Genie a écrit:Qui n'a jamais téléchargé illégalement un film ou une musique ?
moi !
Modérateur: Silverwitch
Genie a écrit:Qui n'a jamais téléchargé illégalement un film ou une musique ?
sheon a écrit:schumi84f1 a écrit:sheon a écrit:silverwitch a écrit:sheon a écrit:Le film Home était gratuit dans pas mal de cinémas, et à 3-4€ (frais d'exploitation) dans les autres. Quand on n'est pas là pour faire du profit, il faut s'en donner les moyens.
Qui a dit qu'un film ne devait pas faire du profit ? Mais peut-être ne vois-tu pas de distinction entre un film de propagande sponsorisé par des multinationales et une juste rémunération du travail. Un film c'est un produit, mais c'est éventuellement plus qu'un produit.
Moi, tant que je vois les billets de cinéma à 9-10€, je ne me dis pas que les producteurs de film ne cherchent pas à s'en mettre plein les poches.
c'est le cinéma qui fixe les prix, pas le producteur
Et pour Home, c'est les cinémas qui ont tous, de leur propre initiative, décidé d'être généreux ?
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
schumi84f1 a écrit:Genie a écrit:Qui n'a jamais téléchargé illégalement un film ou une musique ?
moi !
sheon a écrit:...et à 3-4€ (frais d'exploitation) dans les autres...
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Seb a écrit:sheon a écrit:...et à 3-4€ (frais d'exploitation) dans les autres...
Le prix d'une place de ciné y a dix ans, quoi. C'est fou.
DCP a écrit:Marlaga a écrit:J'ai déjà lu tout ça. Sans grand enthousiasme puisque tu ne fais que défendre ton bifteck. Je ne vais pas te blâmer pour ça, mais on est en plein conflit d'intérêt.
Donc on ne peut pas discuter des domaines pour lesquels on travaille ou dans lesquels on est actif car on fera de toute façon seulement défendre son bifteck ? Et puis, n'écoutons jamais les politiciens parler de la chose publique, car ils défendent seulement les intérêts de leur parti....![]()
Didier
Marlaga a écrit:DCP a écrit:Marlaga a écrit:J'ai déjà lu tout ça. Sans grand enthousiasme puisque tu ne fais que défendre ton bifteck. Je ne vais pas te blâmer pour ça, mais on est en plein conflit d'intérêt.
Donc on ne peut pas discuter des domaines pour lesquels on travaille ou dans lesquels on est actif car on fera de toute façon seulement défendre son bifteck ? Et puis, n'écoutons jamais les politiciens parler de la chose publique, car ils défendent seulement les intérêts de leur parti....![]()
Didier
On appelle ça le conflit d'intérêt. C'est une chose courante en politique qui a été mis largement à jour par l'affaire Woerth et qu'on a timidement tenté de ralentir par une mesurette dernièrement, mais en tous cas, il me parait difficile d'être objectif sur un sujet quand ses revenus sont directement concernés.
De nombreuses personnes proposent des modèles économiques différents, des modèles de société différents, des conception de l'oeuvre et de l'art différent. Tu ne verras que les responsables des industries en cause pour s'arc-bouter ainsi sur leur modèle économique daté par peur de perdre leur manne financière. Dans ces conditions, discuter du financement du cinéma avec silverwitch, ça n'a pas plus d'intérêt que de discuter du financement de la musique avec Pascal Nègre. C'est biaisé d'entrée de jeu.
DCP a écrit:Marlaga a écrit:DCP a écrit:Marlaga a écrit:J'ai déjà lu tout ça. Sans grand enthousiasme puisque tu ne fais que défendre ton bifteck. Je ne vais pas te blâmer pour ça, mais on est en plein conflit d'intérêt.
