Ouais_supère a écrit:Ce que je lis de ta réponse entre autre, c'est que je ne dois pas espérer retrouver la force de Furyo dans le reste de sa filmographie, ou seulement sporadiquement, c'est bien ça ?
Je sais pas trop...
Ca me semble plus dispensable, mais ai-je raison... parce que ces films, pratiquement tous dans une culture plus japonaise (mais pas une culture japonaise à la Kurosawa, universelle, non quelque chose de plus âpre, moins accueillant), ont des points communs dans les thèmes, parfois dans des moments de grâce avec Furyo... mais semble bancaux, maladroit (Furyo aussi a des défauts, mais cette bancalité est assumée, le film est tel un rêve, avec l'étrangeté d'un rêve... ).
Mais ai-je raison.... chez Malick faut-il préférer l'universel
Le Nouveau Monde (enfin pas si universel à sa sortie, il a été mal accueilli) ou son meilleur film, mais trop âpre,
Knight of Cups...
Bref si c'est moins accueillant, moins évident, est-ce moins bon, moins beau..
Je note pour Jeremy Thomas.
En fait quand on y pense dans l'histoire du cinéma, je vois qu'Anatole Dauman de la même trempe... (d'ailleurs ils ont des cinéastes en commun, pas forcément les meilleurs d'ailleurs.. enfin certains diront que si .. mais .. moi non )
Devant même des gens comme Serge Silberman, Pierre Braunberger, qui ne furent pourtant pas n'importe qui. Qui eux même sont devant Mag Bodard et Alain Sarde sans doute.
Eux même devant bien d'autres comme des gens pas ridicules comme le fameux Marin Karmitz (aux initiales encore plus célèbre quand elles sont suivi d'un 2 )...
Même un américain comme Robert Evans n'est pas au niveau..
Par ailleurs, questions subsidiaires : as-tu lu The Seed and the sower, qui a inspiré Furyo ?
Non.. ou je m'en souviens pas ..
Saurais-tu le confirmer qu'il n'a jamais été traduit en français ?
Si...



9782234017214
Après pour le trouver et l'acheter à quel prix...
Hugues