B.Verkiler a écrit:Pour la défendre, on aurait peut-être aussi pu dire que par "chez eux", elle entendait "dans leurs pays" ?
grande chance oui,d'autant que "les civilisations ne se valent pas" face au froid.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
B.Verkiler a écrit:Pour la défendre, on aurait peut-être aussi pu dire que par "chez eux", elle entendait "dans leurs pays" ?
Alfa a écrit:La elle parles des SDF, qui ont donc un domicile non fixe, comme par exemple une tante.
Feyd a écrit:Elle aurait pu proposer son appart.
Cortese a écrit:C'est encore plus drôle (enfin...) quand on parle l'arabe maghrébin : "Berra" ça veut dire "dehors".
Après l'Inde, le Brésil devrait "très probablement" choisir l'avion de combat français pour équiper son armée de l'air en avions de chasse, a-t-on appris de sources gouvernementales.
La présidente Dilma Rousseff, dont les réticences ont été levées par la décision de l'Inde d'entrer en négociations exclusives avec l'avionneur français Dassault Aviation pour acheter des Rafale, ne devrait pas annoncer sa décision avant l'élection présidentielle en France afin de ne pas laisser cette question être détournée à des fins politiques.
Dilma Rousseff et ses principaux conseillers sont convaincus que l'offre de Dassault Aviation de vendre au moins trente-six Rafale est meilleure que celles de ses deux concurrents, Boeing avec son F-18 et Saab avec le Gripen, ont déclaré des sources à Reuters sous le sceau de l'anonymat. La valeur initiale du contrat est estimée à 4 milliards de dollars (environ 3 milliards d'euros), mais elle devrait être largement supérieure dès lors qu'auront été notamment inclus les frais de maintenance.
Dilma Rousseff manifestait auparavant des réticences à l'égard du Rafale car l'appareil n'a pas trouvé preneur en dehors de la France. Ces inquiétudes ont été levées à la fin de janvier lorsque l'Inde a annoncé qu'elle entrait en négociations exclusives avec Dassault Aviation pour acquérir cent vingt-six Rafale. Le ministre de la défense brésilien, Celso Amorim, s'est rendu à New Delhi la semaine dernière pour discuter de la teneur de cet accord avec des responsables indiens et examiner des documents. "L'accord avec l'Inde a tout changé, a dit l'une de ces sources brésiliennes. Avec la décision de l'Inde, le Rafale sera très probablement le vainqueur ici."
Selon ces sources, Dassault propose la meilleure combinaison, avec un appareil de grande qualité et un transfert de technologie jugé essentiel par Celso Amorim.
Shoemaker a écrit:A priori, il n'y aurait aucune raison de se plaindre que la France obtienne des contrats commerciaux juteux.
Shoemaker a écrit:Mais au-delà de ce constat, j'avoue que ça m'écœure profondément qu'un domaine essentielle de la défense nationale française, soit aux mains d'un sioniste de la pire espèce, d'un féodal auprès de qui MArine Lepen est une bolchévique humaniste !
Bon sang de bonsoir, mais quand va t on nationaliser cette entreprise qui ne peut avoir pour patron que la République ????!!!!! Grrrr......... rogntudju...... ....
Le contact est âpre. Presque décourageant. Il faut un peu de temps pour se convaincre que ces mots abrupts, ce ton impérieux ne sont pas seulement la marque d'un fichu caractère ou l'empreinte laissée par des années de pouvoir. Que passer outre vaut vraiment la peine et permet de comprendre qu'à 77 ans, Pierre Joxe est un homme pressé par l'essentiel.
L'ancien compagnon de route de François Mitterrand, dont il fut le ministre de l'intérieur, puis celui de la défense, l'ancien président de la Cour des comptes, l'ancien membre du Conseil constitutionnel est inscrit depuis deux ans au barreau de Paris. Rien de très original tant le titre d'avocat se porte bien parmi les plus ou moins jeunes retraités de la vie publique, qui trouvent là une opportunité de négocier au prix fort un carnet d'adresses et une notoriété. Pas Pierre Joxe. Il a prêté serment d'avocat comme on adhère à un parti ou à un syndicat. En militant. Me Joxe ne défend que les mineurs, uniquement sur commission d'office et n'accepte aucune clientèle particulière.