Donc on ne peut pas discuter des domaines pour lesquels on travaille ou dans lesquels on est actif car on fera de toute façon seulement défendre son bifteck ? Et puis, n'écoutons jamais les politiciens parler de la chose publique, car ils défendent seulement les intérêts de leur parti....![]()
Didier
On appelle ça le conflit d'intérêt. C'est une chose courante en politique qui a été mis largement à jour par l'affaire Woerth et qu'on a timidement tenté de ralentir par une mesurette dernièrement, mais en tous cas, il me parait difficile d'être objectif sur un sujet quand ses revenus sont directement concernés.
De nombreuses personnes proposent des modèles économiques différents, des modèles de société différents, des conception de l'oeuvre et de l'art différent. Tu ne verras que les responsables des industries en cause pour s'arc-bouter ainsi sur leur modèle économique daté par peur de perdre leur manne financière. Dans ces conditions, discuter du financement du cinéma avec silverwitch, ça n'a pas plus d'intérêt que de discuter du financement de la musique avec Pascal Nègre. C'est biaisé d'entrée de jeu.
Sans revenir sur le fond du débat et de le refaire, et je n'y connais pas assez dans ce domaine pour le faire, je trouve foncièrement dommage que l'on se prive de l'avis de personnes travaillant et connaissant donc bien le domaine en question en supposant a priori qu'elles ne seront pas objectives dans leur analyse de la situation. Pour prendre un exemple basique, si tu discutes appareils photos avec des personnes connaissant le domaine, tu auras les possesseurs de Canon (ou de Nikon) qui te diront que l'autre marque est de toute façon de la merde alors qu'une bonne partie est capable de faire la part des choses et de discuter des avantages/inconvénients des deux côtés.
Didier
Marlaga a écrit:On appelle ça le conflit d'intérêt. C'est une chose courante en politique qui a été mis largement à jour par l'affaire Woerth et qu'on a timidement tenté de ralentir par une mesurette dernièrement, mais en tous cas, il me parait difficile d'être objectif sur un sujet quand ses revenus sont directement concernés.
De nombreuses personnes proposent des modèles économiques différents, des modèles de société différents, des conception de l'oeuvre et de l'art différent. Tu ne verras que les responsables des industries en cause pour s'arc-bouter ainsi sur leur modèle économique daté par peur de perdre leur manne financière. Dans ces conditions, discuter du financement du cinéma avec silverwitch, ça n'a pas plus d'intérêt que de discuter du financement de la musique avec Pascal Nègre. C'est biaisé d'entrée de jeu.
Marlaga a écrit:Oui mais si tu demandes à un vendeur de la marque Canon, tu n'auras pas l'avis le plus objectif qui soit.
silverwitch a écrit:Cette accusation est un peu déplacée, Marlaga. D'abord, il ne s'agit évidemment pas d'un conflit d'intérêts puisque je ne suis pas titulaire d'une charge ou d'une mission d'intérêt général, et que je m'exprime comme peut le faire tout citoyen, c'est-à-dire en prenant de la distance par rapport à mes intérêts personnels ou à mon métier.
Ensuite, je n'ai rien à vendre à cet égard, pas un film plus qu'un autre, une société plus qu'une autre (je ne me suis jamais mise en avant à ce sujet, et s'il m'arrive de faire de la pub, ce n'est jamais pour moi). Et n'étant pas productrice ou dans le secteur de la production, je n'ai pas d'intérêt particulier à tel ou tel mode de financement.
Mes propos sont donc recevables, et ils ont l'avantage de bien connaître le secteur concerné. Alors qu'il me semble que ton avis est plus éclairé sur le plan de l'économie de la musique, que sur celle du cinéma. Je me trompe ?
Kôôl-x a écrit:Marlaga a écrit:Oui mais si tu demandes à un vendeur de la marque Canon, tu n'auras pas l'avis le plus objectif qui soit.
Marlaga a écrit:Je trouve étonnant que tu balayes d'un revers de la main toutes les autres propositions de mode de financement.
silverwitch a écrit:Marlaga a écrit:Je trouve étonnant que tu balayes d'un revers de la main toutes les autres propositions de mode de financement.
