Marlaga a écrit:Tu penses que le Front National sera au pouvoir avant que ça n'arrive alors ? Je l'espère mais j'en doute aussi.

Je ne crois pas que l'Islam pose un problème à la République, pourvu que la France reste fidèle à ses principes.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Marlaga a écrit:Tu penses que le Front National sera au pouvoir avant que ça n'arrive alors ? Je l'espère mais j'en doute aussi.
Marlaga a écrit:silverwitch a écrit:Roms: incendie, cocktail Molotov, mais pas le même échosilverwitch a écrit:Pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à Charlie Hebdo !silverwitch a écrit:Soutenir Charlie Hebdo, critiquer Charlie Hebdo…silverwitch a écrit:UN JOURNAL DE MOINS, UN PEU DE LIBERTÉ EN PLUS
La propagande dans laquelle tu te lances est proprement abjecte et navrante.
Rainier a écrit:Dans "On n'est pas couché" samedi dernier, Charb s'est dit très proche politiquement de Melenchon.
Que penses le vindicatif Jean-Luc de "l'affaire Charlie Hebdo" ?
Marlaga a écrit:silverwitch a écrit:Marlaga a écrit:Heureusement que d'ici quelques années, l'islam retirera toute liberté de presse et fermera ces torchons immondes, comme ça tu seras tranquille.
Permets-moi de mettre en doute ta prédiction.
Tu penses que le Front National sera au pouvoir avant que ça n'arrive alors ? Je l'espère mais j'en doute aussi.
PARIS (Reuters) - Le groupe UMP de l'Assemblée a refusé mardi de réduire de 10% les indemnités des députés français, comme le proposait l'un de ses membres pour faire participer la représentation nationale à l'effort de rigueur auquel sont soumis les Français.
Lionel Luca, l'un des chefs de file du collectif de la Droite populaire, l'aile droitière de l'UMP, a proposé un amendement au projet de budget pour 2012 dans le cadre des mesures d'économies supplémentaires présenté lundi par le Premier ministre, François Fillon.
Le député des Alpes-Maritimes affirme dans le texte de son amendement signé par 21 de ses collègues UMP (sur 307) que cette réduction permettrait une économie de 5 millions d'euros qui s'ajouterait à celles réalisées grâce au gel des salaires du chef de l'Etat et des membres du gouvernement.
"C'est un sujet qui a été évacué, qui est réglé. Il y a un gel des indemnités des élus depuis deux ans et ensuite des économies très importantes ont été faites à l'Assemblée", a déclaré Christian Jacob, le président du groupe majoritaire, à l'issue de la réunion hebdomadaire des députés UMP.
C'est la tâche aveugle de M. Sarkozy et d'une partie de la droite. Ils ont oublié que le peuple français se définit comme peuple de citoyens. Je suis hostile à la stigmatisation aussi bien qu'à l'instrumentalisation de telle ou telle minorité ou communauté. J'aurais aimé dire quelque chose à propos de M. Sarkozy. Tel Tarzan qui saute de liane en liane, il ébaubit le peuple. Mais jusqu'à quand.
Prenons le sommet de Bruxelles. Le Fonds de stabilité européen se révélait insuffisant. On allait créer un véhicule spécial pour attirer les investisseurs internationaux, chinois, brésiliens, américains, etc.
Et M. Sarkozy de tendre la sebille à M. Hu jin Tao et à Mme Tilma Roussef, que croyez-vous qu'il arriva? La sebile resta vide. Le mendiant aurait dû ravaler son humiliation. Heureusement, M. Obama, lui-même en mal de réélection, l'a couvert d'éloges. Ceux-ci ont fait oublié l'échec sensationnel du G20 dont personne ne semble encore s'être avisé. Mais maintenant, c'est M. Fillon qui a saisi une autre liane nous entraînant dans un ballet torride dont les Français commencent à se demander s'il ne serait pas temps de l'arrêter.
Il faut faire évoluer avec pragmatisme la construction européenne sans jamais perdre de vue l'objectif qu'avait fixé jadis le général de Gaulle. Une Europe européenne, actrice de son destin qui soit elle-même un pôle dans le monde de demain qu'on nous décrit comme multipolaire. Bien entendu, cette Europe sera à géométrie variable. Il faut avancer avec ceux qui le veulent.