[...]
Les uns et les autres l'ont entendu le matin même, à une heure de grande écoute, sur une radio nationale où il était invité à l'occasion de la sortie de son livre, Pas de quartier ? (Fayard, 300 p., 19 €), dénoncer d'une voix ferme une politique de plus en plus répressive à l'égard des mineurs. "Avant, on s'intéressait davantage à l'enfant qui avait volé un vélo qu'au vélo lui-même. Aujourd'hui, cette tendance s'est inversée", a-t-il tonné. Dans un premier essai, Cas de conscience (Labor et Fides), publié en 2010 au lendemain de son départ du Conseil constitutionnel, Pierre Joxe avait brisé un tabou en rendant public son avis minoritaire dans trois délibérations de cette assemblée, dont celle relative à la garde à vue des mineurs contenue dans la loi Perben 2.
C'est cette "indignation croissante" face à la remise en cause de l'ordonnance de 1945 qui l'a décidé à se consacrer au droit des mineurs. Ce texte, qui instituait un juge des enfants et étendait l'excuse de minorité aux mineurs de 16 à 18 ans, a été paraphé par le général de Gaulle "alors que le territoire national n'était pas encore libéré, la guerre n'était pas finie, mais le droit de la France recommençait à briller", écrit-il.
Pierre Joxe a aussi une raison plus intime de le défendre. Il se dit que, peut-être, l'homme qui a porté cette ordonnance à la signature du général n'est autre que son père, Louis Joxe, qui était alors secrétaire général du gouvernement provisoire avant d'exercer pendant dix ans les fonctions de ministre de De Gaulle, sous les gouvernements de Michel Debré et Georges Pompidou. En exergue de l'un des chapitres de son livre, qui est à la fois carnet de route d'un avocat et pamphlet politique, l'ancien ministre a placé ces vers de du Bellay : "France, mère des Arts, des Armes et des Lois/Tu m'as longtemps nourri du lait de ta mamelle..."
Il a déjà un autre combat en tête. Celui de la défense des salariés devant les prud'hommes. "Quand j'étais jeune auditeur à la Cour des comptes, je faisais partie des bénévoles du service juridique de la CGT", dit-il. La rudesse a du bon, quand elle conserve, intacte, l'indignation.
silverwitch a écrit:
Les contrats juteux, je m'en fiche, même si tout revers des USA en ce domaine est bon à prendre... Ce qui est intéressant, c'est quand la réalité ouvre une brèche: la France sait faire un avion, aussi bien que l'industrie américaine ou allemande.
Shoemaker a écrit:
Tu soulèves là un problème de fond : un des crédo de la "croisade" néolibérale en France, c'est de subtilement faire croire peu à peu, que le France "seule", ne peut rien faire, puis par un glissement tout en douceur, que la France est dépassée par l'Allemagne et tout le saint frusquin technologique mondial, puis bah, au final, faut se faire une raison, la France est juste un pays juste émergent, dont les salaires, n'est-ce pas, devraient être raisonnables, mais qu'il n'est pas raisonnable de prétendre à de tels acquis sociaux, etc etc...
C'est un tout, une entreprise de démoralisation criminelle, de démolition systématique, rampante.
Je ne sais pas si je me fais bien comprendre.
Cortese a écrit:On peut noter qu'un avion produit par une entreprise nationale (à défaut d'être nationalisée) est reconnu (depuis le début) de meilleure qualité qu'un avion produit par la coopération européenne comme l'Eurofighter !
Cortese a écrit:Par contre, quand on voit le prix astronomique des avions de combat moderne et les contraintes politiques qui leur sont attachées, je serais un gouvernement du Tiers-Monde j'en achèterais pas, vu que de toute façon ils ne sont d'aucune utilité face à une attaque de l'OTAN des US ou d'Israël (les principales, voire uniques, menaces militaires du monde moderne), en raison des moyens électroniques que se réservent prudemment ces derniers, et la Russie ne semble pas de taille (l'a t-elle jamais été depuis les Mig 15 de la guerre de Corée ?).
silverwitch a écrit:L'Inde et le Brésil achètent avec des clauses qui garantissent des transferts de technologie, l'objectif poursuivi par ces grands petits pays est de développer à moyen terme une industrie nationale militaire.