Ce n'est pas moi qui les refuse, et dans ce domaine, les modes de financement sont diversifiés: paiement à l'acte (achat d'une place de cinéma, d'une copie vidéo ou d'un téléchargement légal définitif), location (video-club, médiathèque, VOD) ou sans bourse délier (autre que la redevance) à la télévision qui permet même de copier un film pour son usage privé.
Et je ne parle même pas du financement en amont...
Je m'oppose par contre à la licence globale.
Marlaga a écrit:Tu constates pourtant bien que c'est une forme de licence globale qui est en cours de se mettre en place dans la musique avec Deezer et Spotify qui s'imposent petit à petit comme diffuseurs et sources de revenus des majors ? Le consommateur paye un abonnement pour avoir accès à tout le catalogue. Si les majors avaient accepté la licence globale, on aurait économisé cette pantalonnade qu'est l'HADOPI et ils n'auraient pas eu à négocier avec Deezer et Spotify, ils auraient pu avoir une part d'un gâteau plus grand concernant tous les abonnements internet du pays.
L'augmentation du débit fait venir le cinéma et les séries TV sur le même modèle que la musique avec quelques temps de retard. Ca a été le cas depuis le début d'internet et ça le sera encore. Regarde vers l'avant au lieu de vouloir garder ce que tu crois acquis et qui t'échappe.
silverwitch a écrit:Marlaga a écrit:Tu constates pourtant bien que c'est une forme de licence globale qui est en cours de se mettre en place dans la musique avec Deezer et Spotify qui s'imposent petit à petit comme diffuseurs et sources de revenus des majors ? Le consommateur paye un abonnement pour avoir accès à tout le catalogue. Si les majors avaient accepté la licence globale, on aurait économisé cette pantalonnade qu'est l'HADOPI et ils n'auraient pas eu à négocier avec Deezer et Spotify, ils auraient pu avoir une part d'un gâteau plus grand concernant tous les abonnements internet du pays.
L'augmentation du débit fait venir le cinéma et les séries TV sur le même modèle que la musique avec quelques temps de retard. Ca a été le cas depuis le début d'internet et ça le sera encore. Regarde vers l'avant au lieu de vouloir garder ce que tu crois acquis et qui t'échappe.
Je ne regarde ni vers l'avant ni vers l'arrière: je défends des principes de justice. Et je constate d'assez près que ceux qui font la pluie et le beau temps ce sont les multinationales des télécommunications qui ont un besoin vital d'un flux permanent de contenus, musicaux et vidéos. À cet égard, ils ont encouragé le piratage et désormais attendent que les productions cinématographiques, essorées capitulent pour se partager un gâteau plus faible entre les plus gros. Je défends donc les droits des auteurs, le paiement à l'acte, les systèmes de péréquation, les salles de cinéma contre la diffusion sur internet, etc...
Tu devrais comprendre une fois pour toutes que je ne me place pas du côté des producteurs, pas même réellement du côté des auteurs, mais du côté de l'intérêt du cinéma ou plus exactement de sa sauvegarde. Et parlons peu, mais bien: à combien estimes-tu le besoin de financement de l'industrie du cinéma française et américaine. Combien faudrait-il payer par abonnement pour financer ne serait-ce que 50% de la production actuelle ?
Marlaga a écrit:Il n'est pas question de financer tout le cinéma. Les salles de cinéma ne vont pas s'effondrer du jour au lendemain ni avoir une entrée libre. De même que les DVDs en magasin.
Marlaga a écrit:Il n'est question que de financer le "manque à gagner" du téléchargement libre. Il me semble facile à calculer puisqu'on a des chiffres sur les ventes et location de disques et de vidéos et on peut avoir des chiffres plus ou moins fiables sur les téléchargements.
Marlaga a écrit:De plus, si on se lançait dans un système de ce genre, on pourrait voir des versions officielles mise à disposition sur Internet, avec des contenus bonus, des bandes-annonces et autres publicités, tout ça en version gratuite ou payante selon le niveau de qualité et d'ajouts. Une bonne offre mêlant le gratuit et le payant peut avoir du succès.