Hugues a écrit:Enfin un zeste de justice pour Hank Skinner.
Hugues
silverwitch a écrit:il ébaubit le peuple.
silverwitch a écrit:Marlaga a écrit:Tu penses que le Front National sera au pouvoir avant que ça n'arrive alors ? Je l'espère mais j'en doute aussi.
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Je ne crois pas que l'Islam pose un problème à la République, pourvu que la France reste fidèle à ses principes.
Alzam a écrit:Marlaga a écrit:silverwitch a écrit:Marlaga a écrit:Heureusement que d'ici quelques années, l'islam retirera toute liberté de presse et fermera ces torchons immondes, comme ça tu seras tranquille.
Permets-moi de mettre en doute ta prédiction.
Tu penses que le Front National sera au pouvoir avant que ça n'arrive alors ? Je l'espère mais j'en doute aussi.
Il y a vingt ans... les fachos du FN se planquaient...
Maintenant, ils assument leur extrémisme.
On est bien barrrés.
Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Je ne crois pas que l'Islam pose un problème à la République, pourvu que la France reste fidèle à ses principes.
C'est juste une question de nombre et de temps.
silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Je ne crois pas que l'Islam pose un problème à la République, pourvu que la France reste fidèle à ses principes.
C'est juste une question de nombre et de temps.
Tu as lu ça dans le marc de café ?
Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Je ne crois pas que l'Islam pose un problème à la République, pourvu que la France reste fidèle à ses principes.
C'est juste une question de nombre et de temps.
Tu as lu ça dans le marc de café ?
c'est un constat de faits.
Ghinzani a écrit:c'est un constat de faits.
François Baroin déclenche une bronca à l'Assemblée
VIDÉOS - Le ministre de l'Économie a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir par «effraction» en 1997, déclenchant la colère des députés de l'opposition. Fait rarissime : la séance des questions au gouvernement a été levée.
Cela n'arrive pratiquement jamais. La séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale a été levée mardi après seulement trente minutes. Le ministre de l'Économie, François Baroin, a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir «par effraction» en 1997, ce qui a suscité le courroux des opposants. Face aux débordements qui ont suivi, Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée, a décidé de lever la séance.
Tout commence par une question du député PS Pierre-Alain Muet sur le plan de rigueur annoncé lundi par le premier ministre François Fillon. À plusieurs reprises, le socialiste met en cause le «courage» de l'UMP. Alors que la question avait été adressée à Valérie Pécresse, porte-parole du gouvernement et ministre du Budget, c'est François Baroin, pour l'Économie, qui se présente devant les parlementaires pour répondre. Le ministre remet alors en cause les élections législatives de 1997, remportées par la gauche : «Est-ce du courage de mentir, de basculer dans la démagogie, de taire la vérité, de vous accrocher à des vieilles lunes socialistes qui vous ont certes conduit par effraction au pouvoir en 1997? Et vous n'avez rien fait», a déclaré François Baroin.
Une attaque qui n'est du tout passé à gauche : ses membres se sont immédiatement levés pour s'avancer vers le centre de l'hémicycle. Tandis que le ministre de l'Économie et des Finances poursuivait son discours, des quolibets ont fusé et des feuilles ont volé. Après avoir un temps demandé aux députés de reprendre leur calme et de retourner s'asseoir, Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée nationale a décidé de suspendre la séance quelques minutes. Mais au retour des députés, socialistes, communistes et écologistes ont scandé à l'unisson : «Démocratie, démocratie». La reprise de séance étant impossible, Bernard Accoyer a donc décidé de la lever.
Accoyer regrette «des propos inadaptés»
Lorsqu'une séance est levée dans ces conditions, le parti qui s'estime attaqué peut demander un rappel au règlement. C'est ce qu'a fait Jean-Marc Ayrault, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, qui a aussitôt dénoncé «une faute politique». «Au delà du parti que je représente, c'est le peuple français qui doit être blessé», a déclaré le député socialiste au micro de LCP. «C'est le vote des Français qui nous a mis au pouvoir. Tout cela n'est pas digne de la démocratie», a-t-il conclu, avant de demander des excuses à François Baroin. Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée, lui a répondu que «la parole était libre» dans l'hémicycle et qu'on «ne peut que regretter certains propos inadaptés». Il a ensuite promis de transmettre la demande d'excuses au ministre de l'Économie ainsi qu'au gouvernement.
