Modérateurs: Garion, Silverwitch
porcaro77 a écrit:on a retrouve des coussins de siege , le doute est levé"
Aiello a écrit:porcaro77 a écrit:on a retrouve des coussins de siege , le doute est levé"
Je dirais plutôt qu'il est assis.
Né quelque part a écrit:Aiello a écrit:porcaro77 a écrit:on a retrouve des coussins de siege , le doute est levé"
Je dirais plutôt qu'il est assis.
Le dossier est clos...
Entre le 22 et le 24 mai dernier, les juges et les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie des transports aériens (SR GTA) ont enfin pu se rendre aux États-Unis, au siège de Boeing à Seattle. Le déplacement, envisagé depuis plus d'un an et demi, avait été plusieurs fois repoussé, le géant de l'aéronautique ne se montrant guère enclin à coopérer. Sur place, les visiteurs français ont d'ailleurs dû signer un accord de confidentialité.
Concrètement, toutes les données recueillies ont été placées sous scellés et ne pourront pas être versées au dossier. En revanche, les enquêteurs pourront exploiter ce support dans leurs rapports. De quoi satisfaire les parties civiles. « Les juges se sont démenées pour faire ce déplacement que nous attendions depuis longtemps. C'est une satisfaction », souligne Me Dosé.
Grâce à la coopération de Boeing, les enquêteurs sont repartis avec une masse considérable d'informations à traiter, dont les données satellites de l'avion. « Un an de travail leur sera nécessaire », poursuit l'avocate qui salue au passage l'implication de la juge Carole Ramet, appelée à d'autres fonctions. La rencontre initialement prévue avec les enquêteurs du FBI, qui ont mené leurs propres investigations, n'a en revanche pas pu avoir lieu. Elle pourrait se dérouler prochainement en France.
Selon nos informations, le déplacement aux États-Unis a permis de révéler que le MH370 a été piloté jusqu'au bout. Les données fournies par le géant américain accréditent une piste suivie discrètement par les gendarmes français : à savoir, il y avait quelqu'un derrière le manche lorsque l'avion s'est abîmé dans l'Océan indien.« Les juges nous ont indiqué que rien ne permet de dire que le pilote est impliqué », prévient Me Marie Dosé.
Cependant, dans les cercles très proches des investigations, on estime que la thèse du suicide du commandant de bord est la plus plausible. « Certains virages anormaux réalisés par le 777 ne peuvent avoir été réalisés qu'en manuel. Quelqu'un était donc aux commandes », souligne un proche de l'enquête Logiquement, cette donnée majeure pose la question d'un crash volontaire. « Il est trop tôt pour l'affirmer catégoriquement, confie un enquêteur. Mais rien n'accrédite que quelqu'un d'autre ait pu entrer dans le cockpit... »
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