi ou Da Vinci code est vraiment une grosse daube ?
Didier
DCP a écrit:C'est moi ou Da Vinci code est vraiment une grosse daube ?
Didier
Aiello a écrit:DCP a écrit:C'est moi ou Da Vinci code est vraiment une grosse daube ?
Didier
Le bouquin n'était déjà pas exceptionnel, le film est encore pire. Bon, après, l'un comme l'autre se laissent lire/regarder quand on a rien à faire.
Aiello a écrit:DCP a écrit:C'est moi ou Da Vinci code est vraiment une grosse daube ?
Didier
Le bouquin n'était déjà pas exceptionnel, le film est encore pire. Bon, après, l'un comme l'autre se laissent lire/regarder quand on a rien à faire.
Hugues a écrit:The most ridiculous scene of all time
Waddle a écrit:Aiello a écrit:DCP a écrit:C'est moi ou Da Vinci code est vraiment une grosse daube ?
Didier
Le bouquin n'était déjà pas exceptionnel, le film est encore pire. Bon, après, l'un comme l'autre se laissent lire/regarder quand on a rien à faire.
Le bouquin était pas mal, car au moins, ça te tenait en haleine avec toutes les intrigues et les théories du complot que Dan Brown maîtrise merveilleusement bien.
Au cinéma, c'était une véritable catastrophe. Là où le roman était une espèce de thriller fiction surfant avec la réalité, le film ressemblait juste à un film d'aventure raté.
Kadoc a écrit:Hugues a écrit:The most ridiculous scene of all time
Tu regardes pas assez de nanars.
Shunt a écrit:Kadoc a écrit:Hugues a écrit:The most ridiculous scene of all time
Tu regardes pas assez de nanars.
J'en ai vu un beau hier : "Sucker Punch"... heureusement qu'il y a de jolies nénettes dans le film, c'est le seul truc qui m'a tenu éveillé.
Marlaga a écrit:Le film réussit pleinement son objectif. Le réalisateur a dit vouloir faire le film qu'il aurait rêvé de voir étant ado. Alors il a fait des grosses scènes d'action à la jeu vidéo avec des jolies filles et de la musique qui bouge bien. Je préfère voir ça qu'un film d'action débile qui se prend au sérieux.
Et puis, tu devrais voir les pages d'analyse et d'hypothèse qu'en ont fait certains, ça fait un bon prétexte pour le revoir
Hugues a écrit:The most ridiculous scene of all time:
Hugues
Shunt a écrit:Marlaga a écrit:Le film réussit pleinement son objectif. Le réalisateur a dit vouloir faire le film qu'il aurait rêvé de voir étant ado. Alors il a fait des grosses scènes d'action à la jeu vidéo avec des jolies filles et de la musique qui bouge bien. Je préfère voir ça qu'un film d'action débile qui se prend au sérieux.
Pourtant c'est débile et ça se prend terriblement au sérieux. Les dialogues sont pontifiants, il n'y a aucun humour. C'est juste un trip fétichiste et masturbatoire un peu pathétique.Et puis, tu devrais voir les pages d'analyse et d'hypothèse qu'en ont fait certains, ça fait un bon prétexte pour le revoir
J'ai du mal à voir ce qu'il y a à analyser dans ce film.Sauf si c'est un prétexte à faire des arrêts sur image sur les cuisses d'Abbie Cornish et les nibards de Carla Gugino (mais on est mieux servi dans "Sin City").
Tarod a écrit:Pareil j'ai vu ce film et je me suis fait sérieusement chier. A côté Sin City c'était quand même autre chose je trouve.
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