Cortese a écrit:Mon petit doigt me dit qu'un changement important dans les conditions demandées (ou refusées) par la France est la raison principale du brusque regain d'intérêt pour le Rafale. On solde, quoi.
silverwitch a écrit:C'est une leçon tirée par les dirigeants de l'échec de la vente de l'EPR à certains pays (au profit de la Corée du Sud)...
silverwitch a écrit:Shoemaker a écrit:A priori, il n'y aurait aucune raison de se plaindre que la France obtienne des contrats commerciaux juteux.
Les contrats juteux, je m'en fiche, même si tout revers des USA en ce domaine est bon à prendre... Ce qui est intéressant, c'est quand la réalité ouvre une brèche: la France sait faire un avion, aussi bien que l'industrie américaine ou allemande.Shoemaker a écrit:Mais au-delà de ce constat, j'avoue que ça m'écœure profondément qu'un domaine essentielle de la défense nationale française, soit aux mains d'un sioniste de la pire espèce, d'un féodal auprès de qui MArine Lepen est une bolchévique humaniste !
Bon sang de bonsoir, mais quand va t on nationaliser cette entreprise qui ne peut avoir pour patron que la République ????!!!!! Grrrr......... rogntudju...... ....
Nationalisons !
silverwitch a écrit:Cortese a écrit:Mon petit doigt me dit qu'un changement important dans les conditions demandées (ou refusées) par la France est la raison principale du brusque regain d'intérêt pour le Rafale. On solde, quoi.
C'est une leçon tirée par les dirigeants de l'échec de la vente de l'EPR à certains pays (au profit de la Corée du Sud)...
Cortese a écrit:On peut noter qu'un avion produit par une entreprise nationale (à défaut d'être nationalisée) est reconnu (depuis le début) de meilleure qualité qu'un avion produit par la coopération européenne comme l'Eurofighter !
Par contre, quand on voit le prix astronomique des avions de combat modernes et les contraintes politiques qui leur sont attachées, je serais un gouvernement du Tiers-Monde j'en achèterais pas, vu que de toute façon ils ne sont d'aucune utilité face à une attaque de l'OTAN des US ou d'Israël (les principales, voire uniques, menaces militaires du monde moderne), en raison des moyens électroniques que se réservent prudemment ces derniers, et la Russie ne semble pas de taille (l'a t-elle jamais été depuis les Mig 15 de la guerre de Corée ?).
Ouais_supère a écrit:
Quel putain de scandale.
Ghinzani a écrit:Ouais_supère a écrit:
Quel putain de scandale.
C'est vrai quoi, muselons la presse!
Feyd a écrit:Si c'est pour mentir, mieux vaut qu'elle ne dise rien en effet.
Ouais_supère a écrit:Ghinzani a écrit:Ouais_supère a écrit:
Quel putain de scandale.
C'est vrai quoi, muselons la presse!
Rassure-moi, t'as lu l'article, un peu?
Capet a écrit:Bof, extraire une phrase de son contexte pour ensuite vomir sur celui qui l'a prononcée c'est pas l'apanage de l'AMSUD
Bien sur c'est révoltant...
Ghinzani a écrit:Capet a écrit:Bof, extraire une phrase de son contexte pour ensuite vomir sur celui qui l'a prononcée c'est pas l'apanage de l'AMSUD
Bien sur c'est révoltant...
Si c'est stupide, je pense qu'il ya d'autres organismes qui ne valent guère mieux...Au risque de créer le sourire, l'objectivité de la presse , c'est un leurre et si quelqu'un veut se forger une opinion: rien de tel que la réalité de terrain .
Kadoc a écrit:Sauf que cette fois-ci c'est un peu nous qui avons le truc un peu moins récent, mais moins cher.
L'Etat doit s'en frotter les mains, il n'aura plus à acheter tous les appareils qui sortent...
Ghinzani a écrit:Ce n'est plus d'époque dans la réalité.
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