Capet a écrit:Je n'ai jamais critiqué les modos, seulement le système qu'on essaie de nous faire passer pour "démocratique"

Mais c'est un autre sujet, ici je parle de la ligne éditoriale, et je constate des dérives tout simplement. Soit on dit rien et à ce moment là on peut être lourd sur le cul ou sur les riches/pauvres, etc, soit on fait qq chose et l'équilibre du forum sera amélioré...
Le système n'est pas "démocratique", justement.
C'est la ligne éditoriale qui est dessinée par l'administration du forum qui guide les décisions ou les non-décisions.
D'une manière générale on voudrait pouvoir laisser libre cours à toutes les discussions.
Difficile de sanctionner, "légiférer" sur le problème.
Pourtant de nombreuses interventions publiques ont eu lieu. De nombreuses interventions privées aussi.
Quand un sujet fait polémique et dérive gravement, on peut être amené à le clore. Mais ça peut alors froisser les défenseurs de l'intérêt du dit sujet. Au hazard on pourrait reprendre, genre, l'histoire des quick hallal, sujet temporairement fermé à cause de quoi Rainier nous a conchiés publiquement.
Il n'y a juste pas d'autre solution miracle que d'espérer de la correction de chacun. De l'auto-censure si vous voulez, de quoi faire en sorte que chacun n'espère pas mettre le feu aux poudres et aux trolls. Sinon on déplace le curseur vers davantage de rigidité, et alors on se dit qu'on change l'état d'esprit en ces lieux.
Certains ici ont les idées nauséabondes qu'ils veulent, mais doivent comprendre qu'aussi grossièrement ou subtilement ils essaieront de les replacer publiquement, ils s'exposent à se voir sanctionner de leur comportement.
Quand je lis ceci de toma, par exemple:
Toma a écrit:si on foutait tous les arabes et les noirs hors du forum, on aurait plus ce problème

Je ne rigole pas trop. Je me demande même si je dois pas couper.
Pas plus que cette partie du post de nicklaus ne me réjouit:
Nicklaus a écrit:Moi je propose qu'on renomme cette partie du forum en " Salon de thé à la menthe"
Si c'est Cortese qui l'écrivait on le prendrait différemment, bien entendu. Il y aurait probablement une autre manière d'interpréter les choses.
Et donc tout est affaire d'interprétation, et de circonstances.