«Des ministres vidés moralement et psychologiquement»
Le début de séance a été marqué par plusieurs attaques de tous les côtés. Michel Vauzelle, député PS des Bouches-du-Rhône, a voulu aborder le sujet des victimes des intempéries dans le sud. Une prise de parole rendue presque impossible par plusieurs invectives de députés UMP sur l'affaire Guérini, qui n'est pourtant aucunement liée. «On atteint un paroxysme, avec beaucoup de nervosité, a déploré après coup Michel Vauzelle, qui a ironisé sur «des ministres vidés moralement et psychologiquement». Dans les couloirs, Pierre-Alain Muet (PS), qui avait attaqué François Baroin sur la politique de rigueur du gouvernement, s'est exclamé : «C'est le fruit d'un gouvernement qui ne maîtrise ni ses déficits ni… son discours».
Pour Michel Bouvard, proche de François Fillon, les propos de l'hôte de Bercy «ont dû dépasser sa pensée. En sur réagissant, on n'arrange pas les choses», confiait le député UMP de Savoie. Bernard Debré, député UMP de Paris s'est pour sa part déclaré «très attristé par les injures» entre les députés car «ce n'est pas ce qui intéresse les Français».
A droite, Christian Estrosi (UMP, Alpes-Maritimes) a rappelé qu' «à l'approche de l'échéance de 2012, l'opposition saisit la moindre étincelle pour faire du spectacle». L'ancien ministre sarkozyste a pris sur le fond la défense de François Baroin qui, dit-il, «a rappelé quelques vérités sur les mensonges» des promesses socialistes qu'il a qualifiées de «venin dans la conscience collective».
Pour Sébastien Huyghe (UMP, Nord), «l'image du président de la République, qui excelle à l'international pour protéger les Français, a créé une certaine fébrilité dans l'opposition, qui a pris le mors aux dents à la moindre petite phrase».
The Stig a écrit:Mais sérieusement, qu'est-ce que vous avez avec ce Chevènement dont vous êtes prosélytes obstinés ? Ok, je suis pas un spécialiste de l'homme, je ne prétends pas non plus être un spécialiste de la politique, mais je l'ai déjà vu discourir comme un grand politicien, il a des thématiques qui ne me semblent pas révolutionnaires, il n'a pas l'air d'avoir un apport substantiel sur le débat politique... Mon père qui est aussi membre du Siècle l'a certes rencontré, il pourrait mieux en parler que moi. Il semble qu'il l'ai intéressé, en parlant comme il serait intéressant de rencontrer un Besancennot par exemple et de débattre avec luI.
Je me rappelle avoir lu que, selon Hugues, si Mitterand avait écouté Chevènement en 1983 et non Delors, il n'y aurait pas eu de parenthèse libérale et on n'en serait pas là. Outre que cette affirmation soit-disant péremptoire me semble hautement contestable (depuis quand Mitterand, si son intime conviction était qu'il fallait continuer, s'est-il laissé imposer parce ce que notre président appelle ses collaborateurs des directives qui vont dans le sens opposé de son programme ?), peut être faudrait-il se demander pourquoi, outre son altruisme, Mr Chevènement persiste à vouloir se présenter ad vitam aeternam ?
Qu'on ne me sorte pas le couplet du courage et de la force des convictions par contre. Qu'on reste courtois aussi, même si je semble m'attaquer à une idole du coin, pire qu'Heidfeld et Schumi réunis.
Waddle a écrit:http://www.lefigaro.fr/politique/2011/11/08/01002-20111108ARTFIG00582-francois-baroin-declenche-une-bronca-a-l-assemblee.phpFrançois Baroin déclenche une bronca à l'Assemblée
VIDÉOS - Le ministre de l'Économie a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir par «effraction» en 1997, déclenchant la colère des députés de l'opposition. Fait rarissime : la séance des questions au gouvernement a été levée.