La perte restante serait minime et facile à financer par une petite taxe sur l'abonnement. D'ailleurs, quand je vois les sommes ridiculement astronomiques qui sont prélevées sur les disques durs, les ordinateurs, les lecteurs mp3, les gps,...pour rémunération de la "copie privée", je me dis qu'on a déjà payé pour tout ça.
Kadoc a écrit:Silver, tes chiffres TERA, qui était le client dans l'affaire?
Kadoc a écrit:Je me méfie toujours, les industriels peuvent faire preuve d'une immense mauvaise foi.
silverwitch a écrit:Kadoc a écrit:Je me méfie toujours, les industriels peuvent faire preuve d'une immense mauvaise foi.
Il est évident que dans cette affaire, l'industrie cinématographique et musicale communique selon son intérêt et se livre à un lobbying (assez efficace désormais) auprès des pouvoirs publics. Faire preuve de prudence vis à vis des chiffres annoncés par la profession est donc en effet une affaire de bon sens.
Néanmoins, il faut bien admettre que l'industrie est la seule à avoir fait un travail un peu sérieux de prospective, quand le principal bénéficiaire agit dans l'ombre (je parle de l'industrie des télécommunications dont le poids est infiniment supérieur aux entreprises du secteur culturel). La force de la propagande a été de faire croire qu'il s'agissait d'une lutte entre le pot de terre (les consommateurs individuels contraints à pirater) et le pot de fer (l'industrie du divertissement), alors qu'en vérité les multinationales ont besoin de contenus pour internet.
f1pronostics a écrit:L'industrie des télécoms et celle du divertissement, c'est pas grosso-modo le même amalgame de financiers?
Silverwitch" a écrit:et bien que l'industrie du cinéma se soit massivement déplacée vers la télévision, le système est en danger. Et quand je dis le système, je ne parle pas des grosses productions déjà rentabilisées avant le premier jour de tournage, mais du système de péréquation qui permet à des films plus exigeants au budget moyen de se tourner, et d'exister en salles.
Mais tout cela n'intéresse pas des consommateurs qui traitent les films comme des produits du loisir selon des modes empruntés à la restauration rapide.
Kôôl-x a écrit:Tout cela n'a pas forcément à voir avec le téléchargement, ce que tu évoques date des années 80, quand la TV a commencé à s'occuper de produire du cinéma.
Et en effet, il est normal que cela n'intéresse pas les consommateurs, puisque l'industrie du cinéma a fait la part belle aux produits de consommation rapide (et qui plus est, facilement adaptable au petit écran, foulant aux pieds la spécificité du Grand, qui était auparavant synonyme de spectacle, de sorties en soirée, d'évènement, etc...). Sans MacDo, peut-être les lycéens mangeraient-ils mieux le midi, et n'aurions-nous pas à nos portes ce problème de l'obésité.
Kôôl-x a écrit: Sans Besson et ses acolytes (les 1ers à défendre hadopi, on se demande vraiment pourquoi), peut-être que ces mêmes jeunes gens auraient appris la beauté d'un scénario, d'un script, etc...
Kôôl-x a écrit:Idem pour la musique, comme dans d'autres domaines. Le problème de toute industrie, c'est que c'est le chiffre qui lui permet de vivre, pas l'altruisme. Il ne faut pas reprocher aux gens d'avoir suivi le mode de consommation qui leur a été proposé.
Plutôt le premier aspect, mais bon au fond les 2 servent, je pense, les mêmes intérêts des mêmes actionnaires puissants et dépourvus d'état d'âme quant à la question de la qualité des œuvres, pourvu que la conclusion amène au résultat comptable attendu.silverwitch a écrit:Je ne sais pas si je comprends ce que tu exprimes: est-ce que tu veux dire que les deux industries sont gérées de la même manière et selon une logique identique, ou bien que les deux industries sont liées ?f1pronostics a écrit:L'industrie des télécoms et celle du divertissement, c'est pas grosso-modo le même amalgame de financiers?
f1pronostics a écrit:Plutôt le premier aspect, mais bon au fond les 2 servent, je pense, les mêmes intérêts des mêmes actionnaires puissants et dépourvus d'état d'âme quant à la question de la qualité des œuvres, pourvu que la conclusion amène au résultat comptable attendu.
