Maschum a écrit:On ne peut pas être sur, biensur. Mais la tendance s'affirme clairement, quand même.
Quand nous même seront grand-parents, on aura rien à faire que nos petits enfant soient baptisés ou fassent leur communion...
Puis qui va à l'église, hein. 80% de + de 60 ans à vu de pied.
On restera peut-etre chrétien par défault, mais de là à pratiquer, il n'y aura franchement plus grand monde dans 20 ou 30 ans.
On restera peut-etre chrétien par défault, mais de là à pratiquer, il n'y aura franchement plus grand monde dans 20 ou 30 ans.
J'admire ton optimisme néanmoins je pense que tu te trompes.La pratique des religions monothéisme est en net augmentation même en prenant en compte que cette augmentation et en partie dû à la seule religion Musulmane et ses divers courants il n'empêche que les courants de la religion catholique comme les Evangélistes, les Témoins de Jéhovah.... leurs progressions est significative sans oublier les dérivers encore plus sectaire que les deux cités.Chez les Juifs ca doit être du même ordre.
Quand tu vois qu'en France les débats sont ouvert, que le Président alimente le débat faut pas oublier ses différents discours sur le rôle du religieux, même si il le pense pas il le dit pas dans le vide ou pour une très petite minorité non une partie significatif de citoyens Français attendent ce genre de discours et aussi bien chez les adultes et jeunes adultes heureusement que nous avons des lois comme celle de 1905... Il faudrait vraiment que l'Etat et les autres aussi s'interrogent sur le phénomène de croyance en progression en 2010.
Quand tu vois aussi malgrè tout les espoirs avec Barak Obama qu'il doit quand même se résigner aux formules de fin de discours "Que Dieu bénisse l'Amérique etc etc" comme son prédécesseur alors que Barak en off avait lâché dans un Etat des USA très conservateurs "Ici c'est des cons ils ne pensent qu'a la religion et à leurs armes" il a bien du s'excuser faire courbette...
Les religieux même combats sur pas mal de point ils sont d'accord c'est du quif quif enfin pour moi ils me foutent autant la craintes l'une comme l'autre....Personnellement j'ai encore plus de crainte quand je vois l'Etat qui ouvre un débat sur l'identité Nationale a des fin électorale et qui risque de foutre une sacré merde et qui sera bien récupéré par les religieux car c'est clair que l'Etat va se faire déborder par le sujet.
Pour le moment c'est les Musulmans les plus tenaces les plus visibles comme en France et quoi faire, des stupidités de votations comme en Suisse qui font que réactiver les activistes forcément, et croitre les haines et donner de l'air à l'extrême droite mais les religieux qui tirent les ficelles sont bien d'accord sur beaucoup de point et les fondamentalistes ont les même objectifs d'imposer plus de religieux et de rentrer dans l'exécutif des Etats dans nos sociétés.Nous donnons trop d'importance aux religions et dans nos société moderne débattre sur les minarets ou sur la place des évangélistes...alors que ici en France des milliers de gens des humains adulte qui ont été enfants avec leurs rêves et sont maintenant dans la rues brisés face à l'horreur de la violence des humains...
Quand tu vois que Tarik Ramadan est invité à l'Assemblée nationale pour débattre et débattre de quoi tu temps passé des écris d'illuminés de toute tendances il y a des siècles et nous sommes à l'époque ou ont explore l'univers ca fait encore débats nous entretenons le paradoxe comme les religions entretiennent les divisions sans doute utiles il y as des siècle mais au 21 siècles nous avons évolués aux société de bien éduquer et pas laisser la place de l'éducation aux religions comme il se passe dans trop de pays et régions du globe.
Tout le monde est libre de croire et la spiritualité la vraie ne fait pas de mal mais elle n'est pas forcément Catholique ou Musulmane ou Juif ou autre moi je crois oui à la Lune ca regarde que moi ma croyance comme la spiritualité néanmoins c'est certains que la Lune existe et qu'elle joue un rôle sur la terre que Dieu c'est un rêve une illusions et les créature de sa créations ont une explications scientifiques.
Regarde à donner trop de place à la religion le représentant Tarik Ramadan venu vendre son temps passé à l'assemblée en 2010 en France venir la ramener sur la Burka il devrait arrêter d'en parler de lui même si il était vraiment sincère. Non il fait que ranimer le racisme, sans doute avec des arrières pensées, en France en se servant de truc du passé comme la Burka la question ne devrait pas se poser pourquoi pas nos politique habiller avec des armures comme avant...
Voile intégral: l'audition de Tariq Ramadan divise la mission parlementaire
L'islamologue Tariq Ramadan a plaidé contre une loi sur le voile intégral devant les députés, dont certains lui ont reproché son «double discours».