Cela n'arrive pratiquement jamais. La séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale a été levée mardi après seulement trente minutes. Le ministre de l'Économie, François Baroin, a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir «par effraction» en 1997, ce qui a suscité le courroux des opposants. Face aux débordements qui ont suivi, Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée, a décidé de lever la séance.
Tout commence par une question du député PS Pierre-Alain Muet sur le plan de rigueur annoncé lundi par le premier ministre François Fillon. À plusieurs reprises, le socialiste met en cause le «courage» de l'UMP. Alors que la question avait été adressée à Valérie Pécresse, porte-parole du gouvernement et ministre du Budget, c'est François Baroin, pour l'Économie, qui se présente devant les parlementaires pour répondre. Le ministre remet alors en cause les élections législatives de 1997, remportées par la gauche : «Est-ce du courage de mentir, de basculer dans la démagogie, de taire la vérité, de vous accrocher à des vieilles lunes socialistes qui vous ont certes conduit par effraction au pouvoir en 1997? Et vous n'avez rien fait», a déclaré François Baroin.
Une attaque qui n'est du tout passé à gauche : ses membres se sont immédiatement levés pour s'avancer vers le centre de l'hémicycle. Tandis que le ministre de l'Économie et des Finances poursuivait son discours, des quolibets ont fusé et des feuilles ont volé. Après avoir un temps demandé aux députés de reprendre leur calme et de retourner s'asseoir, Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée nationale a décidé de suspendre la séance quelques minutes. Mais au retour des députés, socialistes, communistes et écologistes ont scandé à l'unisson : «Démocratie, démocratie». La reprise de séance étant impossible, Bernard Accoyer a donc décidé de la lever.
Accoyer regrette «des propos inadaptés»
Lorsqu'une séance est levée dans ces conditions, le parti qui s'estime attaqué peut demander un rappel au règlement. C'est ce qu'a fait Jean-Marc Ayrault, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, qui a aussitôt dénoncé «une faute politique». «Au delà du parti que je représente, c'est le peuple français qui doit être blessé», a déclaré le député socialiste au micro de LCP. «C'est le vote des Français qui nous a mis au pouvoir. Tout cela n'est pas digne de la démocratie», a-t-il conclu, avant de demander des excuses à François Baroin. Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée, lui a répondu que «la parole était libre» dans l'hémicycle et qu'on «ne peut que regretter certains propos inadaptés». Il a ensuite promis de transmettre la demande d'excuses au ministre de l'Économie ainsi qu'au gouvernement.
«Des ministres vidés moralement et psychologiquement»
Le début de séance a été marqué par plusieurs attaques de tous les côtés. Michel Vauzelle, député PS des Bouches-du-Rhône, a voulu aborder le sujet des victimes des intempéries dans le sud. Une prise de parole rendue presque impossible par plusieurs invectives de députés UMP sur l'affaire Guérini, qui n'est pourtant aucunement liée. «On atteint un paroxysme, avec beaucoup de nervosité, a déploré après coup Michel Vauzelle, qui a ironisé sur «des ministres vidés moralement et psychologiquement». Dans les couloirs, Pierre-Alain Muet (PS), qui avait attaqué François Baroin sur la politique de rigueur du gouvernement, s'est exclamé : «C'est le fruit d'un gouvernement qui ne maîtrise ni ses déficits ni… son discours».
Pour Michel Bouvard, proche de François Fillon, les propos de l'hôte de Bercy «ont dû dépasser sa pensée. En sur réagissant, on n'arrange pas les choses», confiait le député UMP de Savoie. Bernard Debré, député UMP de Paris s'est pour sa part déclaré «très attristé par les injures» entre les députés car «ce n'est pas ce qui intéresse les Français».
A droite, Christian Estrosi (UMP, Alpes-Maritimes) a rappelé qu' «à l'approche de l'échéance de 2012, l'opposition saisit la moindre étincelle pour faire du spectacle». L'ancien ministre sarkozyste a pris sur le fond la défense de François Baroin qui, dit-il, «a rappelé quelques vérités sur les mensonges» des promesses socialistes qu'il a qualifiées de «venin dans la conscience collective».
Pour Sébastien Huyghe (UMP, Nord), «l'image du président de la République, qui excelle à l'international pour protéger les Français, a créé une certaine fébrilité dans l'opposition, qui a pris le mors aux dents à la moindre petite phrase».