Alors je me demande, à quoi bon s’apitoyer sur le sort de l'industrie du divertissement qui s'achemine vers une impasse culturelle.
silverwitch a écrit:f1pronostics a écrit:Plutôt le premier aspect, mais bon au fond les 2 servent, je pense, les mêmes intérêts des mêmes actionnaires puissants et dépourvus d'état d'âme quant à la question de la qualité des œuvres, pourvu que la conclusion amène au résultat comptable attendu.
Alors je me demande, à quoi bon s’apitoyer sur le sort de l'industrie du divertissement qui s'achemine vers une impasse culturelle.
L'industrie cinématographique a toujours voulu réduire les films dans leur plus grande majorité à des produits de consommation. Ce qui est miraculeux, c'est qu'une oeuvre d'art puisse survenir. Et c'est la possibilité de ces miracles que je veux préserver. J'essayais d'expliquer ça il y a quelques temps:
Je crois donc à cette double transformation du monde: politique (collective) et existentielle (singulière). Une fois révélée et comprise, la propagande n'opère plus. Et à terme, quand il sera temps, le système s'effondrera de lui-même. Voilà pourquoi le projet totalitaire contemporain (et sa propagande aux beaux atours) veut à tout prix noyer l'unique, l'oeuvre d'art, l'expression d'une pensée sous un flux continu de bruit. Rien de mieux pour rendre une parole inaudible que de la recouvrir de bruit. Voilà pourquoi le piratage est encouragé, comme soupape de sécurité, pour que tant que le Peuple est gavé, il ne puisse se révolter (et pour cela internet a la double fonction de produire un flux continu et d'atomiser les individus, de les laisser chacun dans leur coin). Le même écran qui fait voir le Monde, sert ici à nous masquer les choses. C'est ce qui rend la critique aussi complexe. Et c'est pour cela qu'il faut exposer la visée totalitaire du projet et se battre pour garder ouvertes les fenêtres vers un autre Monde que sont les oeuvres d'art: nous ne sommes pas enfermés. Il y a bien un ailleurs. Or rien ne terrifie plus la société actuelle que la simple possibilité d'un Ailleurs ou d'un Autre.
f1pronostics a écrit:Il me semble que le piratage précipite sa propre perte, en même temps que celle du système.
f1pronostics a écrit:Ca va forcément changer des choses, en même temps que la précarité économique s'installe.
Le bruit, c'est une question de politique. Pour flatter les sens, avec des grosses ficelles on le fait facilement, ça a même été théorisé, et c'est maîtrisé. Je ne vois pas ce qui peut changer demain à ce sujet.
Il arrivera un moment ou il sera plus intéressant de produire des poules bio pour les éleveurs de poules, ça sera plus profitable.silverwitch a écrit:Non, le piratage c'est le sempiternel idiot-utile du néo-libéralisme. L'objectif est de mettre à bas toutes les législations, toutes les protections, afin de créer une vaste zone de libre-échange, où des renards libres pourront dévorer des poules libres dans les poulaillers ouverts.f1pronostics a écrit:Il me semble que le piratage précipite sa propre perte, en même temps que celle du système.
Rien de nouveau, c'est toujours la même stratégie qui est mise en oeuvre.
f1pronostics a écrit:Il arrivera un moment ou il sera plus intéressant de produire des poules bio pour les éleveurs de poules, ça sera plus profitable.
Pourquoi? Un virus foudroyant va tuer leur métier?silverwitch a écrit:À ce moment là, il n'y aura plus d'éleveurs de poules...f1pronostics a écrit:Il arrivera un moment ou il sera plus intéressant de produire des poules bio pour les éleveurs de poules, ça sera plus profitable.
f1pronostics a écrit:Je ne vois pas le lien qu'il y a entre le fait de vouloir produire de la qualité et le fait que ce soit associé à de la production en masse.
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