LAURE EQUY
Un invité qui dérange. La mission d’information parlementaire sur le port du voile intégral recevait, ce mercredi, Tariq Ramadan. «Je ne veux pas revenir sur vos écrits, vos interventions et les polémiques qu’ils ont suscitées», tente André Gerin (PCF), président de la mission. Peine perdue. Après l’exposé de l’intellectuel musulman, certains parlementaires, assez remontés, ne manquent pas d’exprimer leur désaccord sur le choix de cette audition. «Qu’allez-vous en tirer?», lance Jean Glavany (PS) à ses collègues, grinçant: «A part vingt caméras de télévision à la sortie?»
Avant de distribuer critiques et compliments à des parlementaires «très partagés, entre ceux qui voulaient en découdre et ceux ouverts à la réflexion», Tariq Ramadan, lui, déroule ses arguments. Sur les questions d’identification et de sécurité que peut poser le voile intégral, il affiche sa fermeté: «une femme est tenue de montrer son visage, de s’identifier, de garantir la sécurité collective, ça ne se discute même pas», tranche-t-il. Pour s’opposer aussi nettement à une éventuelle loi qui viserait à interdire le port du niqab ou de la burqa. «Ce serait une très mauvaise solution», «elle serait perçue comme stigmatisante», prévient Ramadan, pointant aussi un effet contre-productif: pour certaines femmes portant le voile intégral, le réflexe serait alors, selon lui, «de rester à la maison, de se fermer. Et là, vous aurez perdu deux fois.»
«Cette réflexion me gêne»
Pour aller vers une «meilleure compréhension de l’islam», il insiste surtout sur la nécessité de «ne pas monter les autorités [musulmanes] les unes contre les autres» et de ne pas braquer: «les autorités sont vos partenaires dans cette lutte. Il s’agit d’utiliser l’autorité des dignitaires religieux pour faire changer les mentalités et de considérer les Français de confession musulmane comme partie prenante de la solution pour dire non à la burqa.» En clair, mettre l’accent sur «la pédagogie, le travail de terrain.»
Mais il embraye en se montrant franchement perplexe sur les contours de la mission. «Cette réflexion me gêne», lâche Ramadan qui invite à mettre le doigt sur les «questions sociales»: «On culturalise l’appartenance [des Français musulmans], on islamise leur identité. Mais l’emploi, l’appartement, ils ne l’ont pas.» Attention aux «illusions d’optique, conclut-il. Passer par la burqa, interroger l’extrême pour parler de la norme, ce n’est pas un dispositif raisonnable. Les polémiques nationales sont un frein à l’intégration.»
Vient le jeu de questions-réponses avec les parlementaires. Et voilà que ça se corse. Le rapporteur, Eric Raoult (UMP) tourne autour du pot pour, finalement, lui demander s’il parlerait «différemment aux étudiants de Villetaneuse ou d’Oxford» où Ramadan enseigne. Jacques Myard (UMP) trouve que «ça fait un peu savonnette, vos arguments». D’autres lui reprochent d’avoir éludé les pressions qui pèsent sur les femmes et «l’atteinte à leurs droits, à leur dignité et à leur liberté» que représentent le niqab et la burqa.
«Une tribune que vous ne méritez pas»
Mais c’est Jean Glavany accusant l'islamologue de «double discours, contre-vérités, manipulations», malgré son «talent d’enrober» le tout dans «un discours enjôleur», qui se montre le plus virulent: «des députés ne voulaient pas vous auditionner, c’est vous donner une respectabilité et une tribune que vous ne méritez pas», dégaine-t-il, déplorant, devant les rangs de la presse plus garnis qu’à l’habitude, que «le travail méticuleux de la mission» vire «au show-biz».
«Insultant», s'insurge l’intéressé: «quel intérêt aurais-je, si j’étais vraiment fondamentaliste, à me présenter devant vous comme ouvert?» Piqué au vif alors que Glavany a jugé «sa crédibilité en perte de vitesse», il rétorque: «depuis des années, je fais des conférences. Demandez aux RG si je ne suis pas entendu». «Je suis professeur à Oxford, mes livres sont éudiés dans 80 universités américaines, fait encore valoir Tariq Ramadan. Et je suis interdit de parole dans toutes les universités françaises. Posez-vous la question de la liberté de parole.»
S’il s’est fendu d’un long aparté sur les motivations de la mission qu’il a initiée - «un combat politique pour faire régresser les fondamentalismes» -, André Gerin, lui, ne regrette pas le casting. «Pas convaincu» pour autant par l’islamologue, il se dit qu’entendre «un personnage controversé n’était pas inintéressant».
Le 15 décembre, pour clore leur round d’auditions, avant de plancher sur leurs préconisations, les membres de la mission parlementaire doivent recevoir un trio de ministres, Brice Hortefeux (Intérieur), Xavier Darcos (Travail et Affaires sociales) et Eric Besson (Immigration et identité nationale).