Kôôl-x a écrit:J'ai vu ça...à force d'être transparent, insipide, le petit retourneur de veste a eu l'idée du siècle pour faire parler de lui...
silverwitch a écrit:Kôôl-x a écrit:J'ai vu ça...à force d'être transparent, insipide, le petit retourneur de veste a eu l'idée du siècle pour faire parler de lui...
Moi je l'aime bien, il a une bonne tête, entre Pierre Arditi et Harry Potter. Politiquement ou humainement, en revanche...
Cortese a écrit:
Oui, c'est à ça que je pensais. Quand je faisais de la communication pour la santé, j'avais suivi plusieurs formations qui avaient pour but de se donner des outils pour amener les agents de santé publique à changer les comportements et les représentations négatives pour la santé des gens. Personnellement c'est exactement ce que j'essaye de faire sur ce forum : libérer les gens des idées destructrices qu'on leur a inculqué. C'est très difficile (surtout qu'on ne combat pas que des préjugés ou des superstitions, on combat une volonté politique puissante et organisée d'asservissement et d'instrumentalisation).
The Stig a écrit:Mais sérieusement, qu'est-ce que vous avez avec ce Chevènement dont vous êtes des prosélytes obstinés ?
...
Qu'on reste courtois aussi, même si je semble m'attaquer à une idole du coin, pire qu'Heidfeld et Schumi réunis.
Dr Renard a écrit:The Stig a écrit:Mais sérieusement, qu'est-ce que vous avez avec ce Chevènement dont vous êtes des prosélytes obstinés ?
...
Qu'on reste courtois aussi, même si je semble m'attaquer à une idole du coin, pire qu'Heidfeld et Schumi réunis.
J'ai l'impression que tu as une vision un peu décalée de la réalité du forum. Regarde par exemple le topic sur la présidentielle, tu verras que sur 20 votants au sondage, seulement 2 se sont exprimés en sa faveur.
silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:c'est un constat de faits.
Bah non. C'est un constat de faits qui n'existent pas, puisque l'avenir n'existe pas encore. Ta remarque tient donc de la cartomancie plutôt que des faits.
The Stig a écrit: Je ne désignais pas tout le forum, mais seulement les 2 Chevènementistes les plus obstinés du forum et qui sont très actifs, et qu'il n'y a plus besoin de présenter.
Waddle a écrit:http://www.lefigaro.fr/politique/2011/11/08/01002-20111108ARTFIG00582-francois-baroin-declenche-une-bronca-a-l-assemblee.phpFrançois Baroin déclenche une bronca à l'Assemblée
VIDÉOS - Le ministre de l'Économie a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir par «effraction» en 1997, déclenchant la colère des députés de l'opposition. Fait rarissime : la séance des questions au gouvernement a été levée.
Cela n'arrive pratiquement jamais. La séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale a été levée mardi après seulement trente minutes. Le ministre de l'Économie, François Baroin, a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir «par effraction» en 1997, ce qui a suscité le courroux des opposants. Face aux débordements qui ont suivi, Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée, a décidé de lever la séance.
Tout commence par une question du député PS Pierre-Alain Muet sur le plan de rigueur annoncé lundi par le premier ministre François Fillon. À plusieurs reprises, le socialiste met en cause le «courage» de l'UMP. Alors que la question avait été adressée à Valérie Pécresse, porte-parole du gouvernement et ministre du Budget, c'est François Baroin, pour l'Économie, qui se présente devant les parlementaires pour répondre. Le ministre remet alors en cause les élections législatives de 1997, remportées par la gauche : «Est-ce du courage de mentir, de basculer dans la démagogie, de taire la vérité, de vous accrocher à des vieilles lunes socialistes qui vous ont certes conduit par effraction au pouvoir en 1997? Et vous n'avez rien fait», a déclaré François Baroin.
Une attaque qui n'est du tout passé à gauche : ses membres se sont immédiatement levés pour s'avancer vers le centre de l'hémicycle. Tandis que le ministre de l'Économie et des Finances poursuivait son discours, des quolibets ont fusé et des feuilles ont volé. Après avoir un temps demandé aux députés de reprendre leur calme et de retourner s'asseoir, Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée nationale a décidé de suspendre la séance quelques minutes. Mais au retour des députés, socialistes, communistes et écologistes ont scandé à l'unisson : «Démocratie, démocratie». La reprise de séance étant impossible, Bernard Accoyer a donc décidé de la lever.
