sheon a écrit:This is a yoke !
Rainier a écrit:sheon a écrit:This is a yoke !
C'est un joug ! C'est un carcan !
Moi pas comprendre.
sheon a écrit:Rainier a écrit:sheon a écrit:This is a yoke !
C'est un joug ! C'est un carcan !
Moi pas comprendre.
T'as oublié ses conversations radio chez McLaren ?
sheon a écrit:
Hugues a écrit:Enorme.
Hugues
Une vieille dame voit un chameau pour la première fois de sa vie et se met à pleurer.
« Oh, pauvre cheval, qu'est-ce que le pouvoir soviétique t'a fait… »
Les fantômes d’Alexandre le Grand, de Jules César et de Napoléon regardent le défilé sur la place Rouge dans les années 1940.
« Si j'avais eu des chars soviétiques, j'aurais été invincible ! », s’exclame Alexandre.
« Si j'avais eu des avions soviétiques, j'aurais conquis le monde entier ! », déclare César.
« Si j'avais eu la Pravda, le monde n'aurait jamais entendu parler de Waterloo ! », assure Napoléon.
Staline prononce un discours devant un large public au Kremlin. Soudain, quelqu'un éternue.
Staline : Qui a éternué ?
Tout le monde tremble et personne n'ose se confesser.
Staline : Premier rang, lève-toi et pars. Tu seras exécuté.
(Applaudissements)
Staline : Alors, qui a éternué ?
(Silence)
Staline : Deuxième rang, lève-toi et pars. Tu seras exécuté.
(Ovation, cris : « Salut, grand Staline ! »)
Staline : Alors qui a éternué ?
Un homme se lève au dernier rang, tremblant : C'était moi, désolé…
Staline : Pas grave. À tes souhaits, camarade !
Une fois, Staline a eu un problème avec des souris : elles ont envahi son bureau au Kremlin et personne ne pouvait les chasser. Un ami lui a alors donné un conseil :
« Il suffit de proclamer que ton cabinet est un kolkhoze. La moitié des souris s’enfuira aussitôt et l’autre mourra de faim ! »
Le vieux Rabinovich se rend à un événement avec une pancarte sur laquelle on peut lire : « Merci, camarade Staline, pour mon enfance heureuse ! »
Un officier de police voit cela :
« Hé, camarade, ça n’a aucun sens. Tu es trop vieux ; quand tu étais enfant, Staline n’était même pas encore né ! »
« Oui, et mon enfance a vraiment été heureuse sans lui. Je suis reconnaissant pour cela ! »
Deux détenus se rencontrent dans une cellule de prison.
« Pourquoi es-tu ici ? »
« Pour ma paresse »
« Quoi ? »
« Mon ami et moi nous sommes racontés des blagues politiques toute la soirée, puis je suis allé dormir. Mon ami, cependant, n’était pas paresseux, il est allé à la police et m’a dénoncé en premier, alors je suis ici ».
1937, deux juges soviétiques se croisent juste à l'extérieur de la salle d'audience. L'un d'eux rit aux éclats.
« Bonjour camarade, pourquoi ris-tu ? »
« C’est rien, je viens d'entendre la blague la plus drôle qui soit ! »
« Raconte-moi ! »
« Non, je ne peux pas, je viens de condamner un homme à dix ans de Goulag pour l'avoir racontée… »
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