Accoyer regrette «des propos inadaptés»
Lorsqu'une séance est levée dans ces conditions, le parti qui s'estime attaqué peut demander un rappel au règlement. C'est ce qu'a fait Jean-Marc Ayrault, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, qui a aussitôt dénoncé «une faute politique». «Au delà du parti que je représente, c'est le peuple français qui doit être blessé», a déclaré le député socialiste au micro de LCP. «C'est le vote des Français qui nous a mis au pouvoir. Tout cela n'est pas digne de la démocratie», a-t-il conclu, avant de demander des excuses à François Baroin. Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée, lui a répondu que «la parole était libre» dans l'hémicycle et qu'on «ne peut que regretter certains propos inadaptés». Il a ensuite promis de transmettre la demande d'excuses au ministre de l'Économie ainsi qu'au gouvernement.
«Des ministres vidés moralement et psychologiquement»
Le début de séance a été marqué par plusieurs attaques de tous les côtés. Michel Vauzelle, député PS des Bouches-du-Rhône, a voulu aborder le sujet des victimes des intempéries dans le sud. Une prise de parole rendue presque impossible par plusieurs invectives de députés UMP sur l'affaire Guérini, qui n'est pourtant aucunement liée. «On atteint un paroxysme, avec beaucoup de nervosité, a déploré après coup Michel Vauzelle, qui a ironisé sur «des ministres vidés moralement et psychologiquement». Dans les couloirs, Pierre-Alain Muet (PS), qui avait attaqué François Baroin sur la politique de rigueur du gouvernement, s'est exclamé : «C'est le fruit d'un gouvernement qui ne maîtrise ni ses déficits ni… son discours».
Pour Michel Bouvard, proche de François Fillon, les propos de l'hôte de Bercy «ont dû dépasser sa pensée. En sur réagissant, on n'arrange pas les choses», confiait le député UMP de Savoie. Bernard Debré, député UMP de Paris s'est pour sa part déclaré «très attristé par les injures» entre les députés car «ce n'est pas ce qui intéresse les Français».
A droite, Christian Estrosi (UMP, Alpes-Maritimes) a rappelé qu' «à l'approche de l'échéance de 2012, l'opposition saisit la moindre étincelle pour faire du spectacle». L'ancien ministre sarkozyste a pris sur le fond la défense de François Baroin qui, dit-il, «a rappelé quelques vérités sur les mensonges» des promesses socialistes qu'il a qualifiées de «venin dans la conscience collective».
Pour Sébastien Huyghe (UMP, Nord), «l'image du président de la République, qui excelle à l'international pour protéger les Français, a créé une certaine fébrilité dans l'opposition, qui a pris le mors aux dents à la moindre petite phrase».
Ghinzani a écrit:L'avenir est en marche et le présent en donne ses bases...
silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:L'avenir est en marche et le présent en donne ses bases...
La seule chose que je tiens pour à peu près certaine, c'est que tu continueras à écrire n'importe quoi à l'avenir
Waddle a écrit:Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Je ne crois pas que l'Islam pose un problème à la République, pourvu que la France reste fidèle à ses principes.
C'est juste une question de nombre et de temps.
Tu as lu ça dans le marc de café ?
c'est un constat de faits.
Oui et j'espère que quand ils seront en nombre, ils appliqueront la charia et que les gens comme toi seront fouettés tous les jours.
silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:L'avenir est en marche et le présent en donne ses bases...
La seule chose que je tiens pour à peu près certaine, c'est que tu continueras à écrire n'importe quoi à l'avenir: mais même ça n'est pas tout à fait certain. Qui sait si un jour on ne te découvrira une vilaine tumeur qui te rendit aussi violemment islamophobe et guéri tu reviendras à la raison.
The Stig a écrit:Mais sérieusement, qu'est-ce que vous avez avec ce Chevènement dont vous êtes des prosélytes obstinés ? Ok, je suis pas un spécialiste de l'homme, je ne prétends pas non plus être un spécialiste de la politique, mais je ne l'ai jamais vu discourir comme un grand politicien, il a des thématiques qui ne me semblent pas révolutionnaires, il n'a pas l'air d'avoir un apport substantiel sur le débat politique... Mon père qui est aussi membre du Siècle l'a certes rencontré, il pourrait mieux en parler que moi. Il semble qu'il l'ai intéressé, en parlant comme il serait intéressant de rencontrer un Besancennot par exemple et de débattre avec luI.
Je me rappelle avoir lu que, selon Hugues, si Mitterand avait écouté Chevènement en 1983 et non Delors, il n'y aurait pas eu de parenthèse libérale et on n'en serait pas là. Outre que cette affirmation soit-disant péremptoire me semble hautement contestable (depuis quand Mitterand, si son intime conviction était qu'il fallait continuer, s'est-il laissé imposer parce ce que notre président appelle ses collaborateurs des directives qui vont dans le sens opposé de son programme ?), peut être faudrait-il se demander pourquoi, outre son altruisme, Mr Chevènement persiste à vouloir se présenter ad vitam aeternam ?
Qu'on ne me sorte pas le couplet du courage et de la force des convictions par contre. Qu'on reste courtois aussi, même si je semble m'attaquer à une idole du coin, pire qu'Heidfeld et Schumi réunis.
silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:L'avenir est en marche et le présent en donne ses bases...
La seule chose que je tiens pour à peu près certaine, c'est que tu continueras à écrire n'importe quoi à l'avenir: mais même ça n'est pas tout à fait certain. Qui sait si un jour on ne te découvrira une vilaine tumeur qui te rendit aussi violemment islamophobe et guéri tu reviendras à la raison.
schumi84f1 a écrit:effectivement c'est pas bien adroit et je ne vois pas ce qu'il voulait dire...
je votais pas à l'époque, il y a eu tricherie ? jamais entendu parler
The Stig a écrit:Cortese a écrit:
Oui, c'est à ça que je pensais. Quand je faisais de la communication pour la santé, j'avais suivi plusieurs formations qui avaient pour but de se donner des outils pour amener les agents de santé publique à changer les comportements et les représentations négatives pour la santé des gens. Personnellement c'est exactement ce que j'essaye de faire sur ce forum : libérer les gens des idées destructrices qu'on leur a inculqué. C'est très difficile (surtout qu'on ne combat pas que des préjugés ou des superstitions, on combat une volonté politique puissante et organisée d'asservissement et d'instrumentalisation).
Et tu leur apprends à devenir modeste aussi j'espère, ô phénix de ces lieux ?
Cortese a écrit:The Stig a écrit:Cortese a écrit:
Oui, c'est à ça que je pensais. Quand je faisais de la communication pour la santé, j'avais suivi plusieurs formations qui avaient pour but de se donner des outils pour amener les agents de santé publique à changer les comportements et les représentations négatives pour la santé des gens. Personnellement c'est exactement ce que j'essaye de faire sur ce forum : libérer les gens des idées destructrices qu'on leur a inculqué. C'est très difficile (surtout qu'on ne combat pas que des préjugés ou des superstitions, on combat une volonté politique puissante et organisée d'asservissement et d'instrumentalisation).
Et tu leur apprends à devenir modeste aussi j'espère, ô phénix de ces lieux ?
Ghinzani a écrit:silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:L'avenir est en marche et le présent en donne ses bases...
La seule chose que je tiens pour à peu près certaine, c'est que tu continueras à écrire n'importe quoi à l'avenir: mais même ça n'est pas tout à fait certain. Qui sait si un jour on ne te découvrira une vilaine tumeur qui te rendit aussi violemment islamophobe et guéri tu reviendras à la raison.
ne vilaine tumeur...Silver, c'est tout ce que tu as trouvé? On peut ne pas être d'accord avec toi, on peut ne pas désirer une transformation de la société qui est la nôtre?
Je te parle de tes metastases anti américaines et juives?
Franchement et c'est moi le con de service...
silverwitch a écrit:The Stig a écrit: Je ne désignais pas tout le forum, mais seulement les 2 Chevènementistes les plus obstinés du forum et qui sont très actifs, et qu'il n'y a plus besoin de présenter.
Patriote, républicain, socialiste, Homme d